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Le seuil de déclenchement du malus CO2 a été revu à la hausse, ce qui impactera moins de véhicules neufs. La surtaxe maximale, qui devait atteindre 40.000 euros l'an prochain, est ramenée à 30.000 euros.
Officiellement, le gouvernement était opposé à la cession de Suez à Veolia, votée lundi au conseil d’Engie. Mais en coulisses, le pouvoir a tout fait pour organiser son impuissance, comme si on lui forçait la main, allant jusqu’à demander aux administrateurs de la CFDT de ne pas voter.
Des dizaines d’aéroports français sont très peu utilisés et ne survivent que sous perfusions de subventions publiques. L’aide publique à certaines lignes aériennes peut ainsi atteindre 1700 euros par passager ! Autant d’argent en moins pour soutenir le développement d’alternatives comme le train, alors que 15 milliards seront consacrés par le gouvernement pour soutenir le secteur et ses aéroports fantômes.
La loi dite de « simplification » de l’action publique est discutée par les députés cette semaine. Ce texte poursuit à marche forcée le démantèlement du droit de l’environnement, dénoncent ses détracteurs. Il facilite par exemple l’implantation de sites industriels au moment même où Lubrizol a démontré la nécessité d’une meilleure surveillance.
Le Réseau Action Climat regrette qu’après la douche froide du Plan de relance vert pâle qui a mis fin à l’élan vers le "monde d’après" et qui signe la reprise de la politique écologique des petits pas, le PLF n’apporte aucune avancée significative sur les chantiers prioritaires de la transition écologique et solidaire.
Les grandes puissances doivent impérativement s'unir face au changement climatique, ou "nous sommes perdus", alerte le patron de l'ONU Antonio Guterres.
Le secrétaire général de l'ONU, un dangereux gauchiste !!
La loi sur l’état d’urgence sanitaire a permis la suspension de différentes dispositions juridiques jusqu’à la fin de la pandémie. Mais, comme l’explique l’autrice de cette tribune, les dispositions économiques sont, elles, pérennisées. Ce qui permet aux préfets de déroger au droit de l’environnement. De façon illégale et en dépit des affichages écolos de l’exécutif.
Le gouvernement a accordé aux betteraviers la possibilité de déroger à l’interdiction des néonicotinoïdes, ces insecticides qui contribuent à la disparition des pollinisateurs. D’après le projet de loi qui sera présenté ce 1er septembre au Conseil national de la transition écologique, la dérogation pourra être demandée pour tout néonicotinoïde... Pourquoi un tel recul alors que 80 % des populations d’insectes ont déjà disparu en Europe ?
Le gouvernement prévoit d'obtenir «une modification législative cet automne» afin de protéger leurs cultures des pucerons verts, vecteurs du virus de la jaunisse.
Le ministère de l’agriculture et de l’alimentation a annoncé le retour des néonicotinoïdes sur la betterave, pour lutter contre une maladie transmise par un puceron.
Le 22 juin 2020, la Convention Citoyenne pour le Climat a publié 149 mesures visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) de la France et lutter contre le dérèglement climatique. Selon l’engagement du Président de la République, ces mesures doivent être transmises sans filtre soit à application directe, soit en texte de Loi au Parlement, soit soumises au référendum, selon la voie plébiscitée par la Convention.
L’Assemblée nationale a adopté le troisième budget rectificatif, le 9 juillet. Près de 15 milliards d’euros vont être déversés sur l’aviation, 8 sur l’automobile. Mais sans aucunes contreparties, toutes rejetées par la majorité.
Alors que le climat continue de s’emballer, la France n’est toujours pas à la hauteur des enjeux et des objectifs qu’elle s’est fixée. L’inaction de l’exécutif est épinglée dans un rapport publié, ce mercredi 8 juillet, par le Haut Conseil pour le climat, dans un contexte de remaniement ministériel censé « accélérer sur les priorités environnementales » selon l’Élysée.
Dans son rapport publié mercredi 8 juillet, le HCC regrette que les plans de soutien du gouvernement aux secteurs automobile et aérien soient "sans conditionnalité ferme concernant leur évolution vers une trajectoire compatible avec les objectifs nationaux".
Après une première décision en juillet 2017, le Conseil d’État constate que le Gouvernement n’a toujours pas pris les mesures demandées pour réduire la pollution de l’air dans 8 zones en France. Pour l’y contraindre, le Conseil d’État prononce une astreinte de 10 millions d’euros par semestre de retard, soit le montant le plus élevé qui ait jamais été imposé pour contraindre l’Etat à exécuter une décision prise par le juge administratif.
Les personnels de l’enseignement agricole public sont en grève ce 30 juin. Les heures d’accompagnement des élèves en difficulté seront payées moitié moins.
L'évaluation des premiers programmes de contrôle des émissions atmosphériques mis en place par les États membres montre qu'il convient d'améliorer la mise en œuvre des nouvelles règles européennes en matière de qualité de l'air. Les États membres doivent redoubler d'efforts dans tous les secteurs pour faire en sorte que leurs citoyens puissent respirer de l'air pur et prévenir ainsi les maladies respiratoires et les décès prématurés causés par l'inhalation d'air pollué.
D’immenses réserves de gaz ont été découvertes au nord du Mozambique. Malgré les engagements d’Emmanuel Macron, l’État français continue de soutenir financièrement des projets d’exploitation gazière portés par les multinationales françaises, au détriment du climat.
Le gouvernement français a pris la décision d'héberger les informations de santé de millions de Français sur les serveurs de l'américain Microsoft, au détriment d'OVH, une société française.
Le Traité sur la Charte de l’énergie est peu connu mais sape le combat contre le changement climatique.