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Under the bottom-up architecture of the Paris Agreement, countries pledge Nationally Determined Contributions (NDCs). Current NDCs individually align, at best, with divergent concepts of equity and are collectively inconsistent with the Paris Agreement. We show that the global 2030-emissions of NDCs match the sum of each country adopting the least-stringent of five effort-sharing allocations of a well-below 2 °C-scenario. Extending such a self-interested bottom-up aggregation of equity might lead to a median 2100-warming of 2.3 °C. Tightening the warming goal of each country’s effort-sharing approach to aspirational levels of 1.1 °C and 1.3 °C could achieve the 1.5 °C and well-below 2 °C-thresholds, respectively. This new hybrid allocation reconciles the bottom-up nature of the Paris Agreement with its top-down warming thresholds and provides a temperature metric to assess NDCs. When taken as benchmark by other countries, the NDCs of India, the EU, the USA and China lead to 2.6 °C, 3.2 °C, 4 °C and over 5.1 °C warmings, respectively.
Si tous les pays avaient des engagements climatiques (INDCs) aussi peu ambitieux que la Russie, la Chine ou les US, le réchauffement atteindrait 4 à 5°C. La carte indique le réchauffement correspondant aux INDCs de chaque pays (fig. 4.b).
Si l’on veut vraiment sauver le climat, il faut commencer par détruire le capitalisme. Non, il ne suffira pas, comme on voudrait nous le faire croire, de quelques efforts ici et là, de développer un peu les énergies renouvelables, pour empêcher le chaos climatique. La solution n’est pas technique, elle est politique et morale. Ce n’est pas de prouesses technologiques dont nous avons besoin, mais d’une révolution. D’une révolution politique et culturelle. Nous devons remettre en cause un système tout entier, celui du capitalisme. Nous devons remettre en cause ce capitalisme qui est non seulement un système économique mais aussi un système de valeurs, une vision du monde, un imaginaire. C’est le capitalisme qui, en subordonnant tout au profit, détruit le climat et l’environnement. C’est le capitalisme qui, en nous incitant à produire et consommer toujours plus, détruit le climat et l’environnement.
L’Agence internationale de l’énergie a présenté, mardi, son rapport annuel. L’accord de Paris ne sera pas respecté si le courant provient toujours de centrales à charbon ou à gaz.
L'Etat néerlandais a annoncé vendredi se pourvoir en cassation suite à une décision de justice rendue début octobre l'ordonnant de réduire ses émissions de gaz à effet de serre d'au moins 25% d'ici 2020.
Si la machine climatique s'emballe et que les activités humaines en sont responsable, alors nos merveilleuses et si puissantes technologies devraient être capables de réparer tout ça, non ? Voilà un joli mythe à déconstruire d'urgence avant que la géoingénierie - ensemble de techniques visant à modifier le climat terrestre dans sa globalité - ne bâtisse une cage dorée technologique offrant une protection aussi dangereuse qu’illusoire.
Le président américain Donald Trump a laissé entendre vendredi qu'il nommerait officiellement à son poste le ministre par intérim de l'Environnement, un ancien lobbyiste des secteurs du charbon et de l'énergie, Andrew Wheeler.
Le 12 septembre 2018, plusieurs youtubeurs écolos relativement à la mode se sont associés pour organiser la diffusion en direct d’une vidéo sur internet, la première édition de ce qu’ils ont décidé d’appelé un JTerre, en référence au journal télévisé (JT). Ainsi, le JTerre est « un projet indépendant franco-belgo-suisse, porté par François Legrand (Permavenir) et Félicien Bogaerts (Le Biais Vert), avec la participation de Mr Mondialisation, La Relève et la Peste, Les Parasites, Partager c’est Sympa, PositivR, Professeur Feuillage, En Vert et Contre Tout, La Barbe, Sortez tout vert et Edeni ».
Cette première édition de leur JTerre était centrée sur « la destruction de la biodiversité et la justice climatique ». S’il est tout à fait louable de se soucier de la situation socioécologique et de vouloir participer au débat visant à la résoudre, leur approche présente plusieurs sérieux problèmes, à commencer par un manque de sérieux frappant.
En lançant le mouvement Extinction Rebellion, des activistes anglais s’engagent avec détermination dans la lutte contre le changement climatique et la disparition des espèces, raconte notre chroniqueuse. Alors que le changement est possible et urgent, disent-ils, les politiques ne font rien. Aux citoyens de reprendre la main en se soulevant pour inverser le rapport de force.
A quelques mois des européennes, l’enjeu écologique est en passe de devenir la préoccupation numéro un des électeurs, devant l’emploi ou le pouvoir d’achat.
L'épaisseur de neige dans les Pyrénées pourrait diminuer de moitié et les températures maximales moyennes augmenter de 1,4 à 3,3 degrés d'ici à 2050, révèle lundi l'Observatoire Pyrénéen du Changement Climatique (OPCC) dans son rapport sur le changement climatique.
Le dernier rapport « Planète vivante » du WWF montre « un déclin global de 60 % de l’effectif des populations de vertébrés sauvages entre 1970 et 2014 ». D’autres études inquiétantes complètent ce sombre tableau. Et la réponse politique se fait attendre.
Deux études avancent que la généralisation de cette monnaie virtuelle conduirait la planète à dépasser le seuil fatidique des 2 °C de réchauffement en deux décennies.
Le WWF publie mardi son dernier rapport "Planète vivante". Et le constat est terrible : depuis les années 1970, la Terre a perdu 60% de ses populations d'animaux sauvages.
Pas un seul État membre de l'UE ne figure parmi les 16 pays sur 197 qui, selon une étude réalisée par un centre de recherche américain et deux centres de recherche britanniques, ont pris les mesures politiques appropriées promises dans le cadre de l'accord de Paris sur le climat.
Le gouvernement devrait annoncer ces prochaines semaines sa feuille de route énergétique pour les prochaines années et jusqu'en 2028. Les ONG sont inquiètes alors que les premiers indices montrent une ambition à la baisse. La France ne respecte même pas ses objectifs initiaux ; or la COP24, en décembre, devait être l'occasion de les relever.
Mammifères, oiseaux, poissons, reptiles, amphibiens… Les populations de vertébrés ont été réduites de 60 % depuis 1970, révèle le WWF.
Le Fonds mondial pour la nature a publié son Rapport Planète Vivante pour l'année 2018. Selon le WWF, la disparition des vertébrés se poursuit et met en danger la nature et les humains.
Les animaux sauvages auraient perdu 60 % de leur population depuis 1970, selon le dernier rapport Planète vivante de l’ONG WWF. Les chiffres ne font que confirmer l’aggravation de l’extinction de masse en cours mais révèle des situations régionales très variables et des points d’urgence. Accessoirement, le rapport rappelle que l’effondrement de la biodiversité met en jeu la survie de l’humanité, et invite au sursaut collectif d’ici la Conférence mondiale sur la biodiversité en 2020.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie a alerté la communauté internationale sur les émissions de CO2 du secteur de l'énergie, qui devraient attendre leur record pour l'année 2018. Une question d'actualité pour la COP24.
Le Bitcoin nécessite de l'électricité pour exister, beaucoup trop. Voici pourquoi c'est une mauvaise nouvelle pour notre planète, soulignent des chercheurs spécialisés dans le climat. Il ne faut surtout pas que son adoption progresse.