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Alors qu'ils cherchaient à savoir si votre smartphone vous écoutait en secret, des scientifiques ont fait une autre découverte : certaines applications enregistrent tout ce que vous faites et l'envoient à des tiers.
Certaines applications (messageries, organisation d'événements...) demandent un accès complet à vos mails et paramètres Gmail. Si vous l'avez donné, sachez que ces services n'ont pas oublié de l'utiliser, laissant parfois des humains faire le travail des machines.
On connait désormais quelles sont les différentes sociétés à qui Facebook livrait des informations liées aux utilisateurs de sa plateforme, en d'autres termes, vos données de profil.
Bien que relativement lente pour le moment, la croissance des bloqueurs de publicité sur mobile inquiète. Dans un article publié il y a quelques jours, Digiday UK offre un tour d’horizon plutôt complet sur le sujet.
Trois modèles se partagent le marché français depuis le 18 juin et l’arrivée de l’Homepod d’Apple. Leur utilisation peut être risquée pour les données.
Alors que la marque à la pomme vient de sortir en France son enceinte HomePod, franceinfo revient sur les enjeux soulevés par les assistants vocaux en matière de confidentialité.
L'arrêt rendu par le Conseil constitutionnel a provoqué une vive déception à la Quadrature du Net. L'association dénonce une restriction du droit au chiffrement, pointant un déséquilibre avec l'objectif, légitime, de poursuivre les infractions.
Le consentement demandé aux clients pour la collecte de leurs données de consommation toutes les demi-heures n’est pas "libre, éclairé et spécifique", estime la Cnil. La Commission nationale
La question a été posée à Mark Zuckerberg, mardi soir, par un sénateur américain. Mais le patron de Facebook n'a pas voulu répondre directement. Franceinfo a donc cherché la réponse à sa place.
Le travail de Salim Virani que nous vous invitons à parcourir est remarquable parce qu’il a pris la peine de réunir et classer le très grand nombre de « petites » atteintes de Facebook à notre vie privée. Ce n’est donc pas ici une révélation fracassante mais une patiente mise en série qui constitue une sorte de dossier accablant sur Facebook et ses pratiques avouées ou inavouables. Vous trouverez donc de nombreux liens dans l’article et au bas de l’article, qui sont autant de sources.
Depuis le 30 janvier 2015, une nouvelle politique d’utilisation des données est en vigueur sur Facebook. Les règles sont rassemblées au sein d’une belle page, bien organisée et bien illustrée. Mais derrière cette clarté de façade se cachent des éléments intrusifs dont notre vie privée se serait bien passée. Si le modèle économique de Facebook est basé sur une connaissance approfondie des habitudes des inscrits, et on oublie parfois que Facebook nous espionne même en dehors du réseau social. Et ceux qui ne sont pas inscrits sur le réseau social seront heureux d’apprendre qu’ils sont aussi concernés.
Le réseau social a vendu un accès facilité aux tweets à l’entreprise GSR. C’est elle qui a fourni les données de 87 millions d’utilisateurs de Facebook à Cambridge Analytica.
L'association loi 1901 Exodus Privacy a.k.a EP a rendu ses travaux publics le 24 novembre 2017. Depuis sa création, EP développe une plateforme d'analyse baptisée εxodus.
La récente controverse sur l’appétit de Facebook pour les données personnelles a fait ressurgir l’idée que l’industrie de la publicité en ligne pourrait être dangereuse pour notre vie privée et notre bien-être. L’attention portée sur Facebook est justifiée, elle ne reflète cependant pas toute la réalité. Si le souci porte sur le fait que des entreprises collectent des données personnelles à notre insu ou sans notre consentement explicite, Google est une menace bien plus importante par de nombreux aspects: le volume d’informations qu’il recueille, l’ampleur de son suivi et le temps passé sur ses sites et ses applications.
Je m’apprête à quitter Facebook (et Instagram et WhatsApp et Messenger par conséquent) pour continuer à vivre en accord avec mes choix de vie et mes convictions.
L’institut Ponemon a publié des résultats d’un sondage portant sur l’image de Facebook. Les chercheurs constatent que le scandale Cambridge Analytica a provoqué une chute importante de la confiance des utilisateurs.
Après une polémique et plusieurs procédures, Facebook avait désactivé cette fonctionnalité en 2012 pour les utilisateurs européens. Elle est de retour depuis quelques jours.
Selon le centre de recherche Freedom to Tinker, lorsqu'on se « connecte via Facebook » sur un site, des traqueurs de données tiers peuvent utiliser des scripts pour collecter les données de notre profil.
Les données avaient notamment été collectées sur Facebook, LinkedIn et Twitter, sans le consentement des internautes concernés.
Le réseau social va changer ses conditions : ses utilisateurs hors d’Europe et d’Amérique du Nord vont être dépendants du siège global de la firme dans la Silicon Valley.