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Google et iHeartMedia, le plus grand opérateur de stations de radio des États-Unis, font l'objet d'une poursuite pour publicités mensongères concernant des publicités qu'ils ont diffusées sur le Pixel 4. La FTC et quatre États affirment que les entreprises ont diffusé « près de 29 000 recommandations trompeuses émanant de personnalités de la radio » en 2019 et 2020, le directeur du Bureau de la protection des consommateurs, Samuel Levine, déclarant que « Google et iHeartMedia ont payé des influenceurs pour promouvoir des produits qu'ils n'ont jamais utilisés, faisant preuve d'un manque de respect flagrant pour les règles de vérité dans la publicité ». Les deux sociétés sont parvenues à une entente pour mettre fin au procès et devront payer 9,4 millions de dollars de pénalités.
Réaliser des campagnes d’influence coûte de plus en plus cher. Décryptage des tarifs selon les plateformes, les posts, et les types d’influenceur.
L’exposition des adolescents et des enfants à la malbouffe sur internet est en pleine expansion. Les trois quarts des aliments et boissons mis en avant par des influenceurs ont une « teneur élevée en sel, en matières grasses ou en sucre » et ne seraient pas « autorisés à être commercialisés auprès des enfants », selon une étude des docteures Maria Wakolbinger et Eva Winzer de l’Université médicale de Vienne (Autriche).
Une agence de communication tente de mener une campagne de déstabilisation anti-Pfizer en France.
Plusieurs youtubeurs et influenceurs ont reçu une proposition de partenariat rémunéré visant à répéter que le taux de décès imputé au vaccin Pfizer «est presque trois fois plus élevé qu’avec AstraZeneca». Derrière, une agence douteuse qui se dit basée au Royaume-Uni et ne souhaite pas dévoiler l’identité de son client.