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Depuis 2020, le jeu vidéo « Fortnite » a disparu des magasins en ligne de Google et d’Apple. Son éditeur, Epic Games, poursuit depuis 2020 les deux entreprises, dénonçant leur position de monopole sur le marché des applications mobiles. Un tribunal californien lui a donné raison, lundi, dans la procédure l’opposant à Google.
Dans un verdict historique, un jury a décidé que Google avait effectivement un monopole illégal sur la distribution des applications pour smartphones. Cette décision fait suite à une bataille juridique acharnée entre Epic Games et Google concernant les pratiques de la boutique d’applications de ce dernier. Epic Games, le créateur du jeu populaire “Fortnite”, a poursuivi Google en 2020, affirmant que les frais imposés par le Google Play Store pour les abonnements intégrés aux applications et les transactions ponctuelles, ainsi que d’autres conditions, ont aidé Google à maintenir un monopole illégal sur la distribution des applications. Le procès, qui s’est déroulé devant le tribunal de district des États-Unis dans le district nord de la Californie, a mis en lumière le débat de longue date sur la question de savoir si les opérateurs de boutiques d’applications comme Google et Apple favorisent un écosystème d’applications ouvert et compétitif.
Le département américain du Commerce a publié mercredi un nouveau rapport appelant le Congrès à ouvrir les magasins d'applications mobiles à une plus grande concurrence. Le rapport décrit les géants Apple et Google comme les "gardiens" des magasins d'applications mobiles et suggère qu'une législation est nécessaire pour stimuler la concurrence et donner plus de choix aux développeurs d'applications et aux consommateurs. Les nouvelles demandes adressées au Congrès par l'administration Biden s'inscrivent dans le cadre d'un plan gouvernemental plus large visant à lutter contre la consolidation du monopole des entreprises dans tous les secteurs.
La Cour suprême américaine envisage de revenir sur le droit à l'avortement. Des inquiétudes émergent sur les collectes de données personnelles pouvant incriminer les femmes.
Les applications dédiées à la santé mentale sont très populaires auprès des utilisateurs. Pourtant, nombre d’entre-elles représentent un danger pour les données privées, selon une étude de Mozilla qui en a analysé une trentaine. Des applications dédiées à la pratique de la religion sont aussi concernées par ce problème.
Envoyer une photo via son smartphone, consulter le fil d'actualité de son appli préférée, regarder une vidéo sur YouTube, certaines activités numériques du quotidien peuvent s'avérer gourmandes en énergie… Et pas toujours neutres en émissions de gaz à effet de serre. Dans une étude parue l'année dernière, Greenspector a évalué l'empreinte carbone d'une sélection de réseaux sociaux. Pour chacune des applications, le niveau d'émission (en gEqCO2) a été estimé en tenant compte de la consommation de ressources (volume de données échangées) et d’énergie, mesurées lors d'un scénario utilisateur d’une durée de 1 minute sur un smartphone Galaxy S7 (Android 8). Le scénario utilisateur correspondait à un défilement des contenus du fil d’actualité d’un compte actif.
Un chercheur français a mis au point un outil pour suivre ponctuellement les déplacements des utilisatrices et utilisateurs de l'app de rencontre Happn. Ce traçage est approximatif grâce aux protections de l'app, mais suffirait à perpétrer certains actes malveillants.
Facebook got itself into a sensitive data scandal when it did shady business with Cambridge Analytica, Instagram confirmed a security issue exposing user accounts and phone numbers, but these apps are basically online security havens compared to TikTok, according to one senior software engineer with about 15 years of professional experience.
Destinée à lutter contre l’épidémie, l’application Aarogya Setu (téléchargée par un Indien sur dix) est attaquée en raison de sa collecte de données et de sa gestion opaque. Le gouvernement a fait des concessions, mais des inquiétudes persistent.
Une ONG a découvert que des données étaient envoyées à Facebook, même lorsque leur utilisateur ne disposait pas de compte sur le réseau social.
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Un nouveau rapport affirme que plusieurs milliers d’applications présentes sur le Play Store collectent la liste de tous les logiciels présents sur le mobile. Toutes les catégories d’applications sont concernées. Et aucune permission n’est nécessaire pour cela, car elles profitent d’une fonctionnalité d’Android offerte aux développeurs.
Le gouvernement réfléchit à la mise en place d’applications pour tracer les malades et alerter les personnes qu’ils auraient croisées.
Lancée à la fin du mois de janvier, l’application Tadata propose de rémunérer les jeunes en échange de leurs données personnelles. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a été alertée.
Android est basé sur un logiciel libre et peut être utilisé avec des logiciels libres. On pourrait définir dix paliers de migration d’un équipement Android vers un équipement plus libre, les premiers sont faciles à passer, les derniers demandent un plus grand engagement, mais on peut s’arrêter au niveau que l’on souhaite après avoir avancé autant qu’on le pouvait.
L'ONG de défense de la vie privée Privacy International a étudié les données qui transitent entre une trentaine d'applications pour Android et le réseau social. Elle présentait son rapport samedi soir en Allemagne lors du congrès du Chaos Computer Club, le grand rassemblement annuel des hackers européens.
La nouvelle année qui arrive sera t-elle synonyme d'accalmie sur le front des affaires pour Facebook ? Rien n'est moins sûr...
Il y a pile un an, Exodus Privacy publiait son outil d'analyse d'applications Android, en quête de mouchards jusqu'ici invisibles. L'association diffuse aujourd'hui des statistiques et un large lot de données sur les conséquences du RGPD sur ces trackers, six mois après son entrée en application.
Spécialisée dans le ciblage publicitaire, Vectaury intègre des modules de géolocalisation dans des applications mobiles de la grande distribution pour établir le profil consommateur des clients. Mais l’information et le recueil du consentement de cette collecte de données étaient défaillants.