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Dans une tribune publiée samedi dans "Le Monde", l'un des garants de la Convention citoyenne pour le climat a de nouveau demandé au président de la République de respecter ses engagements vis-à-vis du collectif citoyen.
Malgré une série d’affaires, le président Emmanuel Macron refuse de s’exprimer sur la question des violences policières. Plus grave, son gouvernement nie leur caractère systémique. Une posture qui pourrait briser la cohésion nationale
Il permet aux forces de l'ordre de conserver leur arme, en dehors de leur service, dans les établissements recevant du public. Même les forces américaines n'ont jamais obtenu une telle faveur.
Les députés ont débattu, vendredi 20 novembre, des dispositions les plus polémiques de la proposition de loi relative à la sécurité globale. Gouvernement et majorité ont tenté de faire croire que la loi ne portait pas atteinte aux libertés fondamentales. Mais échoué à convaincre une opposition combative et les observateurs. Récit du débat à l’Assemblée nationale.
Les deux hommes forts du dispositif imaginé par Emmanuel Macron sont mis en difficulté. Mais plutôt que de s’interroger sur ses choix politiques, le président de la République laisse faire. Et relativise.
Pour Emmanuel Macron, c’est l’heure de l’examen de passage, épreuve écologie et climat. Le Président s’était engagé à reprendre « sans filtre » les propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC). Cinq mois après la fin des travaux des citoyens tirés au sort, Contexte fait le point sur le bilan des mesures, au fil des annonces gouvernementales survenues depuis juin 2020.
La présidente LREM de la commission des Lois de l'Assemblée nationale est à l'origine d'une proposition de loi sur la rétention de sûreté censurée par le Conseil constitutionnel.
Dans « Politiques du désordre », Olivier Fillieule et Fabien Jobard montrent comment les « gilets jaunes » ont révélé une brutalisation du maintien de l’ordre. En toile de fond, un pouvoir politique qui craint sa police et ne veut plus écouter les manifestants. Entretien exclusif.
Les représentants des personnels hospitaliers n'étaient pas les bienvenus vendredi matin pour la visite du Premier ministre au CHRU de Brest. Ils ont été soigneusement tenus à l'écart des officiels, confinés dans un local. Le syndicat SUD a déposé plainte pour entrave à la liberté de circulation.
Plusieurs journaux européens et américains se sont fait l’écho des risques pour la liberté de la presse du projet de loi sécurité globale, et s’inquiètent plus largement du virage droitier et autoritaire pris par le président français.
Le gouvernement veut continuer à vider de sa substance la grande loi sur la liberté de la presse et la liberté d’expression du 29 juillet 1881. Elle est pourtant au fondement de notre démocratie et constitue la traduction législative de la Déclaration des droits de l’homme de 1789.
Le député LREM des Hauts-de-Seine Thierry Solère et le député européen LREM Stéphane Séjourné vont renforcer leur rôle de conseil politique auprès du président Emmanuel Macron, ont-ils indiqué l’un et l’autre ce dimanche 22 novembre à l’AFP, confirmant une information du Journal du Dimanche.
=> Le député #LREM Thierry #Solère est mis en examen pr fraude fiscale, détournement de fonds publics, recel de violation du secret pro., trafic d'influence, recel d'abus de biens soc., recel d'abus de confiance et financem. illicite de campagnes électorales.
Depuis trois ans, l’exécutif s’attaque aux grandes lois fondatrices, sous couvert de sécurité et de défense des principes républicains. Pour les défenseurs des libertés publiques, « une menace pèse sur l’idée de démocratie elle-même ».
La proposition de loi de «sécurité globale», actuellement discutée à l’Assemblée nationale, vient s’ajouter à d’autres textes, mesures et pratiques dénoncés depuis trois ans par les défenseurs des droits fondamentaux.
Les derniers textes de loi, les déclarations du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, et la volonté de se montrer en pointe dans la lutte contre le terrorisme, ont changé le visage du macronisme.
La proposition de loi LREM sur la Sécurité Globale est débattue à partir d’aujourd’hui jusqu’au 20 en séance. 1 321 amendements ont été enregistrés à cet instant. Comme pour l’examen en commission des lois, Next INpact propose un panorama des amendements déposés sur les articles relatifs aux nouvelles technologies.
C’est l’épilogue d’un parcours de presque deux ans. Après une première lecture à l’Assemblée nationale en juillet, puis un examen au Sénat le 30 octobre, le projet de loi de programmation de la recherche (LPR) pour les années 2021 à 2030 a été adopté, lundi 9 novembre, en commission mixte paritaire. Dans ce contexte social bouleversé, les locaux des universités étant clos jusqu’à nouvel ordre, députés et sénateurs semblent en avoir profité pour ajouter au texte une disposition qui compromet l’avenir des mobilisations universitaires.
Depuis mars, le président a fait de cette vieille instance un lieu clé dans la prise des décisions sensibles. Pour certains, elle illustre le manque de transparence du gouvernement.
Autorité indépendante chargée de veiller au respect des règles de déontologie par les professionnels de la sécurité, publique comme privée, le Défenseur des droits a apporté ses observations dans un avis publié ce jour sur la proposition de loi relative à la « Sécurité globale ».
Atteintes à la liberté d’informer, au droit de manifester… Le texte, qui présente de graves reculs, est examiné mercredi en commission. La gauche et des associations de défense des droits humains sont déjà en alerte.