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A partir de septembre prochain, 200 agents de maisons France services s’aideront de plusieurs outils d’intelligence artificielle dont ChatGPT pour répondre aux questions.
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Un document prétendument rédigé par un ingénieur sénior de Google affirme que Google perd progressivement son avance dans le domaine de l'IA au profit de la communauté open source. Le mémo explique que Google a concentré toute son attention sur sa rivalité avec OpenAI et a oublié de surveiller de près ce qui se passait dans la communauté des logiciels libres, mais qu'en fin de compte, ni Google ni OpenAI ne l'emportera. Il indique que, pendant que Google et OpenAI se querellaient, l'open source a pris les devants dans cette course. Le document a été divulgué jeudi dernier et suggère que les Big Tech sont loin d'avoir une mainmise sur le marché de l'IA.
Geoffrey Hinton, un des pionniers de l'apprentissage profond, a quitté son emploi chez Google pour être libre de parler des dangers de l'intelligence artificielle. Sa préoccupation immédiate : la désinformation. Sur le long terme, il craint que l’intelligence artificielle n’élimine les humains lorsqu’elle commencera à écrire et à exécuter son propre code informatique.
Le patron de Meta a écrit dans une lettre au personnel que "l'investissement le plus important du groupe" porterait désormais sur l'intelligence artificielle. Exit donc le Metavers comme figure de proue du géant de la tech.
Guilhem Giraud : "Grâce à l’intelligence artificielle, la surveillance de masse n’a pas de limite !"
Ancien ingénieur à la DST, aujourd’hui DGSI, Guilhem Giraud dénonce les dérives de la surveillance de masse dans un livre témoignage intitulé "Confidences d’un agent du renseignement français", publié aux éditions Robert Laffont. Un phénomène qui, selon lui, menace les libertés individuelles.
La Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme a publié un avis sur la question sensible de l’impact potentiel de l’intelligence artificielle sur les droits fondamentaux. Elle y résume rapidement le contexte, avant de plonger plus en détail sur les points à surveiller et de donner ses recommandations.
Les deux instances européennes en charge du respect du RGPD réclament, dans un communiqué conjoint, l'interdiction de l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) pour la reconnaissance automatisée des caractéristiques humaines dans les espaces accessibles au public, ainsi que « certaines autres utilisations de l'IA pouvant conduire à une discrimination injuste ».
Boaz Ganor, expert en contre-terrorisme israélien, estime, dans un entretien au « Monde », que l’Intelligence artificielle peut aider à détecter les « loups solitaires » et « terroristes spontanés ». A condition d’en faire un usage encadré et raisonné.
Alors que l’intelligence artificielle ne cesse de se développer, la Commission européenne vient de présenter son projet pour réguler les technologies numériques dans “le respect de l’humain”. Mais cette volonté d’encadrement est-elle tenable face aux appétits des géants chinois et américains ?
La Commission européenne cherchera à mettre hors la loi les systèmes d’intelligence artificielle utilisés pour des opérations de « surveillance indiscriminée ».
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Toutefois, le projet [...] stipule que ces interdictions ne s’appliqueront pas aux gouvernements et aux autorités publiques de l’UE lorsqu’elles sont mises en œuvre « afin de préserver la sécurité publique ».
La ville de Suresnes, dans les Hauts de Seine, va relier ses caméras de vidéosurveillance (en novlangue juridique « vidéoprotection ») à une intelligence artificielle de XXII Group. Il n'y aura aucune reconnaissance faciale ni biométrique, assure son PDG, qui plaide pour une utilisation éthique de l'IA, et voudrait pouvoir en discuter avec la Quadrature du Net.
Imaginée et financée par des personnalités de la droite américaine radicale, l’application de la société Clearview AI permet d’identifier une personne en comparant une photo à toutes celles postées sur Internet. La société vient de signer un contrat avec les services américains de l’immigration.
ENTRETIEN. Pour Bernard Benhamou, la décision du gouvernement de confier l'hébergement de nos données de santé au géant américain pose des questions de souveraineté.
Ces données, transcendées par l’intelligence artificielle, vont façonner la médecine de demain. Comment sont-elles protégées, partagées, monnayées ? Quelle place pour la France face aux géants du numérique ?
La relation qui existe entre le patient et le système de soin est basée sur la confiance, valeur fondamentale assurée par le serment d’Hippocrate. Or, un nouvel acteur a fait son entrée : le fameux data scientist, le scientifique de la donnée. Il est capable de prouesses prédictives et de classifications jusqu’ici hors de portée. (Par Pierre-Alain Raphan, député LREM de l'Essonne)
Vous ne le savez peut être pas, mais un événement majeur est en train de se jouer sur les datas santé françaises. À côté les enjeux et risques du DMP, c'est une partie de billes dans une cour de récréation. De quoi s'agit-il ?
Les stupéfiants progrès de l’IA nous confrontent à un nouveau défi : des millions d’employés qualifiés sont menacés par l’IA. Menacés ? Rien n'est définitif. C'est en tout cas le point de vue de Clément Alteresco, fondateur du Groupe BAP, l'un des leaders du coworking en France.
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La combinaison de capteurs IoT et de lacs de données devient un outil puissant pour l'analyse de modèles, mais elle a de sérieuses répercussions sur la vie privée du consommateur et du salarié sur le lieu de travail.
Les huit experts s'inquiètent du risque de monopole «excessif» que l'entreprise pourrait acquérir, notamment dans le secteur sensible de la santé.