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"Le Copyright Madness revient cette semaine sur l’affaire de la reprise de Space Oddity dans l’ISS, les déboires de pâtissiers croates et la tentative de dépôt de la marque « Let’s Play ». Bonne lecture et à la semaine prochaine !"
"Deux amendements au projet de loi Création, déjà adoptés en commission de la Culture, vont grandement faciliter la défense des titulaires de droit dans la lutte contre le piratage en ligne. Le tout financé par des deniers publics. Explications."
"Chaque samedi, c'est la compilation de l'actualité de la propriété intellectuelle et de ses dérives, concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux."
"Chaque samedi, c'est la compilation de l'actualité de la propriété intellectuelle et de ses dérives, concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux."
"« C’est une sensation très étrange, pour quelqu’un dans mon genre, d’écrire un journal. Non seulement je n’ai jamais écrit, mais il me semble que plus tard, ni moi ni personne ne s’intéressera aux confidences d’une écolière de 13 ans. »
En écrivant ces lignes dans son journal, la jeune Anne Frank ne pouvait pas imaginer combien elle se trompait et à quel point ses confidences entreraient dans l'histoire. Le texte qui a touché des générations d'écoliers aurait dû, comme le prévoit la loi, entrer dans le domaine public soixante-dix ans après la mort de son auteure, soit le 1er janvier 2016. Mais le Fonds Anne Frank situé à Bâle, détenteur des droits, fait valoir une exception juridique et entend poursuivre ceux qui ont tenté de s'y opposer, apprenait-on lundi 28 décembre."
"Chaque samedi, c'est la compilation de l'actualité de la propriété intellectuelle et de ses dérives, concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux.
Le Copyright Madness revient cette semaine sur Star Wars (évidemment !), les ampoules Philips Hue, les rasoirs Gillette et le pire des brevets de l’année 2015. Très bonne lecture, et à la semaine prochaine !"
"Chaque samedi, c'est la compilation de l'actualité de la propriété intellectuelle et de ses dérives, concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux.
Elle revient cette semaine sur les règles drastiques établies par Janet Jackson pour les photographies de ses concerts, la victoire en justice de Jay Z, accusé d’avoir violé le droit moral d’un musicien égyptien, la crainte d’ExxonMobil de voir ses clients confondre son logo avec celui de la Fox ou encore sur l’épilogue de la bataille judiciaire autour de la fonction Slide-To-Unlock. Bonne lecture, et à la semaine prochaine !"
"Le tout récent rapport du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), présenté au ministère de la Culture, n’a pas laissé insensibles les acteurs du Web. Et pour cause, il propose de rendre responsables les intermédiaires 2.0 quant aux contenus illicites mis en ligne par les internautes.
[...]
Ces restrictions impacteraient de pleine face la liberté d’expression : « Le rapport propose qu’une « autorisation préalable » soit requise pour la « mise en oeuvre » des droits économiques des auteurs. Cela voudrait donc dire que tout texte critique mis en ligne devrait d’abord être précédé de l’autorisation de la personne auteur de l’oeuvre qui va être critiquée, que toute vidéo parodique devra être précédée de l’accord de l’ensemble des ayants droit dont la vidéo originale sera parodiée, etc. Bienvenue dans un monde où il faut demander une autorisation avant de s’exprimer ! »"
J'en ai marre, tout les jours, de lire des conneries conneries pareils... Ces politiques qui nous gouvernent sont vraiment trop cons !!!
"Le plan d’action de modernisation de la Commission européenne a suscité de fraiches réactions de la part du ministère de la Culture et des ayants droit français. Tour d’horizon."
"Chaque samedi, c'est la compilation de l'actualité de la propriété intellectuelle et de ses dérives, concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux."
"Un Copyright Madness en retard mais un Copyright Madness tout de même : retrouvez ce lundi la compilation de l'actualité de la propriété intellectuelle et de ses dérives, concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux."
"Le Copyright Madness revient cette semaine sur une le dénouement à venir de l’affaire du Selfie Monkey, sur Donald Trump et la marque Central Park et les évolutions positives de la législation équatorienne. Bonne lecture, et à la semaine prochaine !"
"Comment Mickey Mouse a détruit le domaine public"
"Le Copyright Madness revient cette semaine sur une opération ayant acheté d’un seul coup plus de 37 000 sites pour contrefaçon, un troll des brevets qui revendique la paternité sur le HTTPS et un bien curieux canular d’un DJ. Bonne lecture, et à la semaine prochaine."
"Le Copyright Madness revient cette semaine sur la politique de l’éditeur Elsevier sur l’accès aux articles scientifiques, le robocopyright de Facebook ou encore Fallout 4. Bonne lecture, et à la semaine prochaine !"
"La justice américaine a affirmé, mardi, que la célèbre chanson d’anniversaire anglophone "Happy Birthday" appartenait au domaine public. Une défaite pour le studio Warner-Chappell qui assurait en détenir les lucratifs droits d’auteur."
"Cette semaine encore l'actualité est particulièrement chargée, voire choquante, avec un industriel qui a acheté le brevet d'un médicament pour en augmenter le prix de 5400 %. La PETA, elle, pense défendre les animaux en défendant leur droit d'avoir un droit d'auteur. "
"Techniquement, il ne perd pas les droits. Il ne les a jamais eus. Mardi, la justice de Los Angeles a reconnu que la chanson Happy Birthday pour laquelle Warner Music continuait de percevoir des droits très importants chaque année était dans le domaine public depuis près d'un siècle."
"Plusieurs cinéastes et réalisateurs avaient lancé une class action devant la cour de Los Angeles pour faire entrer la chanson Happy Birthday to You, appartenant à Warner Chappell dans le domaine public. La société d’édition phonographique pouvait en effet toucher parfois plus de 10 000 euros pour l’utilisation de la chanson dans les films, ce qui lui assurait une manne de plus de 1,7 million d’euros par an !"
Se prêter des livres entre particuliers, une fraude pour l'industrie du livre - Les univers du livre
"Les fondateurs de Booxup, application de partage de livres papier, ne s'attendaient certainement pas à une telle visite. Leur application permet d'enregistrer sa bibliothèque personnelle et de consulter celle des autres utilisateurs : dès lors qu'un titre intéresse, il suffit d'entrer en contact avec l'utilisateur, et de le rencontrer pour un éventuel emprunt. Un inspecteur de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes s'est présenté à la porte du bureau, et pas pour emprunter un livre..."