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Faux journalistes, faux scientifiques, fausses études, faux paysans… Depuis des années, le producteur de glyphosate et d’OGM Monsanto, racheté par Bayer, tente par tous les moyens d’influencer l’information qui le concerne.
L'Anses vient de publier un épais rapport des effets sur la santé (phototoxicité, perturbation du sommeil, maux de tête...) et l'environnement des systèmes utilisant des LED, qui sont de plus en plus nombreux. Plusieurs recommandations sont également formulées.
Selon les documents d'"Envoyé spécial", Monsanto aurait recruté des agriculteurs et leur aurait livré des textes à publier dans la presse, visant à promouvoir l'utilisation du glyphosate.
Manipulation de la science, fichage, « astroturfing »… « Les Jours » désherbent le lobbying de la firme.
Cet herbicide pourrait entraîner des modifications génétiques, selon une étude sur des rats publiée dans « Scientific Reports ».
La hausse des températures a amélioré la productivité agricole et humaine dans les pays riches tempérés et l’a majoritairement détérioré dans les pays pauvres, d’après des chercheurs de Stanford. À terme, tous les pays risquent de connaître de fortes pertes économiques avec l'aggravation du réchauffement climatique.
Quelque 700 millions d’euros d’argent public ont été investis dans la réduction des « phytos », pour un résultat global jusqu’à présent nul.
Eric Andrieu, député européen PS et président de la commission d’investigation “Pesticides” au Parlement européen, a réagi à la condamnation de Monsanto aux États-Unis.
L'espérance de vie a continué à baisser aux Etats-Unis en 2017, une dégradation due à la crise des overdoses, selon des statistiques publiées jeudi.
DeepMind, une société d’intelligence artificielle vient de transférer le contrôle de son application de santé, Streams, à Google. Une décision critiquée, car elle va à l’encontre d’une promesse de DeepMind, qui assurait que les informations personnelles de ses utilisateurs et utilisatrices ne seraient jamais liées à des comptes Google ou à leurs services.
Relayant une étude sur les liens entre alimentation bio et réduction des risques de cancer, de nombreux médias ont semé la confusion. Au point que la co-autrice de cette étude s'est dit "outrée" par le traitement médiatique.
Une grande étude parue lundi montrant que les plus gros mangeurs français de nourriture bio avaient moins de cancers que ceux qui n'en mangeaient jamais illustre la difficulté d'établir une relation de cause à effet entre alimentation et santé.
Si les résultats de cette étude menée par des chercheurs français doivent être confirmés par de nouvelles enquêtes, ils sont les premiers à pointer de tes risques.
La présence de résidus de pesticides dans l'alimentation non-biologique pourrait expliquer cette baisse du risque.
Le nouveau ministre de l'Agriculture assure toutefois que la France verra la fin du glyphosate lors du quinquennat.
Huit premières plaintes ont été enregistrées à la mi-juin contre des fabricants et des décideurs qui autorisent l’herbicide de Monsanto, filiale de Bayer.
Aux Etats-Unis, une start-up spécialiste de la santé connectée s’est associée à Amazon pour tester un service de consultation et prise de rendez-vous auprès de votre médecin, intégré à Alexa.
Le syndicat L’Abeille de l’Aisne a porté plainte contre la société chimique allemande, qui vient de boucler le rachat du géant américain des pesticides Monsanto.
Commissaire indépendante auprès de l’OMS sur les maladies non transmissibles, Katie Dain estime que l’objectif de réduire d’un tiers la mortalité d’ici 2030 ne sera pas atteint avec les moyens alloués actuellement.
On les croise chaque jour au travail, à l'université, dans les gares ou dans les stations de métro. Les distributeurs automatiques de friandises et de boissons sont partout, prêts à combler un petit creux dans notre estomac ou à nous désaltérer.