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"Je suis développeur. Voici le graphique récapitulant mes contributions open source sur Github pour les 12 derniers mois.
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Les sources gouvernementales devraient être ouvertes. Après tout, si le code a été écrit grâce aux impôts du contribuable, ce n’est que justice que le contribuable puisse l’avoir en retour."
"Après avoir été adopté fin mars par l’Assemblée nationale, le projet de loi pour la refondation de l’école de la République est arrivé sur les bancs du Sénat. La Commission de la culture, de l'éducation et de la communication vient d’ailleurs de publier un rapport concernant le texte de Vincent Peillon, qui a trait à plusieurs reprises au numérique et à l’internet.
[...]
Ils ont ainsi adopté un article afin que soit ajouté la disposition suivante à l’article L. 131-2 du Code de l’éducation : « Ce service public [celui de l’enseignement numérique, ndlr] utilise en priorité des logiciels libres et des formats ouverts de documents. »"
En voila une nouvelle qu'elle est bonne. Cela prendra sans doute encore du temps... mais nous allons gagner !
"Après la circulaire Ayrault, on pouvait s'attendre à une politique volontariste et cohérente en matière d'informatique. Malheureusement, en France, certains ministères n'ont cure des directives du premier ministre, en particulier celui de la défense. Ce dernier passant un accord commercial avec Microsoft Irlande.
Suite aux protestations des promoteurs des logiciels libres, un nouvel accord serait en cours de négociation : le contrat serait passé avec une succession de sociétés, la dernière signant avec Microsoft Irlande.
Heureusement, tout n'est pas aussi noir… Un accord cadre vient d'être publié par la direction informatique du ministère de l'intérieur. Il précise les conditions dans lesquelles doivent être passés les marchés relatifs aux postes de travail pour les ministères de l'intérieur et de la justice (pendant 4 ans). Voir la suite de la dépêche pour plus de détails."
"300 millions d’euros par an. C’est à peu près ce qu’a dépensé en moyenne la France au cours des cinq dernières années pour l’acquisition et la maintenance de logiciels propriétaires selon le ministère du Budget. Sur l’ensemble de cette enveloppe annuelle, 53,9 millions d’euros sont d'ailleurs allés à Microsoft en 2011. "
Et sa mise à jour du 15 mai 2013 :
"Laurent Séguin, président de l’Association francophone des utilisateurs de logiciels libres (AFUL), est revenu auprès de PC INpact afin de faire part de son scepticisme quant aux montants évoqués ce matin par Bercy s’agissant des dépenses de l’État en matière de logiciels propriétaires. Évoquant une « fumisterie », l’intéressé pense que les sommes déboursées sont en réalité bien plus importantes, même s’il est très difficile d’obtenir des chiffres précis en la matière.
« J’aimerais qu’un rapport de la Cour de comptes permette de vérifier si l’on est plus près de trois ou de huit fois les sommes évoquées par le ministère du Budget. Rien que les quelques gros programmes tels que Chorus (comptabilité de l'État), NS2I (Nouveau système d'information dédié à l'investigation), Louvois (paye des militaires), les logiciels de gestion des passeports biométriques, la nouvelle plateforme d'interception des services de renseignement, etc. - tous propulsés avec du logiciel non libre - doivent prendre une grosse part des 260M€ d'acquisition et maintenance de logiciels non libres en ne laissant plus grand chose au fonctionnement de l'informatique de l'État » nous a-t-il déclaré. "
"Si vous avez besoin de logiciels efficaces mais pas forcément l'envie ou les moyens d'acheter des solutions souvent onéreuses (surtout pour un usage modéré), vous trouverez votre bonheur dans la pléthorique offre de logiciels libres et gratuits."
"Au cours des cinq dernières années, l'État a dépensé au moins 1,5 milliard d'euros dans des logiciels non libres. Il s'agit d'une estimation basse, car les données communiquées par le ministère du budget n'incluent pas certaines administrations publiques. Cela représente malgré tout une dépense moyenne de 300 millions d'euros par an."
"Cette semaine s'ouvre à Paris le premier OuiShareFest, un festival de trois jours entièrement dédié à l'économie du partage et à la production collaborative. Une révolution en cours ?"
"Après avoir énoncé sa préférence pour les logiciels Open Source, le Gouvernement_Britannique a officiellement concrétisé la création de son « Open Standards Board », un comité des standards ouverts qui devra définir quels standards privilégier ou imposer dans les achats IT du gouvernement."
"La Hadopi fait un pas en faveur du droit de lire sur tous supports. Saisie pour une demande d'avis par l'association VideoLAN qui édite le logiciel VLC, la Haute Autorité lui a fortement suggéré lundi de revenir vers elle par une autre procédure, plus musclée, qui lui permettrait d'ordonner aux éditeurs de Blu-Ray de communiquer les éléments techniques nécessaires à la lecture des disques vidéo haute-définition. Mais certaines restrictions, notamment financières, pourraient l'empêcher en pratique."
"Changer pour les logiciels libresQuand une société se fait réclamer 1,7 million d’euros pour une mise à jour, il y a de quoi faire tousser plus d’un Directeur Administratif et Financier. C’est l’histoire des fromageries Bel. Les politiques de licence des éditeurs de logiciels propriétaires sont devenues de plus en plus complexes à comprendre et par voie de conséquences à appliquer. Les nouveaux usages, les nouvelles technologies ont encore aggravé le casse-tête. La solution est pourtant simple : il faut passer au logiciel libre."
" Québec vient d’adopter deux décrets favorisant la multinationale Microsoft dans la mise à jour de plusieurs milliers de postes informatiques de la fonction publique, mais aussi permettant aux organismes publics d’octroyer des contrats informatiques à une dizaine de grands groupes informatiques, sans appel d’offres ni mise en concurrence de leurs produits avec les logiciels libres.
Cette mesure a toutefois été qualifiée de « transitoire » par le président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, qui dit vouloir continuer à soutenir l’industrie du logiciel libre, un « choix technologique et un choix économique », selon lui."
"(Québec) Le président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, forcera l'utilisation du logiciel libre pour sortir l'État québécois de sa dépendance aux multinationales de l'informatique. Malgré cela, certains acteurs de l'industrie craignent que la situation demeure un «bar ouvert» pour les géants comme Microsoft."
"Dans une version bêta de ses bonnes pratiques pour les services numériques administratifs, le Gouvernement_Britannique a inscrit noir sur blanc ses préférences pour le logiciel libre, au détriment des logiciels dits propriétaires. Ceux-ci y ont une place mais à de rares occasions."
Lentement mais sûrement... :)
"Le renouvellement possible des licences de la suite Office de Microsoft sans appel d’offres par le gouvernement Marois apparaît comme une mesure transitoire, le temps que le secteur du logiciel libre prenne des forces au Québec. Le président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, annonce d’ailleurs aujourd’hui une série de mesures pour permettre au gouvernement de développer son expertise du logiciel libre et d’en intensifier l’utilisation au sein des organismes publics."
"Une entreprise intelligente intégrée sait prendre des décisions avisées, fondées sur les innombrables données qu’elle recueille chaque seconde, jour après jour. Cependant les solutions propriétaires qui permettent d’adopter ce modèle s’accompagnent de frais de licence prohibitifs pour de nombreuses entreprises. "
"Ce samedi, à la Maison du temps libre de Cognac, un pingouin trône sur une colonne d’ordinateur. Car, les initiés les savent, le pingouin n’est pas manchot en matière d’informatique. L’animal est le symbole de Linux, le plus célèbre des logiciels libres, des outils alimentés par une communauté mondiale de férus de nouvelles technologies.
Leur credo, c’est de ne pas se plier à la loi des systèmes d’exploitation dont une poignée de multinationales garde jalousement la recette, ce qui leur permet de faire passer les clients à la caisse à chaque fois qu’ils font évoluer leur format, c’est-à-dire souvent. Il y a là une vingtaine de membres des groupements d’utilisateurs Linux (GuL) de Poitiers, Angoulême, Saintes, Bressuire et Cognac. Dans leur activité habituelle, ils proposent au grand public des ateliers pour leur montrer qu’une autre voie informatique est possible. "
"Les smartphones sont devenus de véritables petits PC. Leur "système d'exploitation" attire les professionnels du logiciel libre. Démonstration au Mobile World Congress de Barcelone."
"Sortir des ornières pour sortir de la crise. En marge du Sommet sur l’enseignement supérieur qui a débuté lundi à Montréal, l’Association pour l’appropriation collective de l’informatique libre (FACIL) invite les universités du Québec à remettre en question leur dépendance coûteuse envers les géants de l’informatique privative, comme Microsoft, pour mettre leur parc informatique au diapason avec le logiciel dit libre. Ce changement de paradigme serait salutaire, dit l’organisme, en raison des millions de dollars d’économie qu’il pourrait engendrer, et ce, dans le contexte de tension budgétaire qui afflige actuellement les maisons d’enseignement."
"Par expérience, je sais qu’un grand nombre de personnes veulent découvrir et participer à l‘open source, mais ne savent pas par où commencer ; et l’idée que l’on est obligé d’écrire du code pour contribuer à un projet open source constitue une véritable barrière. J’ai donc esquissé 10 façons de commencer avec l‘open source et ce sans jamais écrire une seule ligne de code."
"Reprise de ce blog pour fêter mes 15 ans d’utilisation d’un système GNU/Linux *.
Tout a commencé par un Unix dans mon laboratoire, qui m’a conduit à installer une Red Hat sur mon PC à la maison. Puis j’ai opté pour un logiciel dérivé, Mandrake, devenu ensuite Mandriva. A la disparition de celle-ci j’ai testé un temps Kubuntu avant d’opter pour Linux Mint (en version KDE ou Lxde pour une machine moins puissante). J'ai même du GNU/Linux sur mon Raspberry Pi, le petit ordinateur à 40 euros.
Pourquoi ?"