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"Le réchauffement climatique est en marche : de très nombreux signes tangibles et indéniables en témoignent, et notamment la fonte des glaciers. C'est ce que montre une vidéo impressionnante du vêlage du glacier groenlandais Sermeq Kujalleq."
"L'élévation globale du niveau de la mer, à présent certaine, pourrait avoir des conséquences désastreuses pour nos villes côtières et en particulier pour les petites îles qui sont juste au dessus ou au niveau de la mer. Les incertitudes sont toujours aussi importantes et il est extrêmement difficile de quantifier cette élévation. Une enquête récente révèle une hausse certaine de 40 à 60 cm d'ici à 2100 et 60 cm à 1 mètre en 2300 si nous parvenons à réduire nos émissions. Cependant, si celles-ci ne sont pas atténuées, les 90 scientifiques qui ont participé à l'enquête prévoient une élévation moyenne du niveau de la mer de 70 à 120 cm d'ici à 2100 et de 2 m à 3 m d'ici l'an 2300."
" Pour la sixième année consécutive, l'étude de PwC "Low Carbon Economy Index, 2 degrees of separation – ambition & reality" montre le fossé entre l'action des états pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et les mesures qui seraient nécessaires.
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L'étude révèle le décalage entre les négociations climatiques mondiales, visant à limiter à 2°C le réchauffement de la planète, et la trajectoire actuelle qui fait craindre un réchauffement catastrophique de 3 ou 4° C. "
"Le lait, c’est le champion des produits agro-alimentaires français. En bouteilles, en crèmes ou en fromages, il auréole les terroirs. En plus il rapporte et s’exporte. En consommer est vivement conseillé en matière de santé. Cette blanche réalité comporte pourtant des coûts cachés, ignorés des marchés, liés à un modèle de plus en plus intensif. Pollutions de l’eau, réchauffement climatique, précarité de l’emploi… L’économie du lait coûte cher à la société et à l’environnement. Une étude inédite tente d’en calculer les impacts et de lancer le débat. Car, en bio ou en AOC, produire du lait bien moins cher est tout à fait possible. Enquête et animation vidéo à l’appui."
"Autrefois l'apanage des pays riches, la consommation de viande ne cesse de se démocratiser et d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile."
"Malgré la montée du niveau des océans et l'accumulation des gaz à effet de serre, l'augmentation de la température des eaux profondes marque une pause depuis 2005."
"Cette preuve n’avait encore jamais été établie explicitement jusqu’ici. Des experts en climatologie viennent d’établir le lien entre le réchauffement climatique causé par l’homme et les 5 grandes vagues de chaleur apparues en 2013. Dans un contexte où les gouvernements du monde entier tentent de diminuer le réchauffement climatique, cette étude montre l’urgence de la situation."
"Remplacer l'électricité d'origine fossile par une électricité « verte » est bon non seulement pour le climat, mais aussi pour l'environnement. C'est ce que conclut une étude internationale (Norvège, Etats-Unis, Pays-Bas, Chili, Chine) publiée, lundi 6 octobre, dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) des Etats-Unis. Un résultat qui trouve une résonance particulière au moment où, en France, les députés examinent le projet de loi sur la transition énergétique pour une croissance verte."
"Le fait est encore relativement méconnu du grand public : le changement climatique n’est pas la seule conséquence des émissions humaines de dioxyde de carbone (CO2). Celles-ci sont aussi responsables de l’acidification des océans, phénomène qui aura des conséquences importantes sur la biodiversité marine d’ici à la fin du siècle. Une trentaine de spécialistes internationaux de biologie marine ont conduit une synthèse des connaissances sur le sujet, rendue publique mercredi 8 octobre à Pyeongchang (Corée du Sud), au cours de la 12e Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique."
"Une nouvelle étude démontre que dans l'hémisphère Sud, le réchauffement des océans a été fortement sous-estimé, par suite d'observations insuffisantes."
"Des climatologues ont établi pour la première fois et de manière très claire le lien entre le réchauffement climatique causé par l'homme et cinq grandes vagues de chaleur dans le monde en 2013.
Ces scientifiques ont analysé seize événements climatiques extrêmes – pluies torrentielles, inondations, sécheresses, canicules et tempêtes – et dévoilent leurs conclusions dans un rapport présenté lundi 29 septembre."
"Le 24 septembre 2014, s’est tenu à New York, un sommet des Nations unies sur le climat [1], à l’initiative du Secrétaire général des Nations unies, Ban-Ki Moon. Cette nouvelle conférence internationale entendait « apporter des solutions et inciter à l’action » afin, a précisé le coréen, de « donner un nouvel élan à la lutte contre les changements climatiques ». Or, ce n’est plus un secret : l’agriculture est à la fois une des causes de la crise climatique et un des secteurs qui en subira de plein fouet les conséquences. L’agriculture a donc été mise à l’ordre du jour, comme l’un des huit axes principaux de ce sommet. Parmi les solutions, les Nations unies ont lancé une « Alliance mondiale pour une agriculture intelligente face au climat » (« Global Alliance for Climate-Smart Agriculture ») [2]. Mais qu’est-ce que l’agriculture intelligente ? Qui va s’investir dans une telle Alliance ? Quelles pratiques agricoles va-t-elle soutenir ?"
"La longue litanie des sommets internationaux sur le réchauffement climatique et les menaces qu'il fait peser sur la planète peut avoir quelque chose de désolant. Le plus souvent, les Etats protestent qu'ils ont conscience de l'urgence, promettent beaucoup et se hâtent de ne pas passer à l'action.
Le sommet extraordinaire organisé à New York le 23 septembre par Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations unies, destiné à préparer les réunions de Lima (Pérou) et de Paris, respectivement fin 2014 et fin 2015, n'a pas vraiment dérogé à la règle."
"Pourquoi l'homme est-il aujourd'hui considéré comme le principale responsable du changement climatique en marche ? Quel est exactement son impact sur les processus naturels qui régissent la planète ? Hausse des températures, élévation du niveau de la mer, acidification des océans… quelles conséquences auront concrètement ces évolutions sur notre environnement ? Explications et enjeux en moins de quatre minutes."
"La hausse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) se poursuit à un rythme effréné et coïncide avec le plus pessimiste des quatre grands scénarios de développement imaginés par la communauté scientifique.
Dimanche 21 septembre au soir, le Global Carbon Project (GCP), un consortium d'organismes de recherche internationaux de référence, a rendu public le bilan des émissions anthropiques de CO2 pour l'année 2013 et confirme que celles-ci sont hors de contrôle."
"La disparition des oiseaux est certes moins spectaculaire que l’éradication des requins ou des éléphants, mais elle n’en est pas moins massive. Et elle a été très étudiée. De nouvelles recherches proposent des chiffres étonnants sur les causes de la mort des oiseaux."
"Deux rapports mettent en garde contre les effets du changement climatique et de l'urbanisation sur les populations d'oiseaux."
"Les gaz à effet de serre ont atteint un niveau de concentration record en 2013, a annoncé mardi 9 septembre à Genève l'Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence de l'Organisation des nations unies. Qui plus est, le taux d'accroissement du dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique entre 2012 et 2013 représente la plus forte augmentation annuelle depuis 1984, année des premières mesures fiables."
"La France va devenir plus chaude et plus pluvieuse d'ici à la fin du siècle, avec davantage d'épisodes météo extrêmes, conclut un rapport remis à la ministre de l'écologie Ségolène Royal, samedi 6 septembre, qui a annoncé à cette occasion des mesures d'économie d'énergie dans les bâtiments publics et le logement social."
"465 kilomètres cubes par an : c’est ce que perdent à présent le Groënland et l’Antarctique, selon les dernières estimations. Une fonte bien plus rapide qu’on ne le pensait jusqu’à présent !"