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Le vote électronique, ça revient souvent, c'est même dans le programme de Macron, comme dans celui de nombreux politicien·n·e·s avant lui.
« Ceta : Ne signez pas un chèque en blanc aux multinationales ! » C'est l'intitulé de la banderole déployée ce matin, 20 septembre, devant le Sénat, par (...)
A l'occasion d'une conférence de presse organisée à l'Assemblée nationale ce mercredi 20 septembre, des dizaines d'organisations environnementales, (...)
Emmanuel Macron a rappelé à des membres de la communauté française rassemblés à New York que la France sortirait de "l'Etat de droit" en novembre. Et non de l'état d'urgence. Un lapsus partagé avec son ministre de l'Intérieur quelques jours plutôt. Décidément...
Le projet de loi “renforçant la lutte contre le terrorisme et la sécurité intérieure”, qui fera entrer dans le droit commun des mesures propres à l’état d’urgence, sera examiné par la commission des lois de l’Assemblée nationale à partir du mardi 12 septembre. Face à des considérations sécuritaires qui semblent primer sur toute autre préoccupation, au risque notamment de porter atteinte à la liberté de l’information, Reporters sans frontières (RSF) appelle les membres de la commission des lois à préserver la possibilité pour les journalistes de continuer à exercer leur activité et à protéger le secret de leurs sources. L’organisation a transmis à cette fin à la Commission ses préconisations, vendredi 8 septembre 2017.
Alors que les députés débutent l’examen en commission du premier texte sécuritaire d’Emmanuel Macron, l’Intérieur a fourni les derniers chiffres de l’état d’urgence. Un encéphalogramme définitivement plat.
Dans un entretien à Mediapart, la présidente de la Commission nationale consultative des droits de l'homme, Christine Lazerges, fustige le texte du gouvernement visant à inscrire dans le droit commun certaines mesures de l'état d'urgence. Un éventuel dictateur « n’aurait absolument rien à ajouter à ce texte » qui fait bien entrer la France dans un « état d’urgence permanent ».
"Le projet de loi pérennisant une partie du régime en vigueur depuis fin 2015 est examiné ce jeudi en Conseil des ministres. Le gouvernement se veut rassurant, mais une étude sur les deux années passées pointe des entorses aux libertés."
Connaître ses droits est une infraction : un écrit d'avocat à lire à vos risques et périls - le Plus
"Le fait, pour un manifestant, d'avoir en sa possession un tract syndical donnant des conseils en cas d'interpellation fait-il automatiquement de lui un suspect ? C'est ce qu'a estimé le procureur général de Paris. Cela en dit long sur la politique pénale de notre gouvernement, pour l'avocate Laure Heinich."
"Le diable est dans les détails. Dans son rapport annuel, publié le 4 avril, la délégation parlementaire au renseignement (DPR) a caché, dans un jargon technico-juridique abscons, une proposition qui ferait entrer de plain-pied la France dans l’ère de la surveillance préventive de masse si elle était mise en pratique."
"C’est un moment important pour la démocratie : malgré les pressions et les coups bas, le Parlement wallon a rejeté l’ultimatum européen et refusé d’accepter l’accord entre l’Union européenne et le Canada en l’état. La Belgique n’est donc pas en mesure de signer le CETA, dont l’avenir est incertain. C’est une victoire importante pour la société civile qui se mobilise contre cet accord depuis des années.
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Ils révèlent également au grand jour les pratiques douteuses de la Commission européenne qui écarte les critiques tant qu’un traité est en cours de négociation au prétexte qu’il faut attendre le texte final, avant de les écarter à nouveau lorsque le traité est enfin conclu au motif qu’il est alors trop tard pour le modifier."
"À l'heure où 4 milliards d'internautes laissent quotidiennement sur le Net, parfois sans le savoir, nombre d'informations personnelles, Tristan Nitot, ex-président de Mozilla Europe, nous donne des conseils pour limiter cette constante surveillance. "
"Qu’ont retenu la majorité des médias du livre Un président ne devrait pas dire ça, à l'origine d’une déflagration médiatico-politique ? Des petites phrases choc parfois sorties de leur contexte : la femme voilée qui sera la Marianne de demain, la lâcheté des magistrats, le trop d’immigration, les footballeurs décervelés, les pauvres surnommés les sans-dents…"
"L'émission de France 2 apporte des précisions, vendredi 21 octobre, sur son échange avec le président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur en fin d'émission."
"Les difficultés rencontrées par l'émission «Cash Investigation» pour traiter de la construction du stade de Nice, et le ton du débat entre la journaliste Elise Lucet et l’ancien maire Christian Estrosi, sont révélateurs d’un malaise dans la démocratie française."
"Le plus important nœud d'échange européen, DE-CIX, engage une action juridique pour obliger l'Allemagne à clarifier le cadre légal des interceptions que lui demandent les services secrets."
"Candidat à la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy était le premier invité de la nouvelle émission politique de France 2, jeudi 15 septembre. Interrogé par David Pujadas et Léa Salamé, il est revenu sur ses propositions en matière de terrorisme, d’économie ou encore d’immigration."
"Les affaires qui visent Nicolas Sarkozy, grâce à ce que la justice a découvert, ne peuvent être écartées du débat politique pour la primaire et plus généralement pour la présidentielle. Elles ne peuvent pas, non plus, demeurer dans la simple chronique des faits divers."
"Après des mois de tergiversations, la France a décidé d’en finir avec les négociations concernant le traité de libre-échange transatlantique (appelé TTIP ou Tafta), censé doper les échanges commerciaux entre les Etats-Unis et l’Union européenne. « A la fin du mois de septembre, lorsque les ministres du commerce extérieur se réuniront à Bratislava pour avoir un échange sur ce sujet comme sur d’autres, je demanderai, au nom de la France, l’arrêt des négociations sur le Tafta », a annoncé Matthias Fekl, mardi 30 août, sur RMC."
"Si la chancelière allemande ne cesse pas de se montrer favorable à la signature du traité de libre-échange transatlantique (TAFTA), son ministre de l'Economie, Sigmar Gabriel, a lui évoqué, ce dimanche 28 août sur la télévision publique allemande, "l'échec" des discussions avec les Etats-Unis."