417 liens privés
Et si les véhicules hybrides rechargeables n'étaient pas aussi verts qu'on le pense? C'est ce que montre une étude publiée mardi et réalisée par Impact Living sur mandat du canton du Valais. Ce dernier réagit en supprimant les subventions pour ce type de propulsion.
Les ventes de véhicules hybrides rechargeables grimpent en flèche en Europe, mais des tests effectués sur les plus récents modèles confirment qu’ils polluent bien plus que ne l’affirment les constructeurs automobiles – même avec un démarrage à batterie pleine. Lors de tests en conditions réelles, les émissions de CO2 de trois des modèles les plus populaires en 2020 ont dépassé ce qui avait été annoncé, à l’instar des recherches sur d’anciens VEHR [1]. Transport et environnement (T&E), qui a commandé ces tests, estime que les gouvernements doivent mettre fin aux subventions à l’achat et aux généreuses exonérations d’impôts destinées aux hybrides rechargeables, qui alimentent un nouveau scandale lié aux émissions.
Écolo, le « sport utility vehicle » de demain ? Bien sûr, puisque sa taille permet d’embarquer de grosses batteries. Eh bien non, pas sûr du tout.
"Plusieurs technologies de modification génétique (regroupées sous le nom de GURT - Genetic Use Restriction Technology) et plus connues sous le nom de Terminator) ont été mises au point pour rendre des plantes génétiquement modifiées (PGM) stériles. A l’état sauvage, les plantes et les animaux peuvent se reproduire. La reproduction est même un des critères pour définir un être vivant. L’agriculture est née en utilisant cette fonction première du vivant et les hommes ont commencé à croiser des plantes de la même famille pour obtenir de nouvelles variétés (ou des animaux pour de nouvelles espèces). Cependant, toutes les plantes ou tous les animaux ne peuvent toutefois pas se croiser entre eux. Il existe des barrières biologiques. A la marge, certains croisements réalisés par les hommes ont abouti à des animaux stériles, comme le mulet. Grâce à la sélection paysanne, la biodiversité naturelle a été utilisée pour créer la biodiversité agricole. Les myriades de courges, tomates, etc. n’auraient pas pu contenter nos yeux et nos papilles si l’industrie semencière, qui n’existait pas encore, s’en était mêlée trop tôt. En effet, au XIXe siècle, les entreprises semencières ont réellement émergé. Et avec elles, les techniques de sélection et les droits sur les semences ont considérablement évolué. Elles ont commencé à organiser la stérilisation biologique et juridique des semences. Buts annoncés : produire des semences à haut rendement et garantir un juste retour sur investissement pour les semenciers. Ainsi, on a vu apparaître les premières semences « hybrides F1 » et les premiers droits de propriété industrielle sur les semences. Nous évoquerons aussi la technologie Terminator qui vise à proprement parler à rendre les plantes génétiquement modifiées (PGM) stériles."
"Les hybrides F1 ont l'inconvénient essentiel de ne pas pouvoir être ressemés d'une année sur l'autre. Les variétés classiques, elles, sont stables : on peut récupérer les graines pour les semis de l'année suivante. Pourquoi ? Quelques explications pour y voir plus clair..."
"Si toutes les semences servent a priori pour reproduire une plante, elles sont bien loin d’avoir toutes le même procédé d’obtention, et le même statut juridique.
Tour d’horizon."
"Le feuilleton scientifique et juridique du saumon transgénique (GM) « AquAdvantage » n’en finit pas. Une nouvelle étude confirme que ce saumon génétiquement modifié, s’il venait à quitter ses bassins d’élevage, pourrait devenir un danger pour les populations de saumons sauvages."