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Petit à petit, les premiers informaticiens ont amélioré la technologie. Ils ont créé des ordinateurs « programmables » qui pouvaient être modifiés si on leur fournissait des programmes au format binaire, généralement des trous sur des cartes en carton qui étaient insérées dans un ordre précis. Il fallait bien évidemment comprendre exactement comment fonctionnait le processeur pour programmer la machine.
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La responsabilité en incombe à tous les militants, qu’ils soient écologistes, gauchistes, anticapitalistes, socialistes, voire même tout simplement locaux. On ne peut pas militer pour l’écologie et la justice sociale tout en favorisant les intérêts des plus grandes entreprises du monde. On ne peut pas militer pour le local en délocalisant sa propre voix à l’autre bout du monde.
Google lance une petite équipe spécialisée dans la mise à jour du logiciel libre critique - Numerama
Google annonce la mise en place en interne d’une équipe rassemblant des ingénieurs, dont la mission sera de donner un coup de main pour maintenir correctement des logiciels libres jugés critiques.
Une décision récente de l'office américain des brevets pourrait bien inciter les patent trolls à éviter les projets open source - encore plus que la résistance féroce que la communauté a financée et montée de manière impressionnante dans l'affaire GNOME.
Richard Stallman, fondateur de la Free Software Foundation (FSF), s'est exprimé le 13 avril 2020 sur "l'état du mouvement du logiciel libre", et le père du projet GNU n'a pas du tout été tendre avec Apple et Canonical dans ces propos. Il a déclaré qu'Apple continue de transformer les Mac en une sorte de prison en empêchant les utilisateurs de faire ce qu'ils souhaitent de leurs machines et d'installer leurs propres programmes ou des binaires obtenus d'autres personnes. Il a noté que cela devrait être illégal. Stallman déconseille également d'utiliser Ubuntu qui, selon lui, n'est pas une distribution GNU/Linux libre.
Par souci d’économiser les deniers publics, logique pragmatique ou idéologique, certaines collectivités françaises basculent leur parc informatique vers le logiciel libre. Une démarche semée d’embûches techniques et pratiques.
Atos et sept éditeurs et sociétés spécialisées ont remporté le marché public de quatre ans de support et maintenance des 350 logiciels libres et open source utilisés par les ministères français, en collaboration avec le CNLL.
Mais la force de galène c’est surtout sa légèreté et sa robustesse. Côté performances, il est annoncé comme beaucoup moins gourmand en ressources que BigBlueButton (BBB), .Pour en savoir plus sur la comparaison entre galène et BBB niveau perfs, je t’invite à lire ce thread. Mais pour te donner un ordre d’idée ,les 70 connexions actives sont largement envisageables sur un modeste vps d’entrée de gamme.
La ville vient d’obtenir pour la 4e année consécutive le label territoire numérique libre. Il vient récompenser une politique menée depuis une quinzaine d’années.
Dans un contexte de crise sanitaire mondiale, Tidelift constate que plus les entreprises font face à des difficultés financières, et plus elles se tournent vers l'open source.
La tendance à l'utilisation de logiciels libres sur les ordinateurs du gouvernement s'accélère en Allemagne. Au cours des négociations de coalition dans la ville-État de Hambourg, les responsables politiques ont déclaré qu'ils étaient prêts à commencer le remplacement des logiciels de Microsoft par des logiciels open source dans la fonction publique. Cette déclaration s'inscrit dans le cadre d'un accord de coalition de 200 pages entre le parti social-démocrate et le parti Vert. Elle définira la manière dont Hambourg sera gérée pour les cinq prochaines années.
Parmi les motifs du déménagement de la fondation Eclipse, qui quitte les Etats-Unis pour s’installer à Bruxelles, il y a le sentiment que «l’Europe aime beaucoup, et de plus en plus, l’open source», nous expliquait récemment Gaël Blondelle, qui dirige l’équipe européenne de la fondation. Et cela tant côté entreprises qu’institutions, d’où le choix de la capitale de l’Union.
La municipalité de Munich opte déjà autant que possible sur les logiciels libres dans les marchés publics. C’est ce qui ressort d’un accord de coalition entre le Parti social démocrate d’Allemagne et les Verts. L’entente fait suite aux échéances locales du 15 mars dernier au terme desquels les partis ont été élus. Ses résolutions sont en vigueur jusqu’en 2026.
Et demande à l'entreprise de tenir aux engagements qu'elle a pris envers la communauté du logiciel libre
La bonne nouvelle, c'est que le capitalisme ne va pas tarder à crever ; la mauvaise, c'est qu'on risque fort de crever avec lui.
Après la gendarmerie nationale, pionnière en la matière, le ministère des Armées pourrait lui aussi basculer vers le logiciel libre. Dans une réponse écrite à la sénatrice Christine Prunaud, l’Hôtel de Brienne indique qu’une étude est actuellement en cours pour étudier la faisabilité d’un poste de travail entièrement “libre”.
Les navigateurs Web visent principalement à fournir un accès universel au contenu sur le Web – articles de blog, médias sociaux, vidéos, musique, photos, etc. L’ajout de ces technologies au Web est rendu possible par l’Open Web Platform, et facilité par le World Wide Web Consortium (W3C). Ce processus a fonctionné pendant longtemps permettant l'accès universel aux informations à partir des navigateurs comme Firefox, Chrome, Safari et bien d'autres. Cependant, à partir de 2013, le W3C, avec l’appui des grandes sociétés de navigateur et de distribution de contenu en ligne, a cherché à normaliser la DRM dans les navigateurs Web, en introduisant une technologie contraire à la plateforme Web ouverte.
Ex-conseiller de Zuckerberg et capital-risqueur dans la tech, Roger McNamee pointe les limites de l’open source et la façon dont le Libre a fourni des briques pour développer des entreprises.
Tous connectés ! Tous captifs ? Deux logiques s’affrontent au cœur de la technologie : les principes émancipateurs du logiciel libre s’attaquent à ceux, exclusifs, du droit de la propriété intellectuelle. La révolution du partage ne concerne pas que le numérique : des pratiques collectives « non propriétaires » essaiment dans l’alimentation avec les semences libres, dans la santé avec des médicaments « open source », ou dans l’éducation grâce au libre accès à la connaissance… Le nouveau documentaire de Philippe Borrel, « Internet ou la révolution du partage », part à la rencontre de celles et ceux qui, de l’Inde aux Etats-Unis en passant par l’Europe, expérimentent ces outils d’émancipation. Il est diffusé ce mardi 7 mai à 23h55 sur Arte. Retrouvez sur Basta ! une série de bonus.
La CDU, le parti d’Angela Merkel, opte pour le passage sous licence libre des logiciels développés avec un financement public.
Android est basé sur un logiciel libre et peut être utilisé avec des logiciels libres. On pourrait définir dix paliers de migration d’un équipement Android vers un équipement plus libre, les premiers sont faciles à passer, les derniers demandent un plus grand engagement, mais on peut s’arrêter au niveau que l’on souhaite après avoir avancé autant qu’on le pouvait.