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Plusieurs personnalités du monde universitaire protestent contre l'organisation des JO à Paris. Présenté comme une aubaine économique et écologique, l'événement s'annonce au contraire extrêmement coûteux et polluant.
Cette loi, exceptionnelle par les dérogations au droit français qu’elle introduit, arrive en séance ce 20 décembre à l’Assemblée. Si elle apporte des progrès en matière de transparence, ses détracteurs s’alarment d’un manque de démocratie et des dérèglementations en matière de publicité.
La marge de manœuvre des députés sera faible durant l’examen de la « loi olympique » à l’Assemblée nationale.
On connaissait déjà les conflits d’intérêts au cœur de l’équipe de candidature, les « primes de succès » et le coût astronomique du voyage de Lima. Voici maintenant les salaires délirants, les notes de frais douteuses et l’organisation défaillante de Paris 2024.
Une des choses que je redoutais le plus au monde est arrivée : Paris organisera les Jeux Olympiques en 2024. Les opposants à ce projet n’ont pas réussi à faire entendre leur voix, alors que l…
Suppression d’aides à l’agriculture bio, projet de loi ambigu contre les hydrocarbures, JO parisiens, ratification du CETA… La transition écologique restera lettre morte tant que son ministre servira (...)
Comme attendu, Paris organisera en 2024 les Jeux Olympiques d'été, qu'elle veut plus écolo que jamais. Mais derrière un discours de façade très (...)
Un an après les Jeux olympiques au Brésil, Rio de Janeiro est en faillite et prépare un plan d'austérité sans précédent. Alors que Paris s'apprête à être désignée pour les JO de 2024, Laurent Vidal, professeur et chercheur en histoire du Brésil et des Amériques, analyse pour Marianne les raisons de cette crise.
"Alors que toutes les médailles ont été gagnées, que les athlètes sont rentrés chez eux et que l’excitation des dernières semaines est passée, il est temps de faire le point sur les impacts des Jeux Olympiques de Rio 2016."
"Sur Twitter, le droit d'informer sera désormais respecté tant que les droits d'auteur des diffuseurs officiels des compétitions sportives seront eux-mêmes respectés à la lettre. Toute entrave peut condamner définitivement au silence."
"Six secondes et puis s’en va. Le journaliste William Reymond, qui tient le compte Twitter "Breaking 3.0" a eu la mauvaise surprise de le voir désactivé hier, jeudi 11 août 2016.
La raison de cette suspension ? Selon Reymond, son compte a été suspendu parce qu’il a diffusé un Vine (vidéo de 6 secondes) où l’on peut voir un haltérophile célébrer sa médaille d’or olympique à Rio en dansant. Une vidéo qu’on retrouve pourtant, en version plus longue, sur d’autres comptes Twitter.
"Dans son règlement, le Comité international olympique interdit formellement d'utiliser une séquence des Jeux olympiques de Rio pour la transformer en GIF. Une mesure qui est absurde et qui s'ajoute à la longue liste de restrictions affectant l'événement sportif."
"Pour l'esprit olympique, on repassera."
"Jeux Olympiques, Coupes du Monde, d'Europe, Tour de France, Grand Chelem et autres... À travers la multiplications des grands événements sportifs mondialisés, l'émotion se diffuse et les valeurs du sport infusent. De grands idéaux devenus, au fil des sponsors, des slogans publicitaires qui envahissent l'espace public à chaque grande messe. Partons donc de l’Olympisme, ce berceau du sport mondial, pour questionner cette évidence du "sport fédérateur"."
"Alors que Paris s’apprête à postuler pour héberger les Jeux Olympiques 2024 et que le « cas grec » fait la une des journaux, voici des images des installations sportives réalisées pour les JO d’Athènes en 2004 qui font froid dans le dos."
"Les prochains Jeux olympiques d’hiver, qui se dérouleront à Sotchi en février 2014, verront le déploiement de « l’un des systèmes d’espionnage les plus intrusifs et systématiques de l’histoire des Jeux », a révélé début octobre The Guardian.
D’après des documents recueillis par une équipe de journalistes russes, le Service fédéral de sécurité, le FSB, « prévoit de faire en sorte qu’aucune communication, de la part des concurrents comme des spectateurs, n’échappe à la surveillance ». La surveillance de masse n’est donc pas une discipline réservée à la NSA."