417 liens privés
Les mois de juin, juillet et août ont connu les températures mondiales les plus élevées jamais mesurées. "Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face", a une nouvelle fois mis en garde ce mercredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
L’expression employée par Antonio Guterres, dont la traduction française fait débat, ne correspond pas à une définition scientifique. Elle s’inscrit dans une volonté de pousser les décideurs à agir contre le dérèglement climatique.
Les trois derniers mois de l’été ont été les plus chauds jamais connus par l’humanité. « Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face », alerte António Guterres, le secrétaire général des Nations unies.
Depuis plusieurs années, la France a fait le choix d’une conception autoritaire de la gestion de l’ordre public. Sous couvert d’une doctrine de maintien de l’ordre toujours plus sécuritaire, l’usage disproportionné de la force entraîne de graves violations des droits et libertés dans l’espace public et s’accompagne d’une hausse des violences commises par les forces de l’ordre.
L’ONU a demandé aux autorités françaises de veiller à ce que la police « respecte toujours les principes de légalité, de nécessité, de proportionnalité, de non-discrimination, de précaution et de responsabilité ».
L’Organisation météorologique mondiale estime à 60 % les chances qu’El Niño se développe d’ici à la fin juillet et 80 % de chances d’ici à la fin septembre. Le phénomène météorologique se traduit généralement par une augmentation des températures sur la planète et accroît le risque d’évènements climatiques extrêmes dans de nombreuses régions.
Le secrétaire général des Nations unies, qui organisera le 20 septembre un sommet sur l'action climatique à New York, estime que "les pays sont loin de tenir leurs promesses et leurs engagements climatiques".
Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU s'est penché sur la situation des droits humains en France, une procédure à laquelle se soumettent régulièrement tous les Etats membres des Nations unies.
Le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale pointe notamment des discours racistes tenus par des responsables politiques et des contrôles policiers ciblant « de manière disproportionnée certaines minorités ».
Olivier De Schutter dénonce un phénomène de "pauvrophobie", qui entraîne des discriminations à l'encontre des personnes pauvres.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, António Guterres, s’est exprimé dans le cadre de la COP27, avec une allocution pour le moins offensive.
L’Organisation des Nations unies (ONU) tire la sonnette d’alarme. Dans son rapport publié le 27 octobre, le Programme des Nations unies pour l’environnement constate que nous allons vers un réchauffement de 2,6 °C, voire même 2,8 °C d’ici la fin du siècle.
Alors que les événements extrêmes ne cessent d’empirer, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, appelle à mettre un terme « à la course effrénée aux combustibles fossiles ».
« Une mauvaise perception des risques par l’humanité nous pousse vers des activités et des comportements » à l’origine du changement climatique et d’un nombre croissant de catastrophes dans le monde, a alerté mardi l’ONU, relevant que la planète entre dans une « spirale d’autodestruction ».
Les Nations Unies ont adopté le 2 mars le principe d’un traité international «juridiquement contraignant», dont la négociation doit aboutir en 2024. Diane Beaumenay-Joannet, chargée de plaidoyer sur les déchets aquatiques pour l’ONG Surfrider Europe s’en réjouit mais estime que «le plus difficile reste à venir».
À moins que les pays riches ne s'engagent à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre maintenant, le monde est sur une « voie catastrophique » menant à un réchauffement de 2,7 degrés Celsius d'ici la fin du siècle, a averti vendredi le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres.
Dans un projet de rapport, les experts climat de l’ONU constatent que les impacts du dérèglement climatique vont s’accélérer, et devenir palpables bien avant 2050.
Countries urged to take urgent action on managing water and land and tackling the climate emergency
Le groupe Bolloré reçoit 50 millions de dollars de l’ONU chaque année. Pourtant, des ONG l’accusent de violer les droits humains dans plusieurs pays
Les écosystèmes, indispensables pour permettre la séquestration du carbone ou assurer la sécurité alimentaire, ont été massivement touchés par les activités humaines.