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L'Observatoire Copernicus a publié mardi son rapport annuel dressant le bilan de l'année climatique écoulée, dans lequel il confirme les conclusions d'un précédent bilan qui, le 6 décembre déjà, assurait que 2023 était l'année la plus chaude jamais enregistrée.
Après le rapport du Groupe de travail I (WGI) en août 2021, le 2ème rapport est enfin sorti !
Alors que le premier rapport traitait de la compréhension physique du système climatique et du changement climatique, ce nouveau rapport (le 2eme sur 3) porte sur les impacts, l’adaptation et la vulnérabilité des sociétés humaines et des écosystèmes au changement climatique. Comparé aux précédentes versions, ce rapport intègre davantage l’économie et les sciences sociales, et souligne plus clairement le rôle important de la justice sociale dans l’adaptation au changement climatique.
À eux seuls, l’extraction et le raffinage des métaux sont à l’origine d’un dixième des émissions mondiales de gaz à effet de serre, avec toutefois des variations considérables. Certains métaux rares ou précieux ont ainsi une très grande intensité en carbone : 20 600 tonnes de CO² émises pour une tonne extraite et raffinée de platine, 5 100 tonnes de CO² pour une tonne d’or, quand l’acier ne consomme que 2 tonnes de CO² et l’aluminium 17. En volume, deux métaux concentrent l’essentiel des émissions : l’acier et l’aluminium produisent à eux seuls près des neuf dixièmes des émissions de CO² des dix-sept métaux étudiés dans cette note.
Le Giec rend son sixième rapport de synthèse lundi 20 mars. Malgré le consensus scientifique, certains climatosceptiques ne seront jamais convaincus, explique le mathématicien David Chavalarias.
Le rapport de synthèse (SYR) du sixième rapport d’évaluation du GIEC est enfin sorti ! Il résume l’état des connaissances du changement climatique, de ses impacts et risques généralisés, ainsi que de l’atténuation du changement climatique et de l’adaptation à celui-ci.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies a publié son sixième rapport. Franceinfo a épluché son "résumé pour les décideurs" et vous en détaille les informations à retenir.
Rien de bien nouveau sous le soleil : l’excès de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (principalement émis par les humains 😒) entraîne une hausse de la température à la surface de la Terre → déjà +1,1°C de réchauffement en 2011-2020 par rapport à la fin du XIXe siècle.
Dépenses de lobbying en augmentation rapide, débauchage de hauts fonctionnaires, contacts à l’Élysée, partenariats financiers avec des médias, des thinks tanks et des institutions de recherche... Plongée dans la redoutable machinerie de lobbying et d’influence déployée en France par les géants du web Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.
Élaborée par le WWF avec la Société zoologique de Londres, la dernière édition du rapport Planète vivante constate le déclin affolant des populations de vertébrés sauvages depuis 1970 - un phénomène renforcé par le changement climatique.
Tous les deux ans, l'ONG analyse la perte de la biodiversité à l'échelle planétaire, afin de "poser les jalons d’actions à venir en fournissant des éléments de réflexion".
Dans cette première édition de son enquête annuelle « Pour un numérique soutenable », l’Arcep publie 3 premières catégories d’indicateurs collectés auprès des quatre principaux opérateurs télécoms pour suivre l’évolution de leur empreinte environnementale.
Chaque année depuis 2000, l'@ademe publie son baromètre sur les représentations sociales du changement climatique. Cette édition 2020 montre quelques bonnes nouvelles dans la prise de conscience mais aussi qu'il reste du boulot...
Depuis 2000, l’ADEME a initié une série d’enquêtes administrées chaque année auprès d'échantillons représentatifs de la population Française permettant de dresser un tableau des représentations sociales du changement climatique et de leurs évolutions.
Note : cette traduction n’est pas officielle : c’est une traduction bénévole et collective. Elle a été faite dans le but de permettre la lecture du rapport au plus grand nombre, avant d’attendre la traduction officielle (dans plusieurs mois). Nous ne sommes pas des traducteurs professionnels, certaines phrases peuvent avoir des tournures lourdes, il peut y avoir des erreurs mais nous avons essayé de garder le sens au mieux possible. Certaines notes de bas de pages n’ont pas été traduites pour l’instant. Cette traduction est publiée sous licence Creative Commons CC-BY-SA 4.0 : vous avez droit de l’utiliser, la copier, la partagez comme vous voulez. Pour l’ensemble du texte officiel en anglais, et si vous avez un doute sur une traduction, voir https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/ (cliquer sur la section « Summary for policymakers »)
Le rapport du Groupe de travail I (WGI) est la plus grande mise à jour de l’état des connaissances scientifiques et de la compréhension physique sur le climat depuis la publication du rapport AR5 (WG1 en 2013), et son rapport spécial 1.5 (SR1.5). Il combine plusieurs sources de données provenant de la paléoclimatologie, des observations, de la compréhension des processus et des simulations climatiques mondiales et régionales.
Le Haut conseil pour le climat présente la version grand public et plus accessible de son rapport annuel « Redresser le cap, relancer la transition », publié en juin. La version grand public est tournée vers la jeunesse, mais également destinée à tous.
Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a été créé en 1988 par deux institutions des Nations Unies. Sa principale mission consiste à évaluer, à chacun de ses cycles, l’état des connaissances les plus avancées relatives au changement climatique.
Pour aider la compréhension par le plus grand nombre, le Pôle Sciences de CPLC élabore une synthèse de chacun des nouveaux rapports du GIEC sous forme d’un résumé.
Plus précis. Plus alarmant. Plus fiable. Plus pédagogique. Le groupe-1 du GIEC vient de publier son rapport dans le cadre de la préparation du 6ème rapport de ce Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Le premier fut publié en 1990. Il servit de base scientifique à l’élaboration de la Convention Climat de l’ONU, signée à Rio de Janeiro en 1992.
Alors que le déploiement de la 5G s'accélère en France, l’agence de sécurité sanitaire vient de rendre un avis sur les risques potentiels sur notre santé.
Le rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire publié mardi 20 avril indique que le déploiement de la 5G n’implique pas de « risques nouveaux » pour la santé au vu des données disponibles. L’agence avoue toutefois manquer d’études précises sur certaines bandes de fréquences. Les associations environnementales ne sont pas rassurées.