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La région Île-de-France a voté les forfaits d’externat de tous les lycées privés sous contrat, dont le lycée Stanislas, une dépense obligatoire pour la collectivité. Un vote dont s'est fermement opposé la gauche après les récentes révélations sur l'établissement catholique parisien.
Après la publication du rapport sur l’établissement privé, la ville de Paris a décidé de suspendre ses financements et de nombreux élus et syndicats montent au créneau. La région Île-de-France, elle, précise à Mediapart attendre encore des « conclusions » avant de réagir.
Valérie Pécresse arrose le lycée Stanislas d’argent public pendant que les établissements publics d’Île-de-France manquent de tout
Durant l’été, Valérie Pécresse avait demandé de changer le nom d’un lycée de La Plaine Saint-Denis car des déclarations d’Angela Davis avaient été jugées « contraires aux lois de la République ».
Le conseil régional d’Île-de-France a voté, mercredi, pour débaptiser le lycée Angela-Davis, en Seine-Saint-Denis, et le renommer Rosa-Parks, malgré l’avis contraire émis par le ministre de l’éducation nationale.
De récentes mises à jour sur la page Wikipédia de Valérie Pécresse créent la polémique. Ses opposants accusent la présidente de la région Île-de-France de vouloir faire oublier ses positions anti-mariage pour tous, à quelques semaines des élections régionales.
Candidate à sa réélection à la présidence de l’Île-de-France, Valérie Pécresse a énormément communiqué sur l’écologie durant son mandat. Mais si quelques avancées sont à souligner, son bilan sur cette question reste médiocre.
En août 2019, Valérie Pécresse organise le meeting le plus important de l’histoire de son parti politique, Libres!, à Brive-la-Gaillarde. Derrière la foule de 1 500 personnes se trouvaient en réalité des contingents entiers de faux militants rameutés tous frais payés depuis Paris et issus d’associations communautaires, selon notre enquête. Certaines de ces structures sont financées par la région Île-de-France, que préside Mme Pécresse.
"Dans le cadre de l'État d'urgence, la France a notifié le mercredi 24 novembre à la Cour européenne des droits de l'homme son intention de déroger à certains des droits garantis par la Convention européenne (CEDH) et par le droit de l'ONU. Juridiquement, de telles dérogations sont possibles. Mais pas sans conditions ni limites."
"“Il faut bien entendu un Patriot Act à la française. Il faut une réponse ferme et globale”. Pour Valérie Pécresse, entendue dimanche sur Europe 1, cela ne fait aucun doute : la France doit se doter d’une nouvelle loi anti-terrorisme, dans la veine de celle qui a été votée aux États-Unis quelques semaines après les attentats du 11 septembre. Qu'est exactement cette loi, qui fait encore débat treize ans après son adoption ?"