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Le changement climatique, on en parle beaucoup, mais les problèmes qu’il va poser ne sont pas toujours évidents à comprendre. Ils sont pourtant très inquiétants. Alors, concrètement, quelles vont être ses conséquences ?
Vivement critiqué pour avoir participé à un débat organisé par « Valeurs actuelles », le journaliste Hugo Clément s’est défendu en arguant que l’écologie doit dépasser les clivages partisans. C’est oublier que la catastrophe climatique est structurellement raciste.
Avant même le premier rapport du Giec, le géant pétrolier a prédit avec précision les impacts de la catastrophe climatique si les groupes énergétiques continuaient de produire des énergies fossiles. Malgré cela, Shell a sciemment opté pour le « business as usual », conduisant aux résultats dévastateurs qu’il avait décrits.
Le Giec rend son sixième rapport de synthèse lundi 20 mars. Malgré le consensus scientifique, certains climatosceptiques ne seront jamais convaincus, explique le mathématicien David Chavalarias.
Le rapport de synthèse (SYR) du sixième rapport d’évaluation du GIEC est enfin sorti ! Il résume l’état des connaissances du changement climatique, de ses impacts et risques généralisés, ainsi que de l’atténuation du changement climatique et de l’adaptation à celui-ci.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies a publié son sixième rapport. Franceinfo a épluché son "résumé pour les décideurs" et vous en détaille les informations à retenir.
Rien de bien nouveau sous le soleil : l’excès de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (principalement émis par les humains 😒) entraîne une hausse de la température à la surface de la Terre → déjà +1,1°C de réchauffement en 2011-2020 par rapport à la fin du XIXe siècle.
Les stations de ski « fantômes » démantelées par cette association, une bénédiction pour la montagne
Faute de neige ou d’argent, les stations de ski laissées à l’abandon sont de plus en plus nombreuses. L’association « Mountain Wilderness » fait la chasse aux installations obsolètes.
À quelques jours de l’organisation d’une épreuve de la Coupe du monde de biathlon, la mise en place sur les pistes du Grand-Bornand d’un enneigement non naturel crée la polémique.
Le président de la République s'est livré, dimanche 13 novembre, à un exercice de communication rare, en répondant à des questions sur l'écologie directement posées par des internautes sur les réseaux sociaux. Franceinfo a relevé trois affirmations inexactes.
La #COP27 s'achève et l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C s'éloigne. Combien nous reste-t-il de temps pour l'atteindre ? Quelle conséquences dans un monde à 2 degrés ?
Que se passerait-il si la planète se réchauffait de 3 degrés ? C'est ce que nous explique Wolfgang Cramer dans cette vidéo.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, António Guterres, s’est exprimé dans le cadre de la COP27, avec une allocution pour le moins offensive.
L’Organisation des Nations unies (ONU) tire la sonnette d’alarme. Dans son rapport publié le 27 octobre, le Programme des Nations unies pour l’environnement constate que nous allons vers un réchauffement de 2,6 °C, voire même 2,8 °C d’ici la fin du siècle.
La projection faite en 2014 pour une « canicule en 2050 » donnait déjà des sueurs froides. Mais Evelyne Dhéliat et Météo-France ont mis à jour cette carte, à partir des données de 2022. Sans catastrophisme, cette projection est importante.
« Ceci aura des impacts très forts sur les écosystèmes et les cultures. On aura des pics de chaleur beaucoup plus fréquents et chauds, et des sécheresses plus intenses et prolongées. Dans ces conditions, l’un des points clés sera comment maintenir les ressources en eau et comment les utiliser. »
Vouloir limiter le réchauffement climatique global à +2°C et communiquer en ce sens est une erreur. Une erreur car une immense majorité de la population française (voire mondiale) ne sait pas ce que cela signifie, et/ou n’en connait pas les conséquences. C’est parfois même un choix délibéré de certaines entreprises ou politiques souhaitant un certain Business as Usual, qui établissent leur stratégie économique sur ces +2°C, évoquant un certain “pragmatisme”.
Le réchauffement de la France pourrait atteindre 3,8 °C d’ici à la fin du siècle, selon une récente modélisation inédite basée sur un scénario probable d’émissions de gaz à effet de serre.
En adaptant à la France la méthode utilisée par le Giec pour estimer le réchauffement planétaire, des scientifiques viennent de revoir à la hausse les températures qui attendent l’Hexagone. D’ici 2100, cette augmentation serait de 3,8 °C par rapport au début du XXᵉ siècle, et ce dans un scénario d’émissions modérées de gaz à effet de serre.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) rend trois rapports tous les six ans. Lundi, le dernier en date, diffusé à 17 h, recensait les solutions possibles : il reste trois ans pour espérer que le réchauffement se limite à 1,5 °C. Nous avons regardé 35 heures d'antenne des chaînes info, et les journaux télévisés : sauf France Télévisions, aucune chaîne n'a consacré plus de 2 % de son antenne au climat. Elles ont préféré demander à leurs envoyés spéciaux des reportages sur le gel. Cet article est en accès libre.