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"Le biodiesel serait-il encore plus polluant que les carburants classiques d’origine fossile ? C’est ce qu’affirme le Réseau Action Climat : selon ses calculs, 1,2 litre de pétrole serait parfois nécessaire pour faire un litre d’agrocarburants [1]. A quelques jours de l’ouverture de la conférence internationale sur le climat, le groupe Avril-Sofiprotéol dont le diester est le cœur de métier, réagit aux critiques. Il présente sur la plateforme « Solutions COP21 » sa démarche pour réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre du biodiesel de colza d’ici 2017. « Augmenter le rendement agricole et les performances environnementales, c’est possible », indique le groupe. Comment ? « En augmentant les rendements en graines tout en ajustant les quantités d’intrants apportés »."
"La déforestation de la planète continue. Le recul de la couverture forestière dans le monde, en 2014, correspond à deux fois la superficie du Portugal, ou encore à celle du Cambodge ou de la Syrie, soit plus de 18 millions d’hectares (ou 180 000 km2), selon les données de l’université du Maryland, aux Etats-Unis, et de Google, publiées mercredi 2 septembre par la plate-forme Global Forest Watch."
"Depuis 1990, la planète perd chaque année 51 600 kilomètres carrés de forêt, l’équivalent de la taille des régions Nord - Pas-de-Calais et Centre réunies. C’est l’un des constats du rapport sur « l’évaluation des ressources forestières mondiales 2015 », dévoilé, lundi 7 septembre, à Durban, en Afrique du Sud, où se tient toute la semaine le XIVe Congrès forestier mondial."
"Les estimations les plus optimistes montrent que la faune de la Terre est en train de subir sa sixième extinction de masse, selon une étude publiée vendredi 19 juin dans la revue Science Advances. Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience, sur 1,8 million d’espèces animales et végétales recensées, 20 000 sont répertoriées comme menacées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)."
"Plus de cent fois le rythme « naturel » des extinctions d’espèces : le 19 juin, des chercheurs américains publiaient dans Science Advances une estimation de la vitesse à laquelle la biodiversité s’érode sous la pression des hommes. Suffisant pour parler d’une « sixième extinction », ce taux n’est pourtant – comme l’écrivaient les auteurs – que l’évaluation la plus optimiste possible."
"Selon un récent modèle scientifique, la société va s’effondrer en moins de trois décennies en raison de pénuries alimentaires catastrophiques si les politiques ne changent pas. Par ailleurs, une étude publiée vendredi 19 juin par des experts des universités américaines de Stanford, de Princeton et de Berkeley publiée dans le journal Science Advances, « montre sans aucun doute possible que nous entrons dans la sixième grande extinction de masse »".
DIAPORAMA. Nous sommes bien en train de vivre une nouvelle extinction de masse - Sciencesetavenir.fr
"Annoncée, démentie, puis remise au goût du jour. Une nouvelle extinction animale de masse a été confirmée par un groupe de scientifiques."
"Une étude publiée le 19 juin par la revue Science Advances vient d'estimer que la faune terrestre est entrée, du fait des modifications que l'homme fait subir à la nature, dans la sixième grande extinction de son histoire. Comme l'explique, dans cette vidéo proposée par Thinkovery, Olivier Lorvelec, ingénieur à l'Institut national de la recherche agronomique, se pose donc la question de savoir s'il faut sauver la biodiversité et surtout pour quelles raisons il faudrait le faire."
"Les espèces animales disparaissent environ 100 fois plus rapidement que par le passé, les estimations les plus optimistes montrant que la faune de la Terre est en train de subir sa sixième extinction de masse, selon une étude publiée vendredi 19 juin par des experts des universités américaines Stanford, Princeton et Berkeley, notamment."
"Financer des projets peu polluants, investir dans des énergies renouvelables, ne pas contribuer au réchauffement climatique... De plus en plus d’investisseurs recherchent des placements profitables mais respectables. Les obligations « vertes », un nouvel outil financier présenté comme plus écolo, sont là pour les séduire. Mais peut-on vraiment s’y fier ? L’exemple de GDF Suez, de ses grands projets de barrages en Amazonie, et des critères plus que flous qui entourent ce type d’investissement, montrent que ces financements « responsables » pourraient servir à « tout et n’importe quoi »."
"L’émergence de l’épidémie d’Ebola en Afrique pourrait bien être liée aux perturbations environnementales engendrées par l’homme. « La déforestation, notamment, porte les chauves-souris, réservoir naturel du virus, à quitter leurs habitats traditionnels et à aller s’installer, pour pouvoir se nourrir, près d’arbres fruitiers dans les villages et donc au contact avec l’homme », explique Jean-François Guégan, directeur de recherche à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), et spécialiste des liens entre environnements et épidémies."
"La transition énergétique n’est pas une simple opération économico-écologique visant à basculer d’un mode de production d’électricité basé sur le nucléaire ou le charbon vers des énergies « propres » ou « vertes », respectueuses de l’environnement et sans danger. La centrale E.ON de Gardanne, bientôt en production, en est l’illustration parfaite. Premier aperçu d’une affaire qui risque de tourner très mal, enrichir des actionnaires et des propriétaires tout en ruinant écologiquement les (fragiles) vallées cévenoles dont beaucoup sont pourtant… « protégées »."
"Il ne reste plus à la surface de la Terre qu'une surface de 13,1 millions de km2 de forêt intacte. Et seuls 1,27 million de kilomètres carrés font l'objet d'une véritable protection. C'est ce que révèle une étude conduite par deux universités américaines (université du Dakota du Sud, et l'université Wisconsin-Madison) en partenariat avec des associations écologistes "
"L'Indonésie a abattu en 2012 près de deux fois plus de forêt vierge que le Brésil, considéré comme le plus grand destructeur au monde de cette forêt primaire, selon une étude publiée dimanche 29 juin."
"Au Brésil, la déforestation de l'Amazonie a atteint 5 843 km2 sur un an, en hausse de 28 % par rapport à l'année précédente, a annoncé jeudi 14 novembre la ministre de l'environnement du pays, Izabella Teixeira.
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Malgré cette hausse, il s'agit du deuxième taux le plus faible de déforestation au Brésil après les 4 571 km2 enregistrés en 2012 (contre 6 418 km2 en 2011). En 2004, année record, 27 000 km2 de forêts avaient été dévastés."
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Depuis quelques années, les pays qui craignent une pénurie (alimentaire) se sont lancés dans une course effrénée pour acquérir de nouvelles terres arables que se disputent les industries de l’agroalimentaire et des agrocarburants. Et une violente controverse oppose ceux qui veulent utiliser les produits agricoles pour faire tourner les moteurs à ceux qui préféreraient qu’on nourrisse les êtres humains.
Mais peu dénoncent un business encore plus vorace en ressources naturelles, en produits agricoles et en espace : celui de l’industrie de la viande."
"Le bilan des mafias du bois s'est dramatiquement alourdi, jeudi 27 septembre, avec la publication de chiffres estimant les revenus de ce trafic mondialisé entre 30 et 100 milliards de dollars par an (23 à 77 milliards d'euros). Les dernières données publiées en mars par la Banque mondiale évaluaient leur "chiffre d'affaires" à 15 milliards de dollars."
"L'appétit insatiable des pays riches pour les produits comme le café ou le bois compromet la survie d'une espèce animale vulnérable sur trois dans les pays pauvres exportateurs, montre une étude australienne publiée jeudi 7 juin dans la revue scientifique Nature."