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Depuis 2020, le jeu vidéo « Fortnite » a disparu des magasins en ligne de Google et d’Apple. Son éditeur, Epic Games, poursuit depuis 2020 les deux entreprises, dénonçant leur position de monopole sur le marché des applications mobiles. Un tribunal californien lui a donné raison, lundi, dans la procédure l’opposant à Google.
Dans un verdict historique, un jury a décidé que Google avait effectivement un monopole illégal sur la distribution des applications pour smartphones. Cette décision fait suite à une bataille juridique acharnée entre Epic Games et Google concernant les pratiques de la boutique d’applications de ce dernier. Epic Games, le créateur du jeu populaire “Fortnite”, a poursuivi Google en 2020, affirmant que les frais imposés par le Google Play Store pour les abonnements intégrés aux applications et les transactions ponctuelles, ainsi que d’autres conditions, ont aidé Google à maintenir un monopole illégal sur la distribution des applications. Le procès, qui s’est déroulé devant le tribunal de district des États-Unis dans le district nord de la Californie, a mis en lumière le débat de longue date sur la question de savoir si les opérateurs de boutiques d’applications comme Google et Apple favorisent un écosystème d’applications ouvert et compétitif.
A container-based approach to boot a full Android system on a regular GNU/Linux system like Ubuntu.
Lancée à la fin du mois de janvier, l’application Tadata propose de rémunérer les jeunes en échange de leurs données personnelles. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a été alertée.
Dans une longue enquête, le site Kotaku révèle que Niantic accumule des montagnes de données personnelles. Après le succès sans précédent de Pokémon Go, qui séduisait encore près de 150 millions de joueurs et joueuses en 2018, Niantic s'est lancée à l'assaut d'un autre monstre de...
Les téléphones font partie prenante de notre vie de tout les jours : ils nous accompagnent où que nous allions, enregistrent nos documents, photographies, messages, permettent de communiquer avec nos proches… et pourtant nous n'en avons pas véritablement le contrôle la plupart du temps.
Des entreprises ont trouvé le moyen de contourner les régulations d’Apple et d’Android pour savoir quels appareils ont désinstallé leur application et pouvoir envoyer des publicités pour essayer de récupérer son ou sa propriétaire.
Nous avons passé malgré nous un pacte entre d’un côté le confort procuré et de l’autre la liberté abandonnée. L’enjeu deviendra démocratique s’il ne l’est pas déjà.
« Vous achetez votre baguette et, pendant ce temps là, votre boulanger fouille dans vos affaires pour mieux vous connaitre. » C’est la question que j’ai posé via la fonction de sondage Twitter, il est temps de passer aux explications.
"Le « Financial Times » ne développe plus d’applications iOS et s’en félicite. Plusieurs médias américains ont fait de même. "
"Ces dernières semaines, Google a retiré du Chrome Web Store plusieurs extensions permettant de chercher des fichiers BitTorrent sur des sites spécialisés comme The Pirate Bay ou KickassTorrents, car elles favorisent le piratage, selon l'entreprise américaine."
"Suite à une intervention du président de Mozilla Europe, l'ARCEP a laissé entendre son intérêt pour la neutralité des boutiques d'applications. Ce sujet devrait figurer lors du prochain colloque du régulateur, l'année prochaine.
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il s'agit de savoir jusqu'où une société privée peut être libre de choisir ce qui peut être publié sur sa plateforme lorsque celle-ci est devenue incontournable, au point que la moindre décision ou la moindre modification des règles de fonctionnement peut bouleverser en profondeur une activité."
"Officiellement pour des raisons de sécurité, mais officieusement également pour s'assurer la main-mise sur l'environnement, Google a décidé de bannir à partir du mois de janvier toute extension pour Chrome qui ne sera pas validée et référencée sur sa plateforme Chrome Web Store.
"L’affaire Snowden a au moins eu le mérite de révéler l’ampleur de la surveillance dont tout homme sur la planète, où qu’ils soient, fait l’objet. L’éleveur de chèvres en Azerbaïdjan qui se croit pénard en haut de sa colline, pour peu qu’il possède un téléphone ou un accès, même limité, à Internet est espionné. Déjà dubitatif sur la possibilité de véritablement pouvoir protéger ses données personnelles, le doute n’est plus permis. Quand nous ne fournissons pas nous même gracieusement ce genre d’information via les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, LinkedIn, et consorts."
"Je ne reviendrai pas sur Prism, les récupérations des métadonnées par différents services, cela a été longuement développé sur le web. Mais, si vous voulez savoir ce que Gmail peut communiquer de vous par exemple à la NSA il est possible d’utiliser le programme Immersion, développé par C. Hidalgo, professeur au M.I.T ( Massachusetts Institute of Technology ) : https://immersion.media.mit.edu/ "
"Lorsque les premières révélations sur Prism, le programme de surveillance de la NSA, sont tombées, le gouvernement américain et les services de renseignement se sont retranchés derrière un terme peu connu du grand public : la métadonnée."
"Quand a éclaté le scandale Prism, le système de la NSA permettant d'extraire des données à partir de Google, Facebook et consorts, on vous a dit que le programme secret le plus effrayant révélé par les récentes fuites concernait en fait la collecte et le stockage de millions de relevés et de géolocalisations téléphoniques et mails des citoyens américains –et étrangers."
"Mettant en application une clause de son contrat ajoutée l'an dernier, Apple a décidé de supprimer l'application AppGratis, qui permettait aux possesseurs d'un iPhone ou iPad de télécharger des applications gratuitement, à titre promotionnel. L'éditeur parisien avait une équipe d'une quarantaine d'employés."
"C’était mieux avant ?
Tom Morris souhaite juste lire un article de presse. Sauf que la procédure pour y arriver n’est pas la même selon qu’il se trouve sur bon vieil ordinateur ou sur son clinquant smartphone.
Alors Tom Morris en a marre et nous le dit sur son blog dans un style qui ne fait pas dans la dentelle !"
"Si la motorisation et la ligne restent des éléments déterminants pour choisir une voiture, l’équipement technologique prend une place de plus en plus importante. Les possesseurs de tablettes ou de smartphones désirent des systèmes qui leur permettent d’utiliser facilement leur équipement pendant la conduite pour accéder aux contenus ou s’orienter avec leur application préférée.
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L'expérience du secteur technologique montre que les applications sont un élément important pour fidéliser les consommateurs. Apple et Google ont ainsi créé des « écosystèmes » d'applications compatibles avec leurs logiciels d'exploitation mobiles, iOS et Android."
De la à dire qu'une application développée pour Ford ne sera pas compatible avec une Renault... Il n'y a qu'un pas qu'il est aisé de franchir.