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"Le projet de loi sur la transition énergétique, présenté mercredi 18 juin en conseil des ministres par Ségolène Royal, compte 80 articles qui portent sur la rénovation des bâtiments, les transports durables, le nucléaire et les énergies renouvelables. Les ONG, dans leur majorité, jugent « insuffisant » ce texte qui a fait l'objet d'intenses débats et d'âpres arbitrages tandis que les politiques sont plus partagés."
"L’État renonce à s’accorder le droit de fermer des réacteurs nucléaires pour mettre en œuvre sa politique énergétique. Et la promesse de fermeture de la centrale de Fessenheim avant 2017 semble abandonnée. Pour quelles raisons la loi sur la transition énergétique est-elle en recul ? « Parce que nous ne sommes pas en Corée du Nord. »"
"L'Allemagne a engagé depuis plus de dix ans sa transition énergétique. Le bilan d'étape apparaît contradictoire: les factures des particuliers ont explosé, la consommation de charbon augmente. Mais, malgré les difficultés d'un processus complexe, les énergies renouvelables progressent fortement et le pays est en train de prendre une avance décisive dans les technologies vertes et la gestion des réseaux."
"Le projet de loi sur la transition énergétique présenté mercredi 18 juin au conseil des ministres par Ségolène Royal, compte 80 articles et balaie les grands secteurs économiques qui sont concernés par la mutation engagée. De nombreuses mesures d'accompagnement financier et administratif sont prévues."
"Le gouvernement, par la voix de la ministre de l'écologie Segolène Royal, a décidé de lancer la France sur la voie de la « transition énergétique ». C'est-à-dire la transition entre un système de production qui s'appuient en grande partie sur les énergies non renouvelables, le pétrole, le gaz, le nucléaire, à un système basé sur les énergies renouvelables, solaire, éolien, hydraulique et surtout moins gourmand en énergie. Explications en vidéo."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, présentera mercredi 18 juin en conseil des ministres, les grandes lignes du projet de loi sur la transition énergétique qui aura fait l’objet d’arbitrages serrés jusqu'au dernier moment. Outre la gouvernance du parc nucléaire français, les trois clés de la transition énergétique sont la rénovation thermique des bâtiments, le développement des énergies renouvelables et le déploiement de nouvelles infrastructures de transports."
"Le projet de loi sur la transition énergétique, dont la ministre de l'écologie, Ségolène Royal, présentera les grandes lignes mercredi 18 juin, instituera une gouvernance du nucléaire par l'Etat. Mais la question encore en arbitrage est de connaître la nature – plus ou moins contraignante – de ce pilotage, qui doit conduire à réduire la part de l'atome dans la production d'électricité de 75 % à 50 % d'ici à 2025, comme l'a promis François Hollande."
"Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur. Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique."
"L'adoption du projet de loi sur la transition énergétique est désormais fixée « au printemps 2015 » avec un examen du texte au Parlement à partir de l'automne, a-t-on appris vendredi 6 juin auprès de Matignon."
"A quelques jours de la présentation au conseil des ministres, le 18 juin, du projet de loi sur la transition énergétique, voilà un nouveau document qui va nourrir les débats. Une commission d'enquête parlementaire présidée par François Brottes (PS, Isère), et dont le rapporteur est Denis Baupin (EE-LV), a remis au président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, mardi 10 juin, son rapport sur les coûts de la filière nucléaire."
"La secrétaire nationale d'EELV, Emmanuelle Cosse, évoquant dimanche 8 juin sur France 3 le retard de la loi de transition énergétique, a mis en cause des « lobbies », jusqu'au sein du gouvernement, incluant le ministre de l'économie, Arnaud Montebourg."
"Auditionnée mercredi 21 mai en fin de matinée par la commission d'enquête parlementaire sur les coûts de la filière nucléaire, Ségolène Royal s'est livrée à un vibrant plaidoyer en faveur de la transition énergétique et des énergies renouvelables, tout en écartant la perspective d'un abandon de l'atome.
« Je ne pense pas que nous pourrons sortir du nucléaire », a déclaré la ministre de l'écologie et de l'énergie, rappelant que le développement de la filière électronucléaire avait été « un choix de l'Etat ».
En 2011, alors qu'elle était candidate à la primaire socialiste pour l'élection présidentielle, Ségolène Royal tenait un tout autre discours. Interrogée par Greenpeace, elle se disait favorable à une sortie du nucléaire en France « à échéance de 40 ans maximum », ajoutant : « Un plan d'action sera défini dès le début du quinquennat pour rendre irréversible ce changement de la politique énergétique. […] Si nous pouvons aller plus vite, nous le ferons. » Et de fixer un cap intermédiaire : « En attendant la sortie complète […] , il faut avoir réduit la part du nucléaire à 50 % de la production d'électricité avant 20 ans. »"
"Encore peu développés en France, ces emplois connaissent une forte progression depuis quinze ans. A l'heure de la transition énergétique, peuvent-ils devenir un secteur d’avenir ? Avec Thinkovery."
"Pour la première fois depuis l’élection de François Hollande, l’État évoque officiellement la fermeture d’une vingtaine de réacteurs nucléaires. Alors qu'un remaniement est imminent, les écologistes espèrent profiter de leurs bons résultats au premier tour des municipales pour accroître leur influence."
"Le Conseil des chefs d’État européens des 20 et 21 mars ne devrait adopter aucun objectif chiffré du paquet climat-énergie 2030, contesté notamment par la Pologne."
"Les dirigeants européens ne sont pas parvenus à un accord sur les objectifs que doit se fixer l'Union européenne (UE) en matière de réduction des gaz à effet de serre d'ici à 2030. Réunis vendredi 21 mars à Bruxelles, les chefs d'Etat ont choisi de reporter leur décision « en octobre » ou au plus tard « d'ici la fin de l'année ». Ils se sont engagés à ce que le chiffre qui sera retenu soit « en ligne avec les objectifs déjà pris à l'horizon 2050 »."
"En ce qui concerne cette matière première plutôt abondante dans la croûte terrestre, on ne pouvait pas titrer « la fin du thorium ». Car le thorium qui se trouve un peu partout et avec de grands gisements en France fait figure de favori parmi les candidats à la place de carburant du futur. Son exploitation nous garantirait 1.000 ans d’énergie !"
"À Saint-Dié, dans les Vosges, l’une des villes les plus froides de France, on construit des logements sociaux sans chauffage, ou équipés d’un simple poêle à bois. Objectif : réduire les charges des locataires et redistribuer des revenus grâce aux économies d’énergie. "
"Les deux événements se sont télescopés à quelques heures d'intervalle: alors que des militants de Greenpeace s'introduisaient dans plusieurs centrales nucléaires européennes, mercredi 5 mars, pour réclamer la fermeture des réacteurs de plus de 30 ans, EDF rendait public, jeudi, le rapport interne sur la sûreté nucléaire et la radioprotection que son inspecteur général doit remettre chaque année au PDG du groupe d'électricité.
Jean Tandonnet conclut qu'en 2013, les performances du parc de 58 réacteurs français ont été «globalement encourageantes». EDF n'a pas connu d'« événement majeur de sûreté » dans les 58 réacteurs qu'il exploite en France, mais aussi au Royaume-Uni (15) et aux Etats-Unis (5)."
Fermer ou ne pas fermer des centrales ? Le casse-tête nucléaire du gouvernement - Sciences et Avenir
"Certains réacteurs pourraient voir leur durée de vie prolongée jusqu'à 60 ans. Mais d'autres seraient aussi fermés dans le cadre du projet de loi sur la transition énergétique."