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"Dans sa nouvelle mise en garde contre le réchauffement climatique, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) a publié son cinquième rapport de synthèse, après ceux de 1990, 1995, 2001 et 2007. Tout au long de ses 166 pages, les données alarmantes s'enchaînent, mais elles auraient pu être pires: deux pages ont été retirées juste avant la finalisation du rapport."
"Agir vite et fort, sans quoi le changement climatique produira de plus en plus d'« effets pervasifs, sévères et irréversibles » sur les sociétés humaines et les écosystèmes. C'est avec des mots inhabituellement forts que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a rendu public, dimanche 2 novembre à Copenhague (Danemark), la synthèse de son cinquième rapport, en présence de Ban Ki-moon."
"Réchauffement de l'atmosphère, montée et acidification des océans… L'un après l'autre, les rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dressent un tableau sombre de l'évolution de notre climat. Ce groupe, qui compile près de 20 000 études de plus de 800 chercheurs, a publié dimanche 2 novembre la synthèse de son cinquième rapport après ceux de 1990, 1995, 2001 et 2007."
"Selon les conclusions du cinquième Rapport d'évaluation du GIEC sur les changements climatiques, le doute n'est plus permis sur l'implication des activités humaines dans le réchauffement climatique en cours : sans réaction rapide et globale, les conséquences seront irréversibles et dangereuses. Un nouveau cri d'alarme des scientifiques aux politiques et aux citoyens... "
"En 2011, l’Australie et d’autres pays proposaient de faire de la zone est de l’Antarctique une réserve naturelle. Le projet n’avait pas abouti faute d’accord entre tous les pays. Chaque année, la même bataille diplomatique a lieu et cette année encore la Russie a d’ores et déjà annoncé y mettre son véto."
"Les scientifiques du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont envoyé un nouveau coup de semonce aux gouvernements, dimanche 2 novembre, avec la publication de la synthèse de leur cinquième rapport sur le changement climatique. Si le document – comme son nom l'indique – n'apporte pas d'éléments nouveaux par rapport aux trois volets publiés depuis septembre 2013, il confirme la gravité de la situation et souligne la responsabilité des Etats dans la réponse qu'il est encore temps d'apporter pour écarter les risques les plus sévères liés à l'élévation des températures."
"Agir vite et fort, sans quoi le changement climatique produira de plus en plus d'« effets pervasifs, sévères et irréversibles » sur les sociétés humaines et les écosystèmes. C'est avec des mots inhabituellement forts que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a rendu public, dimanche 2 novembre à Copenhague (Danemark), la synthèse de son cinquième rapport, en présence de Ban Ki-moon."
"En se mettant d'accord sur un très faible objectif de réduction d'émissions et en abandonnant toute ambition d'amélioration significative de l'efficacité énergétique et du déploiement des énergies renouvelables, les Etats-membres de l'Union Européenne tournent le dos aux recommandations du GIEC et à leurs propres engagements visant à rester en deçà des 2°C de réchauffement climatique global."
" Vingt-cinq pour cent de l’électricité du monde proviennent désormais de petites unités de production à faibles émissions de CO2. "
"Supérieures de 2,5° aux normales saisonnières, les températures sont les plus élevées jamais enregistrées à Nice depuis l’ouverture en 1943 de la station météo de l’aéroport"
"Les banques françaises financent les changements climatiques ? Demandons-leur d’arrêter !"
"Les Amis de la Terre et le réseau international BankTrack publient des données inédites sur les financements des banques françaises et internationales au secteur du charbon. Le diagnostic est sévère pour les banques françaises : leurs soutiens à l’énergie fossile la plus émettrice de CO2 ont augmenté de 218 % entre 2005 et 2013, contredisant leurs engagements à lutter contre les changements climatiques et l’impératif de réduction des investissements dans les énergies fossiles conventionnelles. Quelques jours avant la sortie de la synthèse du cinquième rapport du GIEC sur les changements climatiques, les associations sonnent l’alerte."
"Vendredi 24 octobre dans la nuit, les Vingt-Huit sont finalement parvenus à un accord sur les trois objectifs qui guideront la politique de lutte contre le réchauffement climatique de l'Union européenne (UE) au cours des prochaines années : les émissions de gaz à effet de serre devront diminuer d'« au moins » 40 % d'ici à 2030 par rapport à 1990 ; la part des énergies renouvelables devra être portée à 27 % du mix énergétique ; 27 % d'économies d'énergie devront être réalisées. Seul le premier objectif sera contraignant."
"De plus en plus d’entreprises ou d’ONG présentent la compensation carbone comme une solution aux changements climatiques. Pour les Amis de la Terre, c’est au contraire une dangereuse distraction."
"L’année en cours est en bonne voie pour battre le record de l’année la plus chaude observée depuis la fin du XIXe siècle. Dans son bulletin mensuel, rendu public lundi 20 octobre, le National Climatic Data Center (NCDC) américain place septembre 2014 au premier rang des mois de septembre les plus chauds depuis le début des relevés en 1880. En considérant ses neuf premiers mois, l’année 2014 est jusqu’à présent la plus chaude jamais enregistrée, au coude-à-coude avec 2010. L’analyse du NCDC conforte celle, publiée cinq jours plus tôt, du Goddard Institute for Space Studies (GISS), le laboratoire de la NASA engagé dans la surveillance et la modélisation du climat terrestre."
"EDF n’est pas avare de louanges sur ses efforts pour lutter contre le réchauffement climatique. Problème : ses discours collent mal avec la réalité. Car si l’entreprise réduit ses émissions de CO2 en France, elle les augmente en Europe de l’Est où elle investit largement dans des centrales à charbon, très polluantes, en Pologne ou dans l’ex-Yougoslavie. Une stratégie qui pose également la question du rôle de l’Etat français, son actionnaire à 84%, alors qu’une loi sur la transition énergétique vient d’être votée. Une transition énergétique qui ne semble pas s’appliquer à l’entreprise publique en dehors des frontières de l’Hexagone."
"Le réchauffement climatique est en marche : de très nombreux signes tangibles et indéniables en témoignent, et notamment la fonte des glaciers. C'est ce que montre une vidéo impressionnante du vêlage du glacier groenlandais Sermeq Kujalleq."
"L'élévation globale du niveau de la mer, à présent certaine, pourrait avoir des conséquences désastreuses pour nos villes côtières et en particulier pour les petites îles qui sont juste au dessus ou au niveau de la mer. Les incertitudes sont toujours aussi importantes et il est extrêmement difficile de quantifier cette élévation. Une enquête récente révèle une hausse certaine de 40 à 60 cm d'ici à 2100 et 60 cm à 1 mètre en 2300 si nous parvenons à réduire nos émissions. Cependant, si celles-ci ne sont pas atténuées, les 90 scientifiques qui ont participé à l'enquête prévoient une élévation moyenne du niveau de la mer de 70 à 120 cm d'ici à 2100 et de 2 m à 3 m d'ici l'an 2300."
" Pour la sixième année consécutive, l'étude de PwC "Low Carbon Economy Index, 2 degrees of separation – ambition & reality" montre le fossé entre l'action des états pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et les mesures qui seraient nécessaires.
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L'étude révèle le décalage entre les négociations climatiques mondiales, visant à limiter à 2°C le réchauffement de la planète, et la trajectoire actuelle qui fait craindre un réchauffement catastrophique de 3 ou 4° C. "
"Le lait, c’est le champion des produits agro-alimentaires français. En bouteilles, en crèmes ou en fromages, il auréole les terroirs. En plus il rapporte et s’exporte. En consommer est vivement conseillé en matière de santé. Cette blanche réalité comporte pourtant des coûts cachés, ignorés des marchés, liés à un modèle de plus en plus intensif. Pollutions de l’eau, réchauffement climatique, précarité de l’emploi… L’économie du lait coûte cher à la société et à l’environnement. Une étude inédite tente d’en calculer les impacts et de lancer le débat. Car, en bio ou en AOC, produire du lait bien moins cher est tout à fait possible. Enquête et animation vidéo à l’appui."