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Il y a encore dix ans, le moteur thermique semblait une citadelle imprenable. Non pas faute d’initiatives de constructeurs en place, à l’instar de GM dans les véhicules 100 % électriques, Toyota dans les hybrides ou Daimler dans l’hydrogène. Ou encore d’initiatives de nouveaux entrants, comme Tesla, bien sûr, et son modèle de voiture de sport. Mais elles semblaient alors impuissantes à enclencher l’adoption massive de véhicules électriques. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Gaz à effet de serre, rénovation des bâtiments, renouvelables… Le Conseil économique, social et environnemental appelle à accélérer dans tous les domaines.
Alors que la se Californie brûle sous l'effet d'une grande sécheresse et que le président américain cherche par tous les moyens à détricoter les avancées pro-environnement de l'administration Obama, des études récentes montrent que l'élection de Trump n'a pas altéré l'attrait des énergies renouvelables pour les entreprises américaines. Bien au contraire !
Selon un nouveau rapport établi par un consortium international de scientifiques, les émissions de gaz carbonique devraient atteindre un niveau record en 2017, compromettant les chances d'atteindre l'objectif de maintenir le réchauffement global en dessous de la limite de 2 °C.
Le ministre de la transition écologique et solidaire demande à EDF un « plan précis » pour développer le solaire et l’éolien en France.
Le cri d’alerte des 15.000 scientifiques internationaux a été publié dans la revue BioScience le 13 novembre. Son objectif : sensibiliser l’opinion publique et les gouvernements du monde entier sur l’avancée dramatique de la destruction de la nature par l’Homme.
Alors que la COP23 bat son plein, mais que les mauvaises nouvelles pour le climat de la planète continuent d’arriver jour après jour, on est en droit de se demander : les négociations internationales servent-elles à quelque chose ?
Depuis que Nicolas Hulot a pris le risque d'entrer au gouvernement, certains recensent avec délectation le nombre de couleuvres avalées par l'impétrant au fil des semaines. Il est vrai que l'autorisation d'un nouveau pesticide tueur d'abeilles, la valse-hésitation sur le glyphosate, la capitulation sur le traité de libre-échange avec le Canada (le Ceta), sans parler du dossier Notre-Dame-des-Landes, ça fait beaucoup pour un seul ministre.
À la sortie du conseil des ministres, le 7 novembre, Nicolas Hulot a annoncé qu’il serait « difficile de tenir le calendrier » prévu par la loi de réduire la part du nucléaire à 50 % d’ici 2025. Pour justifier ce recul, il s’est appuyé sur un scénario de RTE - dont le détail n’est pas public - et pointe un risque d’augmentation des émissions de CO2. L’argument n’est pas valable, jugent des experts et des associations.
La perspective de voir fermer des réacteurs nucléaires s’éloigne à nouveau. Mardi 7 novembre, à (...)
La part des renouvelables dans la consommation finale d’énergie n’était que de 16 % fin 2016. Ce chiffre place le pays dans la queue du peleton européen.
Hulot a abandonné mardi cet objectif fixé par Hollande puis Macron, qui n’ont jamais assumé les fermetures de réacteurs nécessaires pour l’atteindre.
La loi de 2015 sur la transition énergétique prévoit de ramener de 75 % à 50 % d’ici à 2025 la part de l’atome dans la production d’électricité française. Un objectif « difficile » pour le ministre de la transition écologique.
Le sociologue Alain Gras explique, dans une tribune au « Monde », que nous faire avaler la fable que l’électricité est inoffensive écologiquement, c’est nous laisser croire au Père Noël.
Depuis l’ouverture du marché à la concurrence en 2007, de nouveaux fournisseurs d’énergie apparaissent. Chacun peut soutenir le marché des renouvelables en se tournant vers un fournisseur alternatif.
Selon les chercheurs, les éoliennes installées au milieu de l'océan seraient bien plus efficaces que celles placées sur la terre ferme. Mais à quel point ?
« Make our planet great again », lançait Emmanuel Macron en juin dernier face à l'annonce de Donald Trump de désengager les États-Unis de la lutte (...)
Le projet de loi, dont les députés ont achevé mercredi 4 octobre l’examen, prévoit des exceptions à l’arrêt en 2040 de la production française de pétrole et de gaz. Une « sécurisation » pour le ministre, une « renonciation » pour les ONG.
C’est la première loi « climat » du quinquennat Macron : l’Assemblée nationale a terminé mercredi l’examen du texte mettant fin à la recherche et à l’exploitation des hydrocarbures. Mais les pétroliers et le vieux monde institutionnel se battront jusqu’au bout contre les restrictions.
Le 4 octobre 2017 - L'Assemblée nationale vient d'examiner en première lecture le projet de loi Hulot “mettant fin à l'exploration et l'exploitation (...)
Selon les prévisions de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les énergies renouvelables connaîtront une progression sans précédent d'ici 2022.