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"Le compte à rebours est lancé. Dans quelques heures, mercredi 26 novembre, le président de la Commission européennes Jean-Claude Juncker présentera son ambitieux plan de relance d’environ 300 milliards d’euros aux eurodéputés. Promise il y a quatre mois, cette initiative, qui vise à relancer la croissance atone dans la zone euro, est objet de toutes les attentes. Pour ne pas dire de tous les fantasmes, jugent certains économistes, redoutant que le contenu soit, au final, décevant."
"Alors que les émissions de CO2 dans l'atmosphère ne cessent de croître, réchauffant de plus en plus notre planète, elles contribuent également à l'acidification des océans dont les niveaux, de plus en plus inquiétants, viennent d'être cartographiés dans les différents mers et océans du globe."
"Si les émissions de CO2 d’origine humaine continuent à ce rythme, l’augmentation de la température moyenne de la planète Terre risque d’approcher les 5°C en 2100, selon les prévisions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)."
"Les Etats-Unis et la Chine se sont engagés cette semaine à baisser leurs émissions de dioxyde de carbone (CO2), chaque pays se fixant des objectifs considérés comme ambitieux. En octobre, l'Union européenne avait promis une diminution des émissions de gaz à effet de serre d'« au moins » 40 % d'ici à 2030 par rapport à 1990."
"Les Etats-Unis et la Chine ont annoncé mercredi 12 novembre avoir conclu un accord inédit pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. L'annonce n'est pas anodine, car les deux pays ont représenté à eux deux 42 % des émissions mondiales de CO2 d'origine humaine (combustion de ressources fossiles) en 2013, selon les chiffres du Global Carbon Project."
"D'après le 4ème rapport du GIEC, "le réchauffement du climat ne fait aucun doute et est désormais attesté par l'augmentation observée des températures moyennes de l'air et de l'océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace et l'augmentation du niveau moyen de la mer"."
"Le Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (GIEC) a présenté à Copenhague le 2 novembre la synthèse de son 5e rapport. Une nécessaire réduction des émissions et le changement des modes de consommation et de production des pays du Nord sont requis pour pouvoir limiter les impacts dramatiques des changements climatiques."
"Deux ministres du gouvernement, Laurent Fabius et Ségolène Royal, viennent d’appeler à « une mobilisation universelle et immédiate » sur le changement climatique, qu’ils considèrent comme « une menace grave pour la biodiversité, la sécurité alimentaire et la santé ». Il était temps alors que les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ont atteint les niveaux les plus élevées depuis 800 000 ans, selon le dernier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Mais ce serait encore mieux si cette « mobilisation universelle » s’appliquait aux entreprises dont l’État est propriétaire, en particulier EDF."
" Les scientifiques du GIEC viennent juste de rendre le rapport de synthèse de leur 5ème rapport d'évaluation du changement climatique. Il est sans appel sur les dangers encourus par l'humanité et sur la nécessité d'une action rapide. "
"Il n’y a pas que la montée des eaux. Que l’on épouse les thèses du Giec ou qu’on les critique, l’acidification des eaux des océans n’est plus contestée. Le phénomène menace la chaîne alimentaire. Ce qui, au-delà des polémiques, devrait pousser à la réduction des émissions de CO2. Ce qui serait favorable à la lutte contre le réchauffement climatique."
"Le GIEC, créé en 1988 à la demande du G7 est chapeauté par deux instances de l'ONU, l'Organisation météorologique mondiale (OMM/WMO) et le Programme des Nations Unies sur l'Environnement (PNUE). Plus connu sous son sigle anglais (IPCC - Intergovernmental Panel on Climate Change), il a pour mandat de faire régulièrement le point sur l'état des connaissances sur le changement climatique."
"Dans sa nouvelle mise en garde contre le réchauffement climatique, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) a publié son cinquième rapport de synthèse, après ceux de 1990, 1995, 2001 et 2007. Tout au long de ses 166 pages, les données alarmantes s'enchaînent, mais elles auraient pu être pires: deux pages ont été retirées juste avant la finalisation du rapport."
"Agir vite et fort, sans quoi le changement climatique produira de plus en plus d'« effets pervasifs, sévères et irréversibles » sur les sociétés humaines et les écosystèmes. C'est avec des mots inhabituellement forts que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a rendu public, dimanche 2 novembre à Copenhague (Danemark), la synthèse de son cinquième rapport, en présence de Ban Ki-moon."
"Réchauffement de l'atmosphère, montée et acidification des océans… L'un après l'autre, les rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dressent un tableau sombre de l'évolution de notre climat. Ce groupe, qui compile près de 20 000 études de plus de 800 chercheurs, a publié dimanche 2 novembre la synthèse de son cinquième rapport après ceux de 1990, 1995, 2001 et 2007."
"Selon les conclusions du cinquième Rapport d'évaluation du GIEC sur les changements climatiques, le doute n'est plus permis sur l'implication des activités humaines dans le réchauffement climatique en cours : sans réaction rapide et globale, les conséquences seront irréversibles et dangereuses. Un nouveau cri d'alarme des scientifiques aux politiques et aux citoyens... "
"En 2011, l’Australie et d’autres pays proposaient de faire de la zone est de l’Antarctique une réserve naturelle. Le projet n’avait pas abouti faute d’accord entre tous les pays. Chaque année, la même bataille diplomatique a lieu et cette année encore la Russie a d’ores et déjà annoncé y mettre son véto."
"Les scientifiques du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont envoyé un nouveau coup de semonce aux gouvernements, dimanche 2 novembre, avec la publication de la synthèse de leur cinquième rapport sur le changement climatique. Si le document – comme son nom l'indique – n'apporte pas d'éléments nouveaux par rapport aux trois volets publiés depuis septembre 2013, il confirme la gravité de la situation et souligne la responsabilité des Etats dans la réponse qu'il est encore temps d'apporter pour écarter les risques les plus sévères liés à l'élévation des températures."
"Agir vite et fort, sans quoi le changement climatique produira de plus en plus d'« effets pervasifs, sévères et irréversibles » sur les sociétés humaines et les écosystèmes. C'est avec des mots inhabituellement forts que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a rendu public, dimanche 2 novembre à Copenhague (Danemark), la synthèse de son cinquième rapport, en présence de Ban Ki-moon."
"En se mettant d'accord sur un très faible objectif de réduction d'émissions et en abandonnant toute ambition d'amélioration significative de l'efficacité énergétique et du déploiement des énergies renouvelables, les Etats-membres de l'Union Européenne tournent le dos aux recommandations du GIEC et à leurs propres engagements visant à rester en deçà des 2°C de réchauffement climatique global."
" Vingt-cinq pour cent de l’électricité du monde proviennent désormais de petites unités de production à faibles émissions de CO2. "