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Lancée mardi par plusieurs associations écologistes, une pétition défend l’interdiction définitive des écrans numériques publicitaires – une mesure d’urgence pour faire face à la crise énergétique.
Malgré les efforts d’une partie du secteur et des consommateurs, les émissions de CO2 liées aux téléphones continuent d’augmenter. Un problème de fond, aggravé par le déploiement de la 5G.
Le déploiement de la 5G risque d’augmenter « significativement » les émissions de gaz à effet de serre du numérique et la consommation d’électricité en France, selon l’autorité indépendante.
Le Haut conseil pour le climat publie son rapport "Maîtriser l'impact carbone de la 5G", répondant à une saisine du Sénat.
Ce rapport porte sur l’impact d’une nouvelle technologie sur les émissions de gaz à effet de serre et évalue de manière prospective l'impact carbone du déploiement de la 5G en France.
Dans un rapport publié ce 19 décembre, le Haut Conseil pour le climat met en garde contre les effets néfastes sur l'environnement de la prochaine génération de réseau mobile. Il s'agit de la première étude menée en France sur le sujet.
Ci-après est une liste des pays par empreinte écologique. Les données du tableau sont issues d'analyses faites entre 1961 et 2013 par le Global Footprint Network et publiées dans un rapport en 2016. Les chiffres sont donnés en hectares globaux par habitants (hag/hab). L'empreinte écologique moyenne dans le monde en 2016 était de 2,75 hag/hab ou de 22,6 milliards hag au total. Avec une biocapacité mondiale moyenne de 1,63 hag/hab ou de 12,2 milliards hag au total, cela résulte en un déficit écologique mondial d'1,1 hag/hab ou de 10,4 milliards hag au total1.
Oubliez la dématérialisation, le virtuel. Le numérique pèse bel et bien sur l’environnement : il consomme de l’électricité, rejette des gaz à effet de serre, incite à l’exploration minière... Les empreintes sont multiples mais pas si évidentes à mesurer.
Après neuf mois de travail avec l’institut de recherche Bifa d’Ausbourg, Fujitsu vient de présenter l’empreinte gaz à effet de serre (GES) de son ordinateur de bureau Esprimo E9900. Cette étude a été réalisé en respectant les standards internationaux ISO 14040 et ISO 14044 qui définissent la méthodologie à suivre pour réaliser une analyse de cycle de vie (ACV). Les résultat ont été vérifié par un tiers indépendant, l’institut Fraunhofer IZM. On peut donc considérer que ces résultats sont sérieux.
Alors que le numérique envahit notre quotidien, les impacts environnementaux associés ne cessent de croître. Mais dans quelles proportions ? Quelle est précisément notre empreinte numérique ? De quoi est-elle constituée ? Et quelle est sa dynamique ?
Depuis les deux rapports du shift project, sur la sobriété numérique et la vidéo en ligne, et avec de plus la semaine dernière la sortie de l’étude de GreenIT.fr, on entend beaucoup parler de la pollution due au numérique. Ces études sérieuses sont là pour rappeler que le numérique n’est pas immatériel, et qu’il doit, comme les autres secteurs, s’intérroger sur sa croissance, son efficacité et ses usages dans un monde fini.
Le média GreenIT.fr a publié le 22 octobre ses dernières estimations concernant l'empreinte environnementale (notamment énergétique) du secteur numérique dans le monde.
Selon une étude publiée par franceinfo, le secteur est amené à évoluer très rapidement, et à doubler ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2025.
Le cabinet GreenIT publie une étude sur l'empreinte environnementale du numérique mondial. Le secteur va doubler ses émissions de gaz a effet de serre d'ici 2025 et tripler ses impacts environnementaux notamment avec le développement des mines.
La croissance exponentielle du numérique constitue une menace pour le climat et les ressources naturelles, révèle The Shift Project. Le think tank recommande d'adopter urgemment un scénario de sobriété numérique.
Combien de tonnes de ressources ont été mobilisées, combien de kilos de CO2 ont été émis pour fabriquer votre téléviseur (et vos écrans) ? Une nouvelle étude vous permet d'estimer leur empreinte écologique en fonction de la taille. De quoi réfléchir à deux fois avant de craquer pour le dernier écran plasma 60 pouces ?
Alors que l'emballement climatique, l'effondrement de la biodiversité et une myriade d'autres problèmes environnements menacent la vivabilité de notre planète, un lecteur d'Usbek & Rica s'est demandé quelle était la façon la plus rapide et efficace d'agir. Ni les actions individuelles, inefficaces, ni les appels à renverser le capitalisme, dépourvus de contre-projet sérieux selon lui, ne sont la bonne solution. Il faudrait plutôt se concentrer sur l'action politique et oser prendre des mesures impopulaires, utiliser les leviers du marché et renforcer la régulation environnementale.
Si le monde entier vivait comme les Français, les ressources naturelles que la planète peut renouveler en un an seraient consommées dès le 5 mai.
"Les représentants de 147 Etats du monde se retrouvent à Paris à partir du dimanche 29 novembre et jusqu’au 11 décembre, pour tenter de trouver un accord pour limiter le réchauffement climatique en dessous des 2° C d’ici à la fin du siècle."
"Depuis quelques années, les financiers veulent croire que le choix d’une exposition des portefeuilles à des titres à faible empreinte carbone serait à terme profitable. La seule logique du profit, de la meilleure rentabilité ajustée du risque des titres verts, devrait donc inciter les investisseurs institutionnels à réorienter naturellement leurs investissements vers les entreprises les plus vertueuses en matière d’empreinte carbone."
"Si la consommation énergétique des ménages ne cesse d'augmenter, celle liée à l'usage d'Internet va devenir de plus en plus significative. Une étude datant de juillet 2014, a démontré que surfer sur le web fait consommer beaucoup d'énergie, pas seulement à cause des centres de données mais principalement du fait de la conception des sites web et des habitudes des internautes. Près de 25 ans après la naissance du web, sa croissance est telle qu'elle va poser de sérieux défis énergétiques au point que certains prédisent déjà son effondrement dans quelques années seulement..."