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Vous avez surement croisé ici et là des présentations techniques des derniers Macbook Pro et iMac sous SoC Apple M3. Ces nouvelles puces continuent de prendre de l’avance sur le reste du marché PC à tel point qu’elles finissent par leur porter une ombre technologique.
Petit à petit, les premiers informaticiens ont amélioré la technologie. Ils ont créé des ordinateurs « programmables » qui pouvaient être modifiés si on leur fournissait des programmes au format binaire, généralement des trous sur des cartes en carton qui étaient insérées dans un ordre précis. Il fallait bien évidemment comprendre exactement comment fonctionnait le processeur pour programmer la machine.
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La responsabilité en incombe à tous les militants, qu’ils soient écologistes, gauchistes, anticapitalistes, socialistes, voire même tout simplement locaux. On ne peut pas militer pour l’écologie et la justice sociale tout en favorisant les intérêts des plus grandes entreprises du monde. On ne peut pas militer pour le local en délocalisant sa propre voix à l’autre bout du monde.
Superbe article à la conclusion impeccable !!
Un amendement propose d'inscrire une obligation dans la loi à destination des fabricants d'équipements : lever les éventuelles restrictions empêchant d'installer le logiciel de son choix. Mais l'emploi de cette mesure ne parait pas évident.
Après neuf mois de travail avec l’institut de recherche Bifa d’Ausbourg, Fujitsu vient de présenter l’empreinte gaz à effet de serre (GES) de son ordinateur de bureau Esprimo E9900. Cette étude a été réalisé en respectant les standards internationaux ISO 14040 et ISO 14044 qui définissent la méthodologie à suivre pour réaliser une analyse de cycle de vie (ACV). Les résultat ont été vérifié par un tiers indépendant, l’institut Fraunhofer IZM. On peut donc considérer que ces résultats sont sérieux.
Alors que le numérique envahit notre quotidien, les impacts environnementaux associés ne cessent de croître. Mais dans quelles proportions ? Quelle est précisément notre empreinte numérique ? De quoi est-elle constituée ? Et quelle est sa dynamique ?
Depuis les deux rapports du shift project, sur la sobriété numérique et la vidéo en ligne, et avec de plus la semaine dernière la sortie de l’étude de GreenIT.fr, on entend beaucoup parler de la pollution due au numérique. Ces études sérieuses sont là pour rappeler que le numérique n’est pas immatériel, et qu’il doit, comme les autres secteurs, s’intérroger sur sa croissance, son efficacité et ses usages dans un monde fini.
C'est un sombre constat qui bout intérieurement depuis des mois, devenu un énervement depuis 15 jours, et une obsession ce week-end. Attention aux âmes sensibles qui croient que mon hacktivisme est celui d'un bisounours, je vais être une fois de plus clivant et choquant.
Combien de tonnes de ressources ont été mobilisées, combien de kilos de CO2 ont été émis pour fabriquer votre téléviseur (et vos écrans) ? Une nouvelle étude vous permet d'estimer leur empreinte écologique en fonction de la taille. De quoi réfléchir à deux fois avant de craquer pour le dernier écran plasma 60 pouces ?
Selon une longue enquête de Bloomberg, du matériel fabriqué en Chine pour l’entreprise Supermicro, un des principaux fournisseurs de cartes mères au monde, a été compromis.
"La sécurité informatique est parfois trop prise à la légère par certains, avec toutes les conséquences désastreuses que cela peut avoir. Afin de limiter les dégâts et de prodiguer quelques conseils, l'ANSSI et la CGPME ont publié un guide des bonnes pratiques de la sécurité informatique. Une première approche intéressante, mais est-ce suffisant ?"
"Chronique C'est tout Net. Les « je n'ai plus de piles » ont cédé du terrain aux « il ne me reste que 5 % de batterie ». Les attachants smartphones, tablettes et ordinateurs, gourmands en énergie, restent attachés à leurs prises électriques."
"L’Académie de Paris organise sa « Journée de l’innovation et du numérique » [1] aujourd’hui, ce 28 mai. L’occasion pour le corps enseignant de s’interroger sur la place de l’informatique dans le milieu scolaire. La manifestation sera ouverte à tous : les professeurs du premier et second degrés, les conseillers principaux d’éducation (CPE), les formateurs… et aussi les sponsors. Elle ne se déroulera pas dans une université ou dans une classique salle de conférence mais... au siège de Microsoft France à Issy-les-Moulineaux !"
"La France a fait le choix depuis de nombreuses années de considérer l’informatique à l’école et jusqu’au collège, uniquement à travers ses usages via le B2I. L’Éducation nationale perçoit le numérique comme un outil utile aux autres apprentissages.
Cette vision n’est pas forcément mauvaise mais elle semble trop restrictive. Le numérique ne peut se limiter à son seul usage au service des autres disciplines. Il pourrait être pertinent de mettre en place un réel enseignement de l’informatique comme il en existe dans d’autres pays ou même en France (mais seulement en option au lycée).
Les programmes de l’école primaire étant en pleine ré-écriture actuellement, Serge Abiteboul, Jean-Pierre Archambault, Gérard Berry, Colin de la Higuera, Gilles Dowek et Maurice Nivat ont envoyé au Conseil supérieur des programmes ce texte, que nous reproduisons ci-dessous, présentant les grandes orientations de ce que pourrait être un programme d’informatique à l’école primaire."
"Le logiciel libre, quézako ? Ce nom, a priori barbare, fait pourtant partie du quotidien de tous et est en réalité, un concept très simple à comprendre pour tout utilisateur. Le Logiciel Libre repose sur 4 libertés fondamentales : la liberté d’utiliser le logiciel à toutes fins utiles ; la liberté d’étudier le logiciel ; la liberté de modifier le logiciel ; et la liberté de dupliquer le logiciel."
""Red Hat", société éditrice de logiciels et systèmes d’exploitation libres, a commandé à l’agence Adelanto un panorama de l’open source en France. Principal enseignement : 89% des entreprises interrogées exploitent des applications Open source."
"Pour Thierry Karsenti, directeur technique de Check Point pour l'Europe, le cloud pourrait s'avérer en définitive plus dangereux que les virus, contre lesquels les utilisateurs ont fini par apprendre à se préserver."
"Avec l'arrivée sur les ordinateurs du nouveau système d'exploitation de Microsoft, Windows 8, vendredi 26 octobre, les machines vont paradoxalement prendre un petit coup de vieux : il va redevenir difficile d'échapper à Windows pour installer d'autres systèmes tout aussi performants, comme FreeBSD ou les systèmes GNU/Linux dont les plus connus sont Ubuntu, Linux Mint, Fedora, OpenSUSE..."
"Red Hat va mettre la main à la poche pour acheter le certificat nécessaire au fonctionnement de la distribution GNU/Linux Fedora sur les matériels équipés du Secure Boot, qui est associé au BIOS UEFI. Un compromis technique en l’absence de mobilisation juridique pour contrer cette nouvelle tentative de Microsoft de verrouiller le marché des ordinateurs."
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On pourrait se réjouir au final de cette conclusion et se dire : voilà le logiciel libre a vaincu et neutralisé le nouveau système privateur. Mais cela restera vrai en partie seulement, car sur les tablettes ARM, le verrouillage sera total, Microsoft l’a exigé et Matthew Garrett annonce d’ors et déjà qu’il n’y aura pas de solution développée. Et si les tablettes et leurs futures évolutions représentent l’avenir de l’informatique grand public, nous pouvons demeurer très inquiet. Notre espoir réside dans l’échec commercial (probable) que Microsoft pourrait rencontrer sur ce marché. Mais en faveur de qui ? Google (Android) ou Apple ?
"Un projet de directive européenne prévoit de pénaliser la possession et la distribution d'outils de hacking pour lutter contre la cybercriminalité. Une disposition aberrante y compris aux yeux de plusieurs communautés d'experts en sécurité informatique.
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“Contre-productif”, “stupide”, un “danger pour l’Europe”, les spécialistes de la sécurité informatique interrogés par OWNI ne mâchent pas leurs mots pour décrire le projet de directive européenne qui vise à étendre à toute l’Union européenne ce qui existe déjà en France depuis la Loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN) de 2004 : la répression du hacking. Qui est à la base un usage créatif des technologies et n’a donc rien d’illégal en soi."