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Chris Hughes, qui ne travaille plus pour l’entreprise depuis des années, propose de la scinder en trois : Facebook, Instagram et WhatsApp.
Le géant du Web a levé le voile sur sa future plate-forme de jeu vidéo à la demande. Sans répondre aux questions sur son modèle économique.
La taille des entreprises pose parfois un sérieux problème lorsqu’elle est très importante. En effet, certaines peuvent alors manipuler le marché pour peser de tout leur poids et laisser peu de chance pour une concurrence loyale.
Google, Yahoo, Microsoft (Outlook.com & Hotmail) voient forcément vos emails. Que vous soyez chez eux ou pas, nombre de vos correspondant·e·s y sont (c’est mathématique !), ce qui fait que vos échanges finissent forcément par passer sur leurs serveurs. Mais ce n’est pas là le seul problème.
Amazon n’est plus seulement un géant du numérique mais une infrastructure essentielle à de nombreuses entreprises qui en dépendent. Les outils juridiques traditionnels s’avèrent impuissants à endiguer ce type de pouvoir. Une bulle éco signée Catherine Petillon.
Quasiment tous les Internautes utilisent l’un de ses services. Le groupe, qui fêtait lundi ses 20 ans, est devenu un géant aux ambitions démesurées. Un nouveau maître du monde inattaquable ?
The Australian reports that Facebook media relations chief Campbell Brown privately disclosed that Mark Zuckerberg is indifferent to publishers and offers the news media a simple choice: "Work with Facebook or die."
Tim Berners-Lee est l’homme que l'on devrait tous remercier pour avoir enfanté le World Wide Web. On peut aisément imaginer la fierté grandissante qui devait habiter le chercheur britannique quand, dans les années 1990, son projet s'est étendu partout dans le monde, reliant progressivement des millions de personnes entre elles. Mais c’est aujourd’hui un tout autre sentiment qui l’habite. Dans le numéro d'été de l'édition américaine de Vanity Fair, Tim Berners-Lee confie sa tristesse de voir aujourd'hui le Web partagé entre une poignée d’acteurs pas toujours bienveillants. Et il appelle carrément à « descendre dans la rue ».
Les niveaux extrêmement élevés des valeurs boursières des grandes entreprises du numérique ne sont pas en rapport avec leurs capacités réelles, mais reflètent un pari des marchés : celui de la construction de monopoles mondiaux que cette valeur même rend possible. Un entretien avec Thierry Philipponnat, directeur de l’Institut Friedland.
La commission européenne songerait à infliger à Google une amende qui pourrait atteindre plusieurs milliards d'euros. Bruxelles reproche à son OS Android sa trop grande hégémonie sur le marché des mobiles.
Mozilla, l’éditeur de Firefox, exprime ses inquiétudes quant à l'avenir d'Internet dans son premier rapport sur la santé de l’Internet, dénonçant les dérives d’une économie basée sur la publicité et les données personnelles, ainsi que la domination de géants échappant à la régulation.
Pour mettre un terme au monopole et à la toute-puissance d’Alphabet Inc, la holding qui coiffe Google, de plus en plus de voix réclament le démantèlement du géant.
Selon la commission indienne de la concurrence (PDF), le groupe a affiché un biais important dans les résultats de recherche liés aux voyages. Une trop grande place était donnée aux publicités pour des voyagistes, en tête de résultats.
L'Observatoire européen du journalisme détaille la dépendance grandissante de grands médias en ligne à Facebook, qui finance nombre de leurs projets « innovants ». Une relation à sens unique, où ces contenus alimentent une plateforme qui ne fournit que des gains à court terme, dans une course aux règles dictés par le géant américain.
Alors que certains se demandent s'il faut démanteler Google ou comment procéder pour que des alternatives émergent, on peut se poser une question différente : que faire pour que Google puisse ne plus du tout faire partie de nos vies ? Malheureusement, c'est compliqué.
En 2018, Google fêtera ses vingt ans. Vingt ans durant lesquels le moteur de recherche imaginé au tournant du siècle par deux étudiants de Stanford a muté en une gigantesque pieuvre aux multiples tentacules. Dans un futur proche, cet empire numérique compte nous informer, nous guider, nous soigner, voire nous empêcher de mourir. Tout ça avec notre complicité, c’est-à-dire en s’appuyant sur les données personnelles qu’on lui fournit sans rechigner.
En deux jours, coup sur coup, Facebook a annoncé déployer ses outils de surveillance de masse pour détecter les comportements suicidaires puis pour lutter contre le terrorisme. La concomitance de ces annonces révèle parfaitement la politique de fond du réseau social hégémonique : se rendre aussi légitime que les États et, avec l'accord bien compris des « démocraties libérales », remplacer celles-ci pas à pas.
Le Web a commencé à mourir en 2014, explique le développeur André Staltz. Place au Trinet et ses allures de dystopie.
"Le groupe télécoms américain AT&T et Time Warner ont annoncé être entrés dans la dernière phase d'un rachat à plus de 85 milliards de dollars. Avec les réseaux du premier et les contenus du second, les deux groupes comptent écrire une nouvelle page dans la convergence entre télécoms et médias."
"De la Soylent Company de "Soleil Vert" jusqu'à Brawndo dans "Idiocracy", les consortiums géants tirés de la science-fiction ont beaucoup à nous dire... sur la toute nouvelle fusion entre Bayer et Monsanto !"