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"Face à la levée de boucliers, la Commission a dû reculer et finalement renoncer à faire voter le renouvellement pour 15 ans de l’autorisation du Glyphosate, par le Comité d’experts des Etats-membres."
"La Commission européenne doit se prononcer sur l'autorisation ou non de vente d’un herbicide, le glyphosate, qui entre dans la composition du Roundup de Monsanto. Problème : l'avis de l'Autorité européenne prend en compte les études favorables des industriels, tandis que de nombreux scientifiques estiment que le produit est cancérogène."
"Les Amis de la Terre Autriche (Global 2000) ont annoncé mercredi à Vienne qu’ils déposaient une plainte relative à l’herbicide glyphosate, contre le producteur de semences Monsanto, l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) et l’Office fédéral allemand d’évaluation des risques (BfR). L’association écologiste constate que de graves manquements dans la procédure ont amené à la conclusion que ce produit « ne serait pas cancérigène »."
"Alors que la Commission européenne s’apprête à renouveler pour 15 ans l’autorisation du principal composant du désherbant Roundup, un collectif d'ONG porte plainte contre l'entreprise qui le produit, Monsanto, et l'Autorité européenne de sécurité des aliments."
"90 scientifiques du monde entier mettent en cause l’étude du gouvernement allemand qui a servi de base à la décision de l’Agence européenne de Sécurité alimentaire et demandent à la Commission "DE NE PAS TENIR COMPTE DES CONCLUSIONS ERRONÉES DE L’AESA SUR LE GLYPHOSATE"."
"Le glyphosate est le principe actif de plusieurs herbicides (dont le Roundup de Monsanto, mais depuis 2000, année de fin du brevet sur cette molécule, de nombreuses autres entreprises commercialisent des herbicides à base de glyphosate). Dans l’Union européenne, les pesticides sont autorisés pour une période de dix ans. Ce délai, pour le glyphosate, devait expirer en 2012, mais cette molécule reste autorisée le temps de « négocier » son renouvellement pour les dix prochaines années. Si l’ensemble des comités d’experts soulignent des impacts avec le glyphosate sous sa forme commerciale, ils publient cependant des avis divergents sur la molécule de glyphosate elle-même. La décision de renouvellement – ou non - d’autorisation de cette dernière aura bien sûr des conséquences aussi sur les dossiers des plantes génétiquement modifiées (PGM), la majorité d’entre elles ayant été modifiées pour « tolérer » le Roundup."
"Le glyphosate, molécule cancérigène ? « Improbable », a tranché l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), le jeudi 12 novembre. Le Roundup, désherbant le plus vendu au monde et dont le glyphosate est l’ingrédient principal, se retrouve ainsi blanchi de tout soupçon. Voilà qui va soulager Monsanto, l’industriel qui fabrique et commercialise le Roundup, mais qui contredit l’avis rendu en mars dernier par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il avait classé le glyphosate dans sa liste des substances « cancérogènes probables »."
"L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) estime improbable le risque cancérigène du glyphosate, un élément chimique très utilisé dans les désherbants comme le Roundup de Monsanto."
"L’Agence de Protection Environnementale (EPA) de Californie a annoncé officiellement son intention de préciser sur les étiquettes que le glyphosate est cancérigène(1). Le produit est notamment présent dans le Roundup, un célèbre herbicide utilisé dans le monde entier."
Glyphosate : l'ONG Foodwatch presse l'UE d'appliquer le principe de précaution - Sciencesetavenir.fr
"L'ONG allemande presse l'Europe d'appliquer le principe de précaution à propos du glyphosate, alors que la Commission européenne doit décider d'ici la fin de l'année de reconduire ou non pour dix ans l'autorisation de cet herbicide répandu, soupçonné d'être cancérigène."
"Après avoir classé le glyphosate comme « cancérigène probable », voici que le Centre international de recherche sur les cancers (CIRC) qui dépend de l’Organisation Mondiale de la santé (OMS), vient de publier les résultats de son évaluation : le 2-4 D est classé comme « possible cancérigène »."
"Ségolène Royal vient d’annoncer l’interdiction, à partir du 1er janvier 2016, de la vente en libre-service aux particuliers des produits désherbants contenant du glyphosate, dont le fameux Roundup fabriqué par Monsanto. Un amendement à la loi de transition énergétique devrait être déposé au Sénat en juillet, a t-elle précisé. Dans les faits, il ne s’agit pas vraiment d’une interdiction. Les particuliers pourront continuer à se fournir en pesticides contenant du glyphosate : les points de vente devront seulement limiter l’accès à ces produits qui devront être vendus non plus en rayon mais au comptoir."
"Ségolène Royal a annoncé mardi 16 juin l’interdiction dès la fin de 2016 de la vente en libre-service du Roundup, désherbant vedette de l’entreprise américaine Monsanto. Le produit est en effet considéré comme dangereux pour la santé, car son principe actif, le glyphosate, a été reconnu cancérogène par le Centre international de recherche sur le cancer ainsi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’annonce de la ministre de l’écologie se résume pourtant à une simple manœuvre de communication pour Sophie Bordères, de l’association Générations futures, l’interdiction de tous les pesticides en vente libre étant déjà prévue pour 2018."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, veut interdire dès le 1er janvier 2016 la vente en libre-service aux particuliers des produits désherbants contenant du glyphosate, dont le Roundup, produit vedette de Mosanto. Ces pesticides sont classés « cancérogènes probables » par l’Organisation mondiale de la santé."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, a annoncé, dimanche 14 juin sur France 3, l’interdiction de la vente en libre-service dans les jardineries du désherbant vedette de Monsanto, le Roundup, afin de lutter contre les effets néfastes des pesticides."
"Les lecteurs seront par exemple étonnés d’apprendre qu’une bonne partie de l’évaluation récente du glyphosate, menée par le gouvernement allemand et commanditée par la Commission européenne, n’a pas été rédigée par les scientifiques qui travaillent pour l’Institut fédéral allemand de l’évaluation des risques (BfR), mais par le European Glyphosate Task Force (le Groupe de travail européen sur le glyphosate), un consortium d’entreprises de l’agrochimie."
"Le 21 avril 2015, un recours collectif a été intenté contre l’entreprise Monsanto dans le comté de Los Angles. Dans la plainte, il est affirmé que Monsanto est coupable de publicité mensongère en prétendant que le glyphosate, l’agent actif du Roundup, cible un enzyme que l’on ne trouve que chez les plantes et pas chez les humains ni les animaux. Monsanto s’appuie sur cette affirmation pour prétendre que le glyphosate est sans danger pour les humains."
"Pour la ministre de l'écologie, Ségolène Royal, il faut que plusieurs pesticides, dont le glyphosate, récemment classés cancérogènes « probables » ou « possibles » par l'agence du cancer de l'OMS, « ne soient pas en vente libre » pour les particuliers, et accompagnée d'un conseil."
"Le glyphosate, une molécule produite par Monsanto pour les pesticides, vient d’être classé comme « probablement cancérogène » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) basée à Lyon. « L’information est énorme. En France, un champ de blé sur trois est traité au glyphosate. En Europe, pas moins de 400 entreprises en commercialisent, à travers 30 désherbants différents. Ailleurs dans le monde, une bonne partie des maïs et soja OGM ont été conçus pour être « Roundup ready », c’est-à-dire résistants au glyphosate. Ce qui permet d’épandre du glyphosate sur un champ et y tuer toutes les plantes sauf les OGM. Ce qui permet à Monsanto de vendre à un agriculteur à la fois la plante et l’herbicide. »"
"Rarement le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) aura rendu évaluation potentiellement aussi lourde de conséquences. Dans la dernière édition de la revue The Lancet Oncology, publiée en ligne le 20 mars, l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce avoir classé trois pesticides dans la catégorie 2A – c’est-à-dire « cancérogènes probables » –, dernier échelon avant la qualification de « cancérogène certain »."