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A concerned father says that after using his Android smartphone to take photos of an infection on his toddler’s groin, Google flagged the images as child sexual abuse material (CSAM), according to a report from The New York Times. The company closed his accounts and filed a report with the National Center for Missing and Exploited Children (NCMEC) and spurred a police investigation, highlighting the complications of trying to tell the difference between potential abuse and an innocent photo once it becomes part of a user’s digital library, whether on their personal device or in cloud storage.
On le sait bien : Google se permet de tranquillement lire tous les mails qui passent sur ses serveurs, ceux des boîtes Gmail ainsi que ceux adressés à des boîtes Gmail… En général, le but est de refourguer de la publicité ciblée. Mais pas seulement. Une petite histoire (vraie) qui montre que les conséquences peuvent être autrement plus dramatiques…
Des dizaines de millions de patients font transiter par la plateforme des informations hautement sensibles : l'historique de leur rendez-vous avec des praticiens, parfois le motif de leur consultation et même des ordonnances après des téléconsultations.
Dans la foulée du scandale du Mediator, la loi Bertrand ambitionnait en 2011 de « garantir l’indépendance et l’impartialité des décisions en matière de santé ». Une vaste base de données a donc été mise en ligne, recensant les liens entre laboratoires et professionnels. Nous avons épluché les connexions financières à l’échelle du CHU de Clermont-Ferrand en 2018. Conclusion : d’importantes lacunes persistent dans le dispositif.
"La technologie a fait faire à la santé d’extraordinaires progrès. Mais libre ou propriétaire ? Dans le domaine des appareils médicaux pilotés par des logiciels ce choix peut avoir de très lourdes conséquences. Ici plus qu’ailleurs, sacrifier l’humain sur l’autel du business model ne peut plus être une solution durable dans le temps."