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Derrière leurs beaux discours publics sur le climat, les multinationales continuent à s’opposer à tout objectif ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Nouvelle illustration avec un document interne de BusinessEurope, le plus important lobby patronal européen regroupant tout le gratin des multinationales du vieux continent, mais aussi des États-Unis. Ce document interne révélé par Greenpeace montre comment BusinessEurope, actuellement présidé par Pierre Gattaz, ancien patron du Medef, entend faire capoter le projet d’introduire des objectifs climatiques plus ambitieux au niveau de l’Union européenne à l’horizon 2030.
Véritable système nerveux central de l’économie mondiale et système social à part entière, le web engloutit des quantités considérables d’énergie. Pour ranger nos données, les partager ou les protéger, nous avons recours à un gigantesque « nuage » de mémoire informatique auquel nous pouvons accéder quelque soit l’endroit où nous nous trouvons. Ce cloud n’est pas dénué d’impacts sur l’environnement. Alors qu’internet prend une part de plus en plus importante dans nos vies, ces impacts ne cessent de grandir. Il est temps de pousser les acteurs du numérique à se convertir aux énergies renouvelables.
Greenpeace a dévoilé vendredi son classement des fournisseurs d'électricité "verte", pour permettre aux consommateurs de s'y retrouver, et a mis un zéro pointé aux géants du secteur EDF, Engie ou Total.
L'association Nationale Pomme Poire (ANPP), qui défend de nombreux arboriculteurs normands voulait interdire à Greenpeace d'utiliser le titre "pommes empoisonnées" aux pesticides dans son rapport sur la contamination des vergers français aux produits phyto-sanitaires.
Le 12 octobre 2017, huit activistes de Greenpeace avaient été interpellés pour avoir pénétré dans la centrale de Cattenom (Moselle) afin d’alerter sur la vulnérabilité des sites nucléaires.
L'ONG écologiste Greenpeace tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme sur la sûreté des centrales nucléaires françaises. En cause : les piscines de (...)
Pour démontrer la vulnérabilité de la centrale nucléaire de Cattenom, en Lorraine, des militants de l’ONG s’y sont introduits, jeudi 12 octobre vers 5 h 30 du matin.
Greenpeace a remis un rapport sur la vulnérabilité des centrales face à une attaque terroriste.
L’ONG voulait montrer la « vulnérabilité » de certains bâtiments, alors qu’EDF assure que cette action n’a eu aucun impact sur la sûreté des installations.
Un rapport commandé par Greenpeace alerte sur la vulnérabilité des piscines d’entreposage des combustibles. Un danger réfuté par EDF.
Ce jeudi 12 octobre, à l'aube, des militants de Greenpeace se sont introduits dans une centrale nucléaire de Moselle et ont tiré un feu d'artifice. Une action qui ne remettrait pas en cause "la sûreté des installations" assure EDF.
"A la conférence de Paris sur le climat (COP21), les adversaires de la science climatique sont sur la sellette. Mardi 8 décembre, l’organisation Greenpeace a dévoilé une série de correspondances montrant comment des industriels des combustibles fossiles peuvent s’offrir, en toute discrétion, les services de plusieurs universitaires pour fragiliser les négociations climatiques. « Nous avons voulu savoir si, en amont de la conférence de Paris sur le climat, certains chercheurs du monde académique accepteraient d’être rémunérés pour rédiger et signer des rapports susceptibles de servir les intérêts d’industriels des fossiles, explique Ben Stewart, directeur des médias à Greenpeace Royaume-Uni. Et ce, en acceptant de cacher leur financement. »"
"Les difficultés d’Areva et l’atonie post-Fukushima du marché nucléaire (à l’exception de la Chine) valide, aux yeux des adversaires de l’atome civil, leur analyse : cette filière est en déclin dans le monde et elle ne peut plus s’ériger en modèle industriel en France. C’est la conclusion du rapport de Wise Paris (World information service on Energy), publié mercredi 24 juin."
"Greenpeace affirme avoir trouvé des pesticides dans des échantillons prélevés dans les vergers de 12 pays européens. Une conclusion contestée par les maraîchers."
"Après avoir rendu visite à Monsanto, consoGlobe a demandé à l’ONG principalement honnie des multinationales son point de vue sur ses rapports avec celle-ci. Quasi même emplacement des bureaux, au coeur du quartier des affaires européennes. Ambiance différente toutefois dans les bureaux, d’anciens appartements résidentiels reconvertis, avec vue sur le ‘Parc du Cinquantenaire’ : affiches peintes à la main de campagnes militantes, fresque murale du Rainbow Warrior, les collègues qui arrivent l’un après l’autre tôt le matin se claquent la bise… Pas de doute, je suis bien dans les locaux d’une ONG de militants environnementaux.
Les propos ne laissent pas de doutes non plus. Marco Contiero, responsable du lobbying de Greenpeace au niveau européen pour toutes les questions liées à l’agriculture, me reçoit et dénonce avec étonnement ce qu’il considère comme des attaques « idéologiques » de Monsanto contre les ONGs. Les citations d’études fusent, la passion du sujet, l’engagement personnel sont également palpables."
"L'ONG vient de publier un rapport qui compile 160 études scientifiques et dans lequel elle soutient l'interdiction progressive des pesticides chimiques et la généralisation de l'agriculture biologique."
"Un an d'emprisonnement et 15 000 euros d'amende. C'est la sanction de base que prévoit, en cas d'intrusion sur un site nucléaire, une proposition de loi qui sera examinée jeudi 5 février à l'Assemblée nationale, dans le cadre d'une niche parlementaire de l'UMP. Le texte sera très probablement adopté, puisqu'en commission de la défense nationale et des forces armées, mercredi 28 janvier, il a été approuvé par les députés de la majorité comme de l'opposition, à l'exception des écologistes qui ont voté contre."
"L’Electronic Frontier Foundation, association américaine de défense des libertés sur Internet, s’est alliée à une vingtaine d’organisations, dont Greenpeace, pour créer un site web baptisé Stand against Spying (combattez l’espionnage). L’objectif est de suivre en continu les activités et les votes de tous les membres du Congrès de Washington dans l’affaire des programmes de surveillance de masse de la NSA. "
"Le 15 avril 2014, l’association Greenpeace alertait les pouvoirs publics sur la présence de transgènes dans trois lots de semences de maïs certifiés non OGM, vendus en France par le premier semencier espagnol, Semillas Fito, [2] en 2013 et 2014. Fin mai, certains champs cultivés avec ces semences contaminées sont identifiés et vont être détruits sur ordre des pouvoirs publics."