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"LE PLUS. Les rapports alarmants du GIEC sur l'évolution du climat se suivent, mais pour quels résultats ? Les négociations actuelles sur le traité commercial transatlantique illustrent la réticence des dirigeants politiques à prendre en considération la problématique environnementale, déplorent Frédéric Farah et Thomas Porcher, économistes et auteurs de "TAFTA : l'accord du plus fort"."
"Si les émissions de CO2 d’origine humaine continuent à ce rythme, l’augmentation de la température moyenne de la planète Terre risque d’approcher les 5°C en 2100, selon les prévisions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)."
"D'après le 4ème rapport du GIEC, "le réchauffement du climat ne fait aucun doute et est désormais attesté par l'augmentation observée des températures moyennes de l'air et de l'océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace et l'augmentation du niveau moyen de la mer"."
"Le Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (GIEC) a présenté à Copenhague le 2 novembre la synthèse de son 5e rapport. Une nécessaire réduction des émissions et le changement des modes de consommation et de production des pays du Nord sont requis pour pouvoir limiter les impacts dramatiques des changements climatiques."
" Les scientifiques du GIEC viennent juste de rendre le rapport de synthèse de leur 5ème rapport d'évaluation du changement climatique. Il est sans appel sur les dangers encourus par l'humanité et sur la nécessité d'une action rapide. "
"Il n’y a pas que la montée des eaux. Que l’on épouse les thèses du Giec ou qu’on les critique, l’acidification des eaux des océans n’est plus contestée. Le phénomène menace la chaîne alimentaire. Ce qui, au-delà des polémiques, devrait pousser à la réduction des émissions de CO2. Ce qui serait favorable à la lutte contre le réchauffement climatique."
"Le GIEC, créé en 1988 à la demande du G7 est chapeauté par deux instances de l'ONU, l'Organisation météorologique mondiale (OMM/WMO) et le Programme des Nations Unies sur l'Environnement (PNUE). Plus connu sous son sigle anglais (IPCC - Intergovernmental Panel on Climate Change), il a pour mandat de faire régulièrement le point sur l'état des connaissances sur le changement climatique."
"Dans sa nouvelle mise en garde contre le réchauffement climatique, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) a publié son cinquième rapport de synthèse, après ceux de 1990, 1995, 2001 et 2007. Tout au long de ses 166 pages, les données alarmantes s'enchaînent, mais elles auraient pu être pires: deux pages ont été retirées juste avant la finalisation du rapport."
"Agir vite et fort, sans quoi le changement climatique produira de plus en plus d'« effets pervasifs, sévères et irréversibles » sur les sociétés humaines et les écosystèmes. C'est avec des mots inhabituellement forts que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a rendu public, dimanche 2 novembre à Copenhague (Danemark), la synthèse de son cinquième rapport, en présence de Ban Ki-moon."
"Réchauffement de l'atmosphère, montée et acidification des océans… L'un après l'autre, les rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dressent un tableau sombre de l'évolution de notre climat. Ce groupe, qui compile près de 20 000 études de plus de 800 chercheurs, a publié dimanche 2 novembre la synthèse de son cinquième rapport après ceux de 1990, 1995, 2001 et 2007."
"Selon les conclusions du cinquième Rapport d'évaluation du GIEC sur les changements climatiques, le doute n'est plus permis sur l'implication des activités humaines dans le réchauffement climatique en cours : sans réaction rapide et globale, les conséquences seront irréversibles et dangereuses. Un nouveau cri d'alarme des scientifiques aux politiques et aux citoyens... "
"Les scientifiques du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont envoyé un nouveau coup de semonce aux gouvernements, dimanche 2 novembre, avec la publication de la synthèse de leur cinquième rapport sur le changement climatique. Si le document – comme son nom l'indique – n'apporte pas d'éléments nouveaux par rapport aux trois volets publiés depuis septembre 2013, il confirme la gravité de la situation et souligne la responsabilité des Etats dans la réponse qu'il est encore temps d'apporter pour écarter les risques les plus sévères liés à l'élévation des températures."
"Agir vite et fort, sans quoi le changement climatique produira de plus en plus d'« effets pervasifs, sévères et irréversibles » sur les sociétés humaines et les écosystèmes. C'est avec des mots inhabituellement forts que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a rendu public, dimanche 2 novembre à Copenhague (Danemark), la synthèse de son cinquième rapport, en présence de Ban Ki-moon."
3 minutes pour comprendre les effets du CO2 dans le réchauffement climatique, l'inaction denos politiques et les actions des lobbies. A vomir...
"Comme l’affirmait le dernier rapport du GIEC en mars 2014, les investissements dans les énergies fossiles conventionnelles doivent baisser de 30 milliards de dollars par an de 2010 à 2029 si nous voulons avoir une chance de limiter la hausse de la température en dessous des 2°C (1). La France doit s’engager à mettre un terme à ses soutiens aux énergies fossiles et arrêter immédiatement ceux au charbon, l’énergie la plus carbonée. Plusieurs institutions et pays se sont déjà engagés dans cette voie. La France, qui entend être leader en matière climatique au niveau international, ne peut rester à la traîne au risque d’être demain étiquetée comme un pays conservateur comme la Pologne ou le Japon."
"On l'a dit : le cap symbolique des 400 parties par million (ppm) de dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique a été atteint le 9 mai 2013. Une concentration record depuis plusieurs millions d'années. Mais un autre seuil a été franchi, cette fois en avril 2014 : pour la première fois, la concentration de CO2 a dépassé ce niveau un mois entier durant, selon les données de la station de Mauna Loa (Hawaï), qui appartient à l'agence américaine responsable de l'étude de l'océan et de l'atmosphère (NOAA). Un niveau sans précédent, comme le montre une animation réalisée par l'Institut coopératif de recherche en sciences de l'environnement, l'un des centres de la NOAA."
"Sans effort supplémentaire, les températures pourraient s’élever de 3,7 à 4,8 °C d’ici 2100, selon le dernier volet du cinquième rapport du Giec, publié dimanche 13 avril. Consacré à la lutte contre le dérèglement climatique, il dresse un bilan catastrophique de l’insuffisance des politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre."
"Le temps est écoulé : si les Etats accordent encore quelque importance à l'objectif de limiter la hausse moyenne des températures mondiales à 2°C d'ici la fin du siècle, ils doivent agir dès maintenant en déployant des politiques d'une envergure sans commune mesure avec les initiatives prises jusqu'à présent. Tel est l'un des principaux messages du nouveau rapport sur « l'atténuation du changement climatique » du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), dont la synthèse a été publiée, dimanche 13 avril à Berlin."
"Pour parvenir à limiter le réchauffement de la planète à 2 °C avant la fin du siècle, les Etats doivent lancer une véritable révolution économique, selon le nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) publié dimanche 13 avril."
"Une compilation de près de 20 000 études et projections scientifiques par plus de 800 chercheurs. Voilà la somme que représente le cinquième rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui vient d'être intégralement achevé et s'avère bien plus alarmant que la précédente édition, en 2007."