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" Mercredi, nous rapportions que la cour d'appel de Paris a jugé coupable le blogueur Olivier Laurelli, aussi connu sous le pseudonyme Bluetouff, pour avoir téléchargé des documents qui étaient librement accessibles, et découverts par hasard en utilisant Google. Il a été condamné à 3000 euros d'amende pour "accès frauduleux dans un système de traitement automatisé de données", et "vol" de documents."
"Condamné pour avoir trouvé des documents en accès libre sur Google. C'est la décision que vient de prendre la Cour d'appel de Paris à l'encontre d'Olivier Laurelli, alias Bluetouf, co-fondateur de Reflets.info. Sa faute : être tombé au hasard du surf sur des documents de l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail) en accès libre. En première instance, Laurelli a été relaxé. C'était sans compter sur le parquet qui a décidé de poursuivre "coûte que coûte" ce qu'il considére comme un piratage et sur la Cour d'appel qui considère que Laurelli est de "mauvaise foi"."
"Olivier Laurelli, journaliste et hacker connu sous le pseudonyme de Bluetouff, a été condamné à payer 3 000 euros d'amende pour avoir téléchargé des documents de l’Agence nationale de sécurité sanitaire qu'il avait trouvés via le moteur de recherche."
"La cour d'appel de Paris a jugé le blogueur Bluetouff coupable d'avoir téléchargé des documents qui étaient librement accessibles, qu'il avait découverts par hasard en utilisant Google."
Je suis juste atterré par tant d'incompétences. Un juge ne devrait-il pas se déclarer incompétent lorsqu'il ne comprends pas ce qu'on lui demande de juger ???
" L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a rendu public, vendredi 17 janvier, un avis provisoire sur le bisphénol A (BPA) – une molécule utilisée dans de nombreux contenants alimentaires, de plastiques et de produits d'usage courant. Dans ce texte d'étape, l'agence européenne basée à Parme (Italie) dit s'être penchée sur « plus de 450 études portant sur les dangers potentiels pour la santé associés au BPA » et a identifié « des effets indésirables probables sur le foie et les reins, ainsi que des effets sur la glande mammaire, liés à l'exposition à cette substance chimique ». L'EFSA recommande ainsi de diviser par dix la dose journalière admissible (DJA), celle-ci devant passer de 50 microgrammes par jour et par kilo de poids corporel (µg/j/kg) à 5 µg/j/kg."
"Soulignant un contexte d'incertitude scientifique importante, l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) propose une baisse de la dose journalière admissible de bisphénol A (BPA), en vue de prévenir les risques qu’elle considère comme faibles au regard de l’exposition des consommateurs. De son niveau actuel de 50 µg (microgrammes) par kg de poids corporel par jour, les experts recommandent un seuil de 5 µg par kg par jour. Le BPA est utilisé dans les boîtes de conserve, les bonbonnes d'eau ou encore les tickets de caisse."
"L'ami Bluetouff s'amuse bien en ce moment. Vous connaissez sans doute son activité au sein de Reflets.info où avec ses compères, il lève des lièvres assez gros sur des trucs comme la Syrie, la vente de DPI par la France à des dictatures...etc."
"Olivier Laurelli, journaliste et hacker connu sous le pseudonyme de « Bluetouff », comparaissait en appel pour avoir téléchargé des documents de l'Agence nationale de sécurité sanitaire référencés par Google. Devant des magistrats visiblement dépassés."
Nos députés ne comprennent malheureusement pas mieux Internet... Oui oui, ceux-là même qui votent les lois, la vente liée, Hadopi, la LPM...
"La Cour d’appel de Paris avait à juger mercredi un des journalistes de Reflets. Sur plainte de l’ANSES, il était poursuivi pour accès et maintien dans un système de traitement automatisé de données et vol de données. Voici ce qu’il avait fait : partant d’une recherche Google, il était arrivé sur une page de l’ANSES proposant au téléchargement une longue liste de documents. Le répertoire indexé par Google ne mentionnait aucunement qu’il s’agissait d’un espace privé. Si une authentification était bien présente sur l’accueil la partie indexée était elle bien publique, à tel point, qu’elle était indexée par un moteur de recherche grand public. Ce n’est pas parce qu’il y a une authentification à l’accueil d’un site que toutes les parties du site sont forcément destinées à être privées."
"Téléphones sans fil (et leurs antennes-relais), ordinateurs, fours à micro-ondes, atmosphères WiFi... Les champs électromagnétiques et les radiofréquences ont envahi notre quotidien. Faut-il en avoir peur? Leur danger pour la santé est-il démontré? Et, s’il le faut, comment s’en protéger?"
"Suite à la publication du rapport de l'ANSES concluant à l'absence d'effets avérés des ondes électromagnétiques sur la santé humaine, deux associations ont réclamé l'application du principe de précaution dans la mesure où le rapport aborde le cas des effets biologiques. Par ailleurs, l'absence d'étude d'impact sanitaire sur la 4G est aussi dénoncée, alors que cette technologie est en cours de déploiement en France."
"Les ondes électromagnétiques ont-ils un effet sur l'Homme et, si oui, de quelle nature ? Le monde scientifique étudie depuis plusieurs années ce sujet, sans parvenir à s'entendre sur la nocivité ou l'innocuité des technologies sans fil. L'ANSES a produit ce mois-ci une synthèse en la matière, qui conclut sur l'absence d'effets avérés sur la santé humaine. Mais l'agence invite aussi à prendre des mesures de précaution."
"L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a rendu public, mardi 15 octobre, un nouvel avis sur les effets des ondes électromagnétiques sur la santé (PDF)."
"A l'issue de deux ans de travaux, c'est mardi 15 octobre que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) rend ses conclusions sur les effets des ondes électromagnétiques après qu'un groupe de seize experts a passé en revue des centaines d'études scientifiques depuis le dernier avis de l'agence, en 2009. "
"Rarement – jamais peut-être – une agence de sécurité sanitaire aura rendu des conclusions aussi alarmantes sur un polluant à ce point omniprésent dans notre environnement quotidien. Au terme d'un travail de longue haleine ayant rassemblé les contributions d'une centaine de scientifiques, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a rendu public, mardi 9 avril, un avis sur le bisphénol A (BPA) singulièrement inquiétant pour les générations à venir."