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"L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) estime improbable le risque cancérigène du glyphosate, un élément chimique très utilisé dans les désherbants comme le Roundup de Monsanto."
"L’Agence de Protection Environnementale (EPA) de Californie a annoncé officiellement son intention de préciser sur les étiquettes que le glyphosate est cancérigène(1). Le produit est notamment présent dans le Roundup, un célèbre herbicide utilisé dans le monde entier."
"En Amérique centrale, le Salvador a boycotté une cinquantaine de produits phytosanitaires à usage agricole, dont le RoundUp pour se recentrer sur le culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité."
Glyphosate : l'ONG Foodwatch presse l'UE d'appliquer le principe de précaution - Sciencesetavenir.fr
"L'ONG allemande presse l'Europe d'appliquer le principe de précaution à propos du glyphosate, alors que la Commission européenne doit décider d'ici la fin de l'année de reconduire ou non pour dix ans l'autorisation de cet herbicide répandu, soupçonné d'être cancérigène."
"Après avoir classé le glyphosate comme « cancérigène probable », voici que le Centre international de recherche sur les cancers (CIRC) qui dépend de l’Organisation Mondiale de la santé (OMS), vient de publier les résultats de son évaluation : le 2-4 D est classé comme « possible cancérigène »."
"Ségolène Royal vient d’annoncer l’interdiction, à partir du 1er janvier 2016, de la vente en libre-service aux particuliers des produits désherbants contenant du glyphosate, dont le fameux Roundup fabriqué par Monsanto. Un amendement à la loi de transition énergétique devrait être déposé au Sénat en juillet, a t-elle précisé. Dans les faits, il ne s’agit pas vraiment d’une interdiction. Les particuliers pourront continuer à se fournir en pesticides contenant du glyphosate : les points de vente devront seulement limiter l’accès à ces produits qui devront être vendus non plus en rayon mais au comptoir."
"Ségolène Royal a annoncé mardi 16 juin l’interdiction dès la fin de 2016 de la vente en libre-service du Roundup, désherbant vedette de l’entreprise américaine Monsanto. Le produit est en effet considéré comme dangereux pour la santé, car son principe actif, le glyphosate, a été reconnu cancérogène par le Centre international de recherche sur le cancer ainsi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’annonce de la ministre de l’écologie se résume pourtant à une simple manœuvre de communication pour Sophie Bordères, de l’association Générations futures, l’interdiction de tous les pesticides en vente libre étant déjà prévue pour 2018."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, veut interdire dès le 1er janvier 2016 la vente en libre-service aux particuliers des produits désherbants contenant du glyphosate, dont le Roundup, produit vedette de Mosanto. Ces pesticides sont classés « cancérogènes probables » par l’Organisation mondiale de la santé."
"La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, a annoncé, dimanche 14 juin sur France 3, l’interdiction de la vente en libre-service dans les jardineries du désherbant vedette de Monsanto, le Roundup, afin de lutter contre les effets néfastes des pesticides."
"Les lecteurs seront par exemple étonnés d’apprendre qu’une bonne partie de l’évaluation récente du glyphosate, menée par le gouvernement allemand et commanditée par la Commission européenne, n’a pas été rédigée par les scientifiques qui travaillent pour l’Institut fédéral allemand de l’évaluation des risques (BfR), mais par le European Glyphosate Task Force (le Groupe de travail européen sur le glyphosate), un consortium d’entreprises de l’agrochimie."
"Le 21 avril 2015, un recours collectif a été intenté contre l’entreprise Monsanto dans le comté de Los Angles. Dans la plainte, il est affirmé que Monsanto est coupable de publicité mensongère en prétendant que le glyphosate, l’agent actif du Roundup, cible un enzyme que l’on ne trouve que chez les plantes et pas chez les humains ni les animaux. Monsanto s’appuie sur cette affirmation pour prétendre que le glyphosate est sans danger pour les humains."
"Pour la ministre de l'écologie, Ségolène Royal, il faut que plusieurs pesticides, dont le glyphosate, récemment classés cancérogènes « probables » ou « possibles » par l'agence du cancer de l'OMS, « ne soient pas en vente libre » pour les particuliers, et accompagnée d'un conseil."
"Le glyphosate, une molécule produite par Monsanto pour les pesticides, vient d’être classé comme « probablement cancérogène » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) basée à Lyon. « L’information est énorme. En France, un champ de blé sur trois est traité au glyphosate. En Europe, pas moins de 400 entreprises en commercialisent, à travers 30 désherbants différents. Ailleurs dans le monde, une bonne partie des maïs et soja OGM ont été conçus pour être « Roundup ready », c’est-à-dire résistants au glyphosate. Ce qui permet d’épandre du glyphosate sur un champ et y tuer toutes les plantes sauf les OGM. Ce qui permet à Monsanto de vendre à un agriculteur à la fois la plante et l’herbicide. »"
"Le brevet sur le soja Roundup Ready première génération de Monsanto (RR1) prendra fin en mars 2015. Les premiers « génériques » sont sur le point d’être proposés aux agriculteurs étasuniens."
"Rarement le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) aura rendu évaluation potentiellement aussi lourde de conséquences. Dans la dernière édition de la revue The Lancet Oncology, publiée en ligne le 20 mars, l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce avoir classé trois pesticides dans la catégorie 2A – c’est-à-dire « cancérogènes probables » –, dernier échelon avant la qualification de « cancérogène certain »."
"Vous ne connaissez pas le glyphosate ? En fait, si. C’est Monsanto qui a vendu le premier ce produit chimique, en 1974, via son célèbre Roundup. Depuis, le glyphosate est devenu l’herbicide le plus vendu au monde. Il est utilisé dans les champs mais aussi dans les jardins, les forêts, les rues, les cimetières.
Du coup, on en trouve dans l’air que l’on respire, dans l’eau que l’on boit et dans la nourriture que l’on mange, a rappelé ce vendredi le Circ (Centre international de recherche sur le cancer), l’agence internationale de référence pour la recherche sur le cancer, qui a été créée par l’Organisation mondiale de la santé et qui est basée en France, à Lyon.
Dans son évaluation – publiée après un travail d’un an mené par dix-sept experts internationaux indépendants qui ont recensé l’ensemble des études scientifiques sur le sujet – le Circ a classé ce produit comme « probablement cancérogène ».
[...]
Le journaliste termine son article par ces mots :
« L’histoire fait au moins comprendre une chose : l’état de notre environnement est souvent celui de notre démocratie. »"
"L'agence du cancer de l'Organisation mondiale de la santé (IARC), basée à Lyon, dans le Rhône, a classé, vendredi 20 mars, cinq pesticides comme cancérogènes « probables » ou « possibles » pour l'homme.
L'herbicide glyphosate, l'un des plus utilisés dans le monde, et les insecticides malathion et diazinon entrent ainsi dans cette première catégorie. Les insecticides tetrachlorvinphos et parathion, qui font déjà l'objet d'interdictions ou de restrictions dans de nombreux pays, entrent dans la deuxième catégorie."
"Le Centre de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé vient d’affirmer que l’herbicide le plus utilisé dans le monde est « probablement carcinogène pour les humains », de quoi alarmer l’industrie agrochimique et les jardiniers amateurs."
"Les OGM permettent d'utiliser moins de pesticides et de produits chimiques: c'est l'argumentaire de l'industrie transgénique. Problème: il est faux et l'Argentine, massivement convertie au soja OGM, est en train d'en payer le prix fort sur le plan sanitaire et agricole. Le journaliste Paul Moreira en revient, avec un documentaire diffusé lundi sur Canal+. Enquête et extraits."
"Le retour de l'étude controversée sur les OGM, dans "Environmental Sciences Europe", a suscité de vives réactions."