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"En partenariat avec Médias Le Mag/France 5, Le Monde lance un nouveau format : l'interview numérique. Après Axelle Lemaire et Laurent Guimier, Alice Antheaume reçoit Adrienne Charmet. La coordinatrice des campagnes de la Quadrature du Net, une association de défense des internautes, évoque le combat pour la neutralité du Net et plaide pour un meilleur contrôle des technologies utilisées par tous au quotidien."
"Pour renforcer la sécurité et la confidentialité des communications, l'Allemagne préparerait un projet de loi pour obliger les prestataires de services à donner l'accès à leur code lorsqu'ils ont des contrats avec l'Etat ou des entreprises stratégiques."
"L’espionnage mené par la NSA a choqué l’Allemagne. Les révélations, à l’été 2013, d’une surveillance massive de l’activité des Allemands sur Internet par les services américains ont considérablement refroidi les relations diplomatiques entre les deux pays.
Mais l’Allemagne n’était pas aussi innocente qu’elle a voulu le faire croire. Les premiers documents portés à la connaissance de la commission d’enquête parlementaire du Bundestag sur cette affaire offrent de nouvelles explications sur cette surveillance et sont accablants pour les services de renseignement et l’exécutif allemand."
"Yahoo! a plié, Yahoo! a rompu, mais Yahoo! veut faire toute la vérité sur la manière dont il a été amené, à partir de 2008, à transmettre des données sur ses utilisateurs à l'administration américaine dans le cadre du programme de surveillance des communications Prism."
"Depuis plus d’un an, les multiples révélations d’Edward Snowden ont permis un long défilé de noms de programmes qui vont essentiellement collecter et analyser les informations dans les agences de sécurité. @Skhaen a réunis les grandes lignes à connaître sur ces programmes, leurs interconnexions et leurs effets. Paranoïaques s’abstenir."
"Protection des données personnelles, conservation des données pour lutter contre le terrorisme, surveillance de masse : le parlement européen a pris des positions offensives sur ces dossiers sensibles ces derniers mois. Mais les capitales ne l'entendent pas de cette oreille. L'eurodéputé allemand Jan Philipp Albrecht explique à Mediapart pourquoi le parlement n'a pas – encore ? – perdu la bataille."
"Max Schrems a déposé une plainte contre Facebook. Il accuse le site de stocker les données des utilisateurs sur des serveurs espionnés par la NSA. L'Irlande renvoie aujourd'hui l'affaire devant la Cour de justice européenne. Une première victoire pour le jeune homme."
"Les députés américains tentent de frapper la NSA (National Security Agency) au porte-monnaie. Par 293 voix contre 123, la Chambre des représentants a largement voté, dans la nuit de jeudi 19 à vendredi 20 juin, un amendement limitant fortement et symboliquement les capacités de surveillance de la NSA.
Cet amendement, inclus dans la loi de financement de l'armée pour l'année 2015, interdit le financement – et donc la conduite – des « recherches clandestines » (backdoor searches), ces activités de la NSA qui mènent à la captation et au stockage de données de citoyens américains."
"La commission d'enquête parlementaire allemande sur les écoutes de l'agence de surveillance américaine NSA, lancée début avril, a officiellement demandé jeudi à pouvoir auditionner l'ancien consultant Edward Snowden, réfugié actuellement en Russie.
Les huit députés qui la composent, issus des quatre partis représentés à la chambre basse du Parlement allemand, le Bundestag, doivent déterminer dans quelle mesure des citoyens et des responsables politiques allemands ont été espionnés par la NSA, et ce que les services secrets allemands savaient."
"Près de dix mois après le début de « l’affaire Snowden », le G29 vient de publier un avis dans lequel il considère que la surveillance massive et secrète des citoyens européens est contraire aux droits fondamentaux de l’Union. L’institution se place dans le sillon de la CNIL, en recommandant notamment d’agir à l’échelon international, que ce soit au travers d’accords entre États ou bien encore via la législation européenne relative aux données personnelles. "
"Treize organisations de défense des droits et libertés sur Internet en Europe dont la Quadrature du Net ont joint leurs forces pour soutenir une action juridique lancée en octobre devant la CEDH et dont l'objet conteste la légalité de la surveillance de masse."
"Pour prémunir la France contre de nouvelles surveillances de la NSA ou de toute autre entité, le Premier ministre compte s'appuyer sur le volontariat des entreprises."
"L'agence de surveillance britannique GCHQ serait à l'origine de cet espionnage, avec l'aide de son pendant américain la NSA. Le groupe Yahoo! a fait part de sa colère, évoquant «un niveau sans précédent de violation de la vie privée» de ses utilisateurs."
"A quoi peuvent bien servir les grandes oreilles de la NSA si elles sont celles d’un malentendant ? Tout comme la vidéo-surveillance peine à démontrer son efficacité, le vaste système d’écoute massive de la planète par les barbouzes américaines ne permet pas de contrer les actions terroristes. Premier point et non des moindres, la NSA elle-même reconnaît (devant les représentants américains) que son machin a -au mieux- permis d’éventer deux plans terroristes. Et encore… Mieux, alors que la Suède, limitrophe de la Norvège, semble être un pays largement impliqué dans le scandale PRISM, le système n’a pas vu venir l’auteur de la tuerie d’Utøya et d’Oslo, Anders Behring Breivik, bien qu’il ait largement documenté (plus de 1500 pages) et publié son plan sur Internet.
En juin dernier, alors que le scandale des écoutes massives américaines commençait à prendre son envol, le général Keith Alexander, patron de la NSA, expliquait devant un comité du Sénat que le système avait permis d’éviter « des dizaines » d’attentats terroristes sur le sol américain. A ce stade, il soutenait que le nombre exact était classifié. Peu après, il lâchait le morceau : 54.
Puis, quelques mois plus tard, cuisiné par un représentant américain, il revenait sur ce nombre. Ce sont en fait, 2 attentats qui ont pu être déjoué. Doit-on le croire sur parole ?
De son côté, à la même époque et avant que l’étendue du système ne soit connue, Barack Obama expliquait tout en arborant son sourire ultra-brite habituel : « personne n’écoute les communications téléphoniques des gens » et qualifiait même les premières révélations de « battage médiatique« ."
"Les services britanniques et américains ont collaboré pour collecter des millions d'images issues des webcams des utilisateurs de Yahoo Messenger, et peut-être d'autres messageries."
"Les amis, si vous vous êtes déjà amusés par le passé à discuter via webcams interposées avec vos amis, voire à faire quelques petites confs coquines avec votre copain/copine, sachez que la NSA (Agence de sécurité américaine) et le GCHQ (Agence de renseignement britannique) stockent probablement sur ses serveurs, des photos de vous dans toutes les positions."
"Le GCHQ, l'agence de renseignement électronique du gouvernement britannique, a intercepté et stocké avec l'aide de la NSA américaine les images prises avec les webcam de millions d'internautes du monde entier qui ne faisaient l'objet d'aucun soupçon, révèle The Guardian ce jeudi 27 février en se fondant sur des documents fournis par l'ancien consultant de la NSA Edward Snowden."
"Suite aux révélations d'Edward Snowden, le Brésil et l'Union européenne prévoient de tirer leur propre câble sous-marin afin d'éviter les regards indiscrets de la NSA et de remplacer le précédent câble, vieillissant."
"L'agence américaine de renseignement NSA, qui a mis en place un système d'espionnage à l'échelle planétaire et a notamment été montrée du doigt pour avoir espionné le portable de la chancelière Angela Merkel, écoute encore 320 responsables politiques et économiques allemands, dont le ministre de l'intérieur Thomas de Maizière, affirme le quotidien Bild dimanche 23 février."
"Le Brésil et l'Union européenne se sont mis d'accord, lundi 24 février à l'issue du 7e sommet UE-Brésil organisé à Bruxelles, pour installer un câble sous-marin destiné à acheminer les télécommunications entre les deux continents. Le câble, qui relierait Lisbonne, au Portugal, à Fortaleza au Brésil, doit être placé d'ici à l'année prochaine, grâce à un partenariat entre l'entreprise brésilienne de télécommunication Telebras et l'espagnol IslaLink Submarine Cables, ainsi que des fonds européens et brésiliens."