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Mardi 2 septembre, la justice fédérale américaine a rendu son verdict : Google échappe finalement à l’obligation de vendre son moteur de recherche Chrome. On vous explique les dessous de cette décision.
La justice américaine a tranché : Google n’aura pas besoin de se séparer de Chrome, ni d’Android. L’entreprise a bien été reconnue coupable d’abuser de sa position dominante, mais sur l’ensemble des mesures correctrices envisagées, peu ont été retenues.
En revanche, Google devra mettre à la disposition des « concurrents qualifiés » certaines données d’indexation de recherche et d’informations sur les interactions des utilisateurs pour que ses rivaux puissent améliorer leurs services.
Google a échappé, mardi 2 septembre, à l'obligation de se séparer de son navigateur Chrome, réclamée par le gouvernement américain, mais rejetée par un juge de Washington, qui lui a toutefois imposé de partager des données de recherches avec ses rivaux pour rééquilibrer la concurrence.
Google doit partager ses données avec ses concurrents afin d'ouvrir la compétition dans le domaine de la recherche en ligne, a décidé mardi un juge de Washington. Le géant californien échappe cependant à l'obligation de vendre son navigateur Chrome, comme le voulait le gouvernement.
Dans un recours collectif, des internautes accusaient l’entreprise de mentir aux utilisateurs américains en dissimulant l’étendue des données qui continuaient à être collectées lorsqu’ils activaient l’option « incognito » de leur navigateur.
Google modifie l’avertissement sur le mode Incognito de son navigateur web Chrome pour rendre plus clair que Google et les sites web gérés par d’autres entreprises peuvent toujours collecter vos données dans le mode semi-privé du navigateur web. Ce changement intervient alors que Google se prépare à régler un recours collectif pour violation de la vie privée lié au mode Incognito de Chrome. En décembre 2023, l'entreprise a accepté un accord à l'amiable pour mettre fin à un litige de 5 milliards de dollars concernant le suivi en mode Incognito.
Google Chrome va bousculer les banques avec son générateur de cartes bancaires virtuelles - Numerama
À l’occasion de sa conférence I/O 2022, Google vient de dévoiler « Virtual Cards », un service générant de fausses cartes bancaires pour vous aider à payer en ligne sans communiquer vos vraies coordonnées. Seul Google connaît les vrais chiffres.
Le navigateur Web Microsoft Edge, basé sur Chromium, aurait dépassé la barre des 10 % de parts d'utilisation sur les systèmes d'exploitation de bureau en avril 2022. Les données de StatCounter indiquent que Microsoft Edge est désormais utilisé sur 10,07 % des ordinateurs de bureau dans le monde, soit 0,46 % de plus que Safari, qui atteint 9,61 %. Google Chrome reste en tête avec une part dominante de 66,64 %, et Firefox est quatrième avec 7,86 %. Les analystes ajoutent toutefois que la part de marché d'Edge a été propulsée par l'arrivée de Windows 11, sur lequel il est le navigateur par défaut.
Google is running a Chrome "origin trial" to test out an experimental new tracking feature called Federated Learning of Cohorts (aka "FLoC"). According to Google, the trial currently affects 0.5% of users in selected regions, including Australia, Brazil, Canada, India, Indonesia, Japan, Mexico, New Zealand, the Philippines, and the United States. This page will try to detect whether you've been made a guinea pig in Google's ad-tech experiment.
The third-party cookie is dying, and Google is trying to create its replacement. No one should mourn the death of the cookie as we know it. For more than two decades, the third-party cookie has been the lynchpin in a shadowy, seedy, multi-billion dollar advertising-surveillance industry on the Web; phasing out tracking cookies and other persistent third-party identifiers is long overdue. However, as the foundations shift beneath the advertising industry, its biggest players are determined to land on their feet.
If you’re among the billions of people using Chrome, then Google’s stark new data harvesting disclosures should come as a nasty surprise. Worse, a new Chrome revelation, one that hasn’t yet made headlines but which is detailed below, should serve as an even more serious warning. Here’s what you need to do now.
Privacy-friendly alternatives to Google that don't track you
Les autorités américaines veulent briser le monopole de Google.
It's not a bug, it's a feature, explains the Chocolate Factory
Google a annoncé le 14 janvier son souhait de se débarrasser des cookies tiers d'ici deux ans pour son navigateur web, Chrome. Une décision qui ne devrait pas remettre en cause fondamentalement la publicité ciblée.
Les navigateurs Web visent principalement à fournir un accès universel au contenu sur le Web – articles de blog, médias sociaux, vidéos, musique, photos, etc. L’ajout de ces technologies au Web est rendu possible par l’Open Web Platform, et facilité par le World Wide Web Consortium (W3C). Ce processus a fonctionné pendant longtemps permettant l'accès universel aux informations à partir des navigateurs comme Firefox, Chrome, Safari et bien d'autres. Cependant, à partir de 2013, le W3C, avec l’appui des grandes sociétés de navigateur et de distribution de contenu en ligne, a cherché à normaliser la DRM dans les navigateurs Web, en introduisant une technologie contraire à la plateforme Web ouverte.
Intéressant billet de blog chez Vivaldi, relatant une expérience probablement très similaire aux autres acteurs minoritaires dans le domaine des navigateurs.
L’éditeur expose comment il doit choisir son User Agent avec précision, exposant l’utilisateur à des erreurs quand les sites détectent spécifiquement Vivaldi comme un navigateur étranger. Basé sur Chromium et disposant donc du même rendu qu’un Chrome, on lui sert alors une version différente du site.
De nombreux sites Web empêchent les navigateurs tiers d'accéder à leurs services. Vivaldi a donc pris la décision de se faire passer pour Chrome afin d’éviter les blocages.
Un groupe d’employés de Google accuse la société de tenter de les espionner afin de saper toute tentative de créer une organisation de salariés dans l’entreprise rapporte Bloomberg. Ces employés affirment que la filiale d’Alphabet a développé un logiciel signalant les collaborateurs qui organisent des réunions rassemblant plus de 100 personnes. Cet outil sera intégré dans une version Chrome spécifique utilisée pour la recherche de systèmes internes. Le groupe assure que cet outil, qui doit être installé ces jours-ci, sera utilisé par la direction afin de recenser toute démarche susceptible de fédérer les travailleurs.