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L'activiste des libertés en ligne et ancien de Mozilla dénonce l'attitude du réseau social, qui était, selon lui, au courant des violations de la vie privée.
Je titrais récemment la mauvaise réputation de Facebook, qui vient juste derrière Marlboro quand on demande aux américains de choisir les entreprises qui sont toxiques pour la société. Cette semaine continue dans la même veine, avec Wired qui balance une couverture choc :
Savez-vous comment Facebook gagne de l’argent ? Par la publicité, bien entendu. Mais quel est le mécanisme exact ? Qui paie et pour quoi en échange ? Et quelles en sont les conséquences de ce modèle ?
Il est possible que la corrélation entre le niveau linguistique de cet article et mon taux d'énervement soient proportionnels. Donc si vous n'aimez pas la mer, la montagne, la ville et les gros mots, ben alors ...
Notez également que "La brouette thaïlandaise de la formation universitaire et le sandwich néerlandais de la fraude fiscale" était le titre alternatif de cet article, mais je le trouvais moins explicite. J'espère qu'il le sera davantage (explicite) à la fin de votre lecture.
Le bilan 2016 des aides publiques à la presse prolonge le scandale des années antérieures : les milliardaires les plus riches sont les plus subventionnés. Mais ce sont eux aussi qui se partagent une bonne part des aides privées apportées par Google, Facebook ou la fondation Gates.
En janvier, Facebook a annoncé un changement de son algorithme. Ce dernier donnera désormais la priorité aux publications de nos amis et de notre famille. Mais comment l'algorithme du réseau social fait-il pour décider de ce que nous voyons sur notre fil d'actualité ? Et peut-on reprendre la main dessus ?
La Cour de justice de l'Union européenne a rendu un arrêt dans un conflit juridique entre Facebook et l'Autrichien Maximilian Schrems. L'institution judiciaire confirme que l'intéressé à le droit de poursuivre le réseau social dans son pays, mais il ne peut pas engager une action collectif pour d'autres Européens.
Samidh Chakrabarti, directeur produit chez Facebook, s'est lancé dans le difficile exercice de répondre aux questions revenant régulièrement aux oreilles de l'entreprise.
Facebook a procédé à l'achat de Confirm.io, une firme spécialisée dans la reconnaissance de pièces d'identité. Les technologies serviront vraisemblablement aux procédures mises en place par le réseau social pour vérifier l'identité de membres ne pouvant plus accéder à leur compte... en attendant une possible généralisation ?
L'Observatoire européen du journalisme détaille la dépendance grandissante de grands médias en ligne à Facebook, qui finance nombre de leurs projets « innovants ». Une relation à sens unique, où ces contenus alimentent une plateforme qui ne fournit que des gains à court terme, dans une course aux règles dictés par le géant américain.
La récolte de données par Facebook - qui a toujours existé - se fait avec des procédés toujours plus sophistiqués. Et incroyablement intrusifs.
Panique dans les rédactions ! Suicides collectifs dans les journaux ! Défenestrations de community managers ! Vendredi 12 janvier, Facebook a donné un brusque coup de volant, affolant des professionnels de l’information qu’on imagine déjà en position foetale au milieu de leur open space. Selon le New York Times, la plateforme va modifier son fil d’actualité (le fameux News Feed) pour « prioriser les contenus partagés par la famille et les amis, au détriment des médias et des marques ».
Réparer Facebook ? En 2018, c'est probablement la meilleure idée de Mark Zuckerberg.
Sijmen Ruwhof, un spécialiste néerlandais de cybersécurité, a mené l’enquête sur un site web russe qui, de prime abord, semble n’être qu’une banque d’images classique. Pourtant, Ruwhof a découvert qu’on pouvait y trouver des millions de photos d’enfants récupérées depuis Facebook ou Instagram, ainsi que d’autres images relevant de la pornographie pédophile. Entretien.
Le ministère de l’éducation nationale a transmis une consigne autorisant le recours, à l’école, aux services des titans du numérique.
Les Européens et les Canadiens seront les seuls utilisateurs de Facebook privés (ou préservés ?) de cette fonctionnalité : désormais, le réseau social identifie les photos de ses membres, même lorsqu'ils ne sont pas tagués, en s'appuyant sur la reconnaissance faciale.
Avant-hier, la CNIL a annoncé mettre en demeure WhatsApp de corriger son système de transfert de données personnelles à Facebook. L'entreprise a un mois pour ce faire, sous peine d'être sanctionnée (le montant maximal de l'amende est de 3 millions d'euros). La CNIL considère ce transfert illicite car se fondant sur le consentement forcé des utilisateurs, ceux-ci ne pouvant s'y opposer qu'en renonçant à utiliser le service. La Quadrature du Net se réjouit de l'analyse faite par la CNIL, car c'est exactement celle qu'elle défend depuis des années. Les conséquences en seront particulièrement importantes.
Facebook just loosened the leash a little on its facial-recognition algorithms. Starting Tuesday, any time someone uploads a photo that includes what Facebook thinks is your face, you’ll be notified even if you weren’t tagged.
L'autorité de la concurrence allemande, qui enquête depuis 20 mois sur les pratiques de Facebook en matière de données personnelles, accuse Facebook d'abuser de sa position dominante. En cause notamment : le transfert de données tirées de WhatsApp et d'Instagram.
Hier, en fin de journée, la CNIL a mis en demeure la société WhatsApp de procéder à une mise en conformité s’agissant de la transmission des données personnelles de ses utilisateurs dans les bras de Facebook. Un bras de fer qui en dit long sur le niveau de considération de ces géants des services en ligne pour les lois nationales.