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Le sondage a été réalisé pour le magazine de gendarmes «L’Essor». Les résultats montrent une profession qui vote de façon uniforme. Au premier tour, 69% des gendarmes ont voté pour un des deux candidats fascistes : 38% pour Le Pen, et 31% pour Zemmour. Au second tour, le score est encore plus écrasant : 81% des gendarmes vont voter Le Pen. La quasi-totalité de la gendarmerie plébiscite l’extrême droite. Sur un escadron de gendarmes mobiles armés qui réprime une manifestation, pensez qu’au moins 8 militaire sur 10 ont voté pour un régime d’extrême droite. Et dans la police, la proportion est probablement encore plus élevée.
« Le traitement des images par des logiciels de reconnaissance faciale est interdit ». Tel était l’objet de l’amendement n°134 qui avait été déposé par des sénateurs dans le cadre de l’examen de la proposition de loi relative à la sécurité globale. Mais, discutée le 18 mars en séance, la proposition a toutefois été largement rejetée, par 248 contre et seulement 98 pour.
Il permet aux forces de l'ordre de conserver leur arme, en dehors de leur service, dans les établissements recevant du public. Même les forces américaines n'ont jamais obtenu une telle faveur.
Sous la direction de la JIRS de Lille, les gendarmes du C3N, du SCRC et de l'IRCGN ont obtenu l’autorisation de mettre en œuvre un dispositif d’interception des communications à large échelle des utilisateurs du réseau chiffré EncroChat, utilisé par le crime organisé. Grâce à cette prouesse technique, les enquêteurs ont eu accès aux conversations non chiffrées et en temps réel d’environ 60 000 utilisateurs. Près de 120 millions de messages et images, presque tous liés à de la criminalité organisée de haut niveau, ont été interceptés, sans que la captation soit détectée. Les renseignements partagés via Europol avec de nombreux pays ont déjà permis près de 1 000 arrestations, majoritairement en Europe, et des saisies spectaculaires. Plusieurs centaines d’assassinats ont également été déjouées. Retour plus en détail sur cette belle affaire qui a secoué l’univers de la criminalité organisée.
Petit à petit, le service public s'organise contre le monopole de Google. Des outils associatifs font leur apparition sur les sites internet des collectivités comme Framasoft ou OpenStreetMap, et certaines entreprises comme Qwant investissent l'éducation nationale.
Après deux ans de travaux, la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale a déployé un intranet conçu par Alterway avec Inop's.
"En France, les services de secours ont de plus en plus recours à une application open source développée à l'origine par une Gendarme, qui permet de géolocaliser plus précisément les appels d'urgence à l'aide d'un SMS."
"Le Général Devis Favier, Directeur général de la Gendarmerie nationale, souhaite que les forces de l'ordre puissent obtenir le brouillage des réseaux sociaux et le droit d'intercepter les SMS, lors de manifestations qui dégénèrent. "L'idée peut choquer", convient-il."
"Alors qu'elle se dit très attachée au logiciel libre, la gendarmerie nationale semble surtout les apprécier lorsqu'il s'agit de faire des économies et d'adapter chez elle des outils créés par d'autres. Mais alors qu'elle avait une occasion rêvée de verser son logiciel d'analyse de photos et de cartes GENDEFIX à la communauté du libre, la Gendarmerie ne semble pas prête à franchir le pas."
"Après un échange de courriers dont Numerama a pris connaissance, la Gendarmerie a refusé de mettre en place une solution antivirus McAfee achetée par la centrale d'achat public de l'Etat, parce que Microsoft considérait qu'elle obligeait à acheter une licence client (CAL) de Windows Server pour chaque poste utilisateur, même sous Linux. La Gendarmerie a prévenu tous les ministères, et demande une solution antivirus basé sur un serveur Linux."