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Qui dit forte chaleur dit salades, aliments légers, rafraîchissants… mais prudence. Les ingrédients qui composent nos salades maison ne sont pas nécessairement plus sains ni plus honnêtes sur l’étiquette. foodwatch a repéré 10 produits susceptibles de composer une sacrée salade d’arnaques et propose d’agir via une pétition pour l’un d’entre eux : le « Coraya Suprêmes Homard » qui ne comporte pas la moindre trace du homard vanté sur l’étiquette.
Cette carte a pour vocation de donner une vue d'ensemble des lois sur l'étiquetage des OGM dans le monde. Elle n'est pas encore exhaustive et sera complétée et mise à jour au fur et à mesure des…
"Quand les lobbys agroalimentaires et de la grande distribution font pression sur la ministre de la Santé... avec l'aide du ministère de l'Agriculture. Dans un article paru le 16 septembre, Mediapart révèle que l'Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA) et la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD) ont envoyé fin juin une lettre au ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll (la ministre de la Santé Marisol Touraine étant simplement en copie). Cette lettre réclame la fin des études scientifiques sur les nouveaux systèmes d'étiquetage simplifiés (qu'@si vous présentait ici). Une "censure d'un travail scientifique", dénonce Mediapart, au moment où quatre systèmes d'étiquetage vont être testés dans des supermachés à partir du 26 septembre."
"Depuis le scandale des lasagnes à la viande de cheval en 2013, les consommateurs réclament plus de transparence sur les étiquettes des plats cuisinés."
"La France expérimentera à partir du 1er janvier 2017 l’étiquetage de l’origine des viandes et du lait dans les produits transformés, une mesure réclamée par les associations de consommateurs et plus récemment par les éleveurs, selon un décret paru dimanche 21 août au Journal officiel."
"En Allemagne, le label « Ohne Gentechik », l’équivalent de la mention française « sans OGM » a le vent en poupe. Il est bien connu des consommateurs et de plus en plus d’entreprises du secteur agroalimentaire l’adoptent. Le contenu de ce label est une des raisons de son succès, ce qui met en lumière les raisons pour lesquelles l’étiquetage français équivalent peine à s’imposer."
"Le 14 juin 2016, les États-Unis ont adopté une loi qui impose un étiquetage des OGM dans l’alimentation humaine. Une victoire pour la transparence ? On en est loin. Les industriels pourront se contenter de QR Code pour que les consommateurs obtiennent l’information recherchée, au grand dam de la société civile."
"Le 14 juin 2016, une nouvelle proposition de loi a été déposée au Parlement afin de rendre obligatoire un étiquetage des OGM et des produits en contenant [1]. Si cette proposition était adoptée, le Canada serait le premier pays d’Amérique du Nord à disposer d’un tel étiquetage. Mais pourrait-il voir le jour dans ce pays qui est le cinquième producteur de plantes génétiquement modifiées (PGM) au monde et également le premier à avoir autorisé la mise sur le marché d’un animal génétiquement modifié, le saumon d’AquAdvantage ?"
"Aux États-Unis, le débat fait rage autour de l’étiquetage des OGM dans l’alimentation. Les entreprises, actrices incontournables dans ce débat, développent différentes stratégies pour échapper à l’étiquetage ou au contraire, se servir d’un nouvel argument de vente autour du « sans OGM »."
"L’Agence de Protection Environnementale (EPA) de Californie a annoncé officiellement son intention de préciser sur les étiquettes que le glyphosate est cancérigène(1). Le produit est notamment présent dans le Roundup, un célèbre herbicide utilisé dans le monde entier."
"Circulez, il n’y a rien à voir ! Voilà résumé le message contenu dans un texte voté jeudi 23 juillet par la Chambre des représentants. La majorité des parlementaires américains ont décidé que les entreprises agroalimentaires n’auraient pas à indiquer si leurs produits contiennent des organismes génétiquement modifiés (OGM)."
"Les Amis de la Terre soutiennent la campagne pour un étiquetage obligatoire des produits alimentaires issus d’animaux nourris aux OGM (viandes, charcuteries, oeufs, laits, beurres, fromages, ... et tous les produits cuisinés à base de ces produits présents partout, dans la grande distribution comme dans la restauration collective dont scolaire, de la maternelle à l’université !)"
"Après le Connecticut [1] et le Maine [2], c’est le Vermont qui a adopté, en mai 2014, une législation qui rend obligatoire l’étiquetage des produits alimentaires contenant des OGM. Le projet de loi justifie l’étiquetage par le fait que les plantes transgéniques « peuvent potentiellement poser des risques pour la santé, l’agriculture et l’environnement ». Après son adoption par les deux chambres du Parlement de l’état du Vermont, la loi qui rend obligatoire, à partir de juillet 2016, l’étiquetage des produits alimentaires contenant des OGM a été officiellement ratifiée le 8 mai 2014 par le gouverneur démocrate Peter Shumlin. Deux mois seulement après son adoption, cette loi fait l’objet d’un recours en justice déposé par plusieurs entreprises de l’agroalimentaire ainsi que par l’association des épiciers (Grocery manufacturers association - GMA), au motif de son inconstitutionnalité. Le 27 avril 2015, la juge Christina Reiss refusait la suspension de la loi, mais ne rejetait pas l’intégralité des demandes des industriels. Le procès aura donc lieu. Affaire à suivre..."
"En France, 30% de la population est en surpoids, dont 16% obèse. Des millions de personnes souffrent d’hypertension. Comment remédier à ce problème majeur de santé publique, qui coûte par ailleurs des millions d’euros à la sécurité sociale ? « Il faut donner une information nutritionnelle claire et fiable, qui doit permettre aux consommateurs de rééquilibrer leur alimentation », estime Foowatch, organisation de défense des consommateurs. Dans le cadre de l’examen du projet de loi sur la santé de Marisol Touraine, qui a débuté le 31 mars à l’Assemblée nationale, l’application d’un code couleur classant les produits alimentaires en fonction de leur qualité nutritionnelle va être discutée. Cette forme d’étiquetage est déjà pratiquée en Grande-Bretagne via un feu tricolore : vert pour un produit sain, orange lorsqu’il faut le consommer avec modération et rouge pour les produits à éviter."
"A quelques jours d’intervalle, les partisans des organismes génétiquement modifiés (OGM) viennent de remporter plusieurs victoires aux Etats-Unis. Alors que leur utilisation sert de repoussoir aux Européens dans les négociations en cours du traité de libre-échange entre les deux continents (TTIP), les OGM s’ancrent un peu plus chaque jour dans le paysage américain, malgré les protestations d’un certain nombre d’associations."
"Il n’y a pas qu’Obama qui a perdu les élections le 4 novembre 2014. De nombreux referendums sur divers sujets (légalisation du cannabis, OGM...) avaient aussi lieu dans différents états. Par exemple, dans le Colorado et l’Oregon, les citoyen-ne-s étaient appelés à se prononcer en faveur de l’étiquetage obligatoire des OGM dans l’alimentation humaine. Et dans ces deux états, c’est le « non » qui l’a emporté."
"70 organisations, de défense des consommateurs, environnementalistes, agricoles, et entreprises ont écrit une lettre ouverte à Michael Froman, représentant étasunien au commerce : elles y abordent la question des négociations actuellement en cours pour l’établissement d’un accord de libre échange transatlantique (Transatlantic Free Trade Agreement, TAFTA) [2] et notamment l’étiquetage des OGM. "
"Courant 2012, la DGCCRF a réalisé deux enquêtes sur le respect de la réglementation en matière d’OGM dans l’alimentation humaine et animale, et publié fin 2013 un compte-rendu plus que succinct sur son site Internet. Inf’OGM, après s’être vu refuser la communication de ces enquêtes au motif de leur non communicabilité, avait saisi la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA). Or, la veille de l’examen de notre demande par la CADA, la DGCRRF nous envoyait les deux études en question, que nous avions demandées cinq mois plus tôt. Et quelle surprise de constater que ces deux notes d’information portent dans leur intitulé même la mention « communicable au sens de la loi du 17 juillet 1978 ». Dommage que la DGCCRF ait attendu que nous lancions une procédure pour effectivement s’en rendre compte et espérons qu’elle en prenne note pour nos prochaines demandes. Inf’OGM vous livre les détails de ces enquêtes qui révèlent un certain nombre d’anomalies (OGM non autorisés ou non étiquetés...) à la fois dans l’alimentation animale et l’alimentation humaine."
"Après le Connecticut et le Maine, ce sera bientôt au tour du Vermont d’adopter une législation qui rend obligatoire l’étiquetage des produits alimentaires contenant des OGM. Le projet de loi justifie l’étiquetage par le fait que les plantes transgéniques « peuvent potentiellement poser des risques pour la santé, l’agriculture et l’environnement »."
"La question de l’étiquetage obligatoire des organismes génétiquement modifiés (OGM) aux États-Unis a pris, ces deux dernières années, une ampleur sans précédent. Pas un jour, quasiment, sans qu’un article de journal ou une émission de télévision n’évoque le sujet. Un nouveau projet de loi vient d’être déposé au Sénat californien."