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Je ne vais pas trop spoiler sur l’outil, car je vous invite à faire un tour sur la démo et la doc officielle, mais en gros, vous pouvez héberger cette application très simplement (à coup de docker), et elle vous offrira une interface très proche de Google photos.
À l’approche de l’examen du projet de loi relatif aux Œuvres culturelles à l'ère numérique, le groupe socialiste, écologiste et républicain a déposé un amendement pour réactiver une disposition de la loi Création de 2016, à savoir une « taxe » sur les services de référencement d’images, prélevée par les sociétés de gestion collective. Il vient d’être adopté en commission.
Au ministère de la Culture, un nouveau texte est concocté pour introduire une redevance sur les moteurs de recherches d’images. Une rémunération que percevront les sociétés de gestion collective du secteur. La fin d’une série, riche de nombreux épisodes.
Une personne qui conteste la diffusion de son image sur un site web peut s'adresser soit au responsable de site en application du droit à l'effacement prévu par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), soit au juge en s'appuyant sur les principes du droit à l'image (obligation de recueil du consentement).
La redevance sur les moteurs de recherche (dite « Taxe Google ») fut l’un des piliers de la loi Création du 7 juillet 2016. Seul hic, les textes d’application n’ont jamais vu le jour, le gouvernement ayant préféré le mettre au placard, après une douche froide au Conseil d’État.
Sijmen Ruwhof, un spécialiste néerlandais de cybersécurité, a mené l’enquête sur un site web russe qui, de prime abord, semble n’être qu’une banque d’images classique. Pourtant, Ruwhof a découvert qu’on pouvait y trouver des millions de photos d’enfants récupérées depuis Facebook ou Instagram, ainsi que d’autres images relevant de la pornographie pédophile. Entretien.
"Faute d'avoir opté pour leur diffusion sous licence libre, comme le fait la Maison Blanche, les photos officielles de Valérie Trierweiler supprimées par les équipes web de l'Elysée ne peuvent plus être reproduites qu'en toute illégalité."
"Instagram a d’ores et déjà programmé un dépoussiérage de ses conditions générales d’utilisation et de son Term of Use (ToU). Ces dispositions juridiques fixent les règles du jeu et s’imposent aux utilisateurs en bloc par contrat d’adhésion. Le dernier cru de ces règles entrera en vigueur début 2013. Instagram passera alors à la vitesse supérieure en terme de monétisation."
"Le réseau social des photos, Instagram, récemment racheté par Facebook, a modifié ses conditions générales d’utilisation (CGU) : il se réserve désormais le droit de céder le droit de reproduire des photos, par exemple pour des publicités, sans payer ceux qui les ont postées et sans même les en informer.
CNET, donne l’exemple d’un hôtel à Hawaï qui ferait un chèque à Facebook-Instagram pour pouvoir reproduire dans ses brochures les photos de vacances d’une famille cliente, représentant non seulement des couchers de soleil sur Waikiki mais aussi les gosses jouant sur la plage."
Et bien non, vos photos ne vous appartiennent plus !!