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Trois ans après, la promesse d’Emmanuel Macron de ne plus utiliser l’herbicide controversé n’a pas été tenue.
En tirant au sort 150 Français devenus des vigies exigeantes, le président de la République a créé les conditions de son échec médiatique et politique.
Pesticides, déclaration sur les « amish » et propositions de la convention citoyenne embourbées, plus de deux ans après la démission de Nicolas Hulot, le président de la République ne parvient pas à convaincre.
Tandis que la France connaît à nouveau d’inquiétants records de température (entre autres désordres écologiques), les moyens de l’État ne devraient-ils pas se concentrer sur les enjeux climatiques ? Tel est en tout cas le point de vue de Jean-Marc Jancovici qui, sur le réseau social Linkedin, a répondu de façon ferme et originale à un post d’Emmanuel Macron.
La demande d’un moratoire faisait partie des 149 mesures proposées que le chef de l’Etat s’était engagé à reprendre.
L’application des propositions de la Convention citoyenne pour le climat crée déjà des remous, entre « consultations » contestées pour les traduire dans la loi et déclarations d’Emmanuel Macron renvoyant à la « lampe à huile » les inquiétudes sur la 5G.
Emmanuel Macron a défendu le déploiement des réseaux 5G sur le territoire français lors d'un discours devant les acteurs de la French Tech.
La nouvelle “petite phrase” du président fait grincer des dents. Emmanuel Macron a confirmé ce lundi 14 septembre le déploiement futur de la 5G en France, réduisant au passage ses détracteurs à des tenants du “modèle Amish” et d’un “retour à la lampe à huile.”
Le président s’exprimait devant un rassemblement de responsables d’entreprises françaises de technologie à l’Elysée, alors qu’une partie de la gauche souhaite un moratoire contre la 5G.
La saison de la chasse s’ouvre en France sous la bénédiction d’Emmanuel Macron, explique le président de Ligue pour la protection des oiseaux dans cet entretien, alors que les populations d’oiseaux déclinent à grande vitesse.
Aujourd’hui, notre gribouilleur Gee nous cause de la « Plateforme » (aussi nommée Health Data Hub), une nouvelle porte ouverte aux GAFAM sur nos données de santé…
La loi sur l’état d’urgence sanitaire a permis la suspension de différentes dispositions juridiques jusqu’à la fin de la pandémie. Mais, comme l’explique l’autrice de cette tribune, les dispositions économiques sont, elles, pérennisées. Ce qui permet aux préfets de déroger au droit de l’environnement. De façon illégale et en dépit des affichages écolos de l’exécutif.
""J'ai eu une discussion avec lui parce que c'est un responsable politique qui est intelligent, engagé, qui a été aussi blessé par ces attaques. Donc, il y a aussi une relation de confiance d'homme à homme, si je puis dire"" raconte Macron, interrogé par Léa Salamé et Gilles Bouleau, sur la nomination de Gérald Darmanin au ministère de l'Intérieur, malgré les accusations de viol qui pèsent sur lui (extrait d'ailleurs savamment évacué par le compte Twitter de l'Elysée, dans sa sélection d'extraits).
Contrairement à ce qu’il a toujours affirmé, Alexis Kohler a pu, dans toutes les fonctions qu’il a exercées au ministère des finances de 2008 à 2016, garder l’œil et même intervenir sur les dossiers intéressant l’entreprise MSC, à laquelle il est lié familialement.
En moins d’un mois, et après la lettre d’Emmanuel Macron, les enquêteurs de la brigade de la répression de la délinquance économique ont radicalement changé d’analyse sur le cas Kohler. Un grand exercice de réécriture pour effacer les éléments compromettant le numéro deux de l’Élysée.
Passant outre la séparation des pouvoirs, Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite.
À la demande d’Emmanuel Macron, la Caisse des dépôts travaille à un plan pour l’hôpital public. Mediapart en révèle le contenu. Au lieu de défendre l’intérêt général, il vise à accélérer la marchandisation de la santé et sa privatisation rampante.
En 2010, le journal Le Monde est au bord de la faillite et Emmanuel Macron propose son aide « bénévole » aux journalistes. Mais le banquier d’affaires roulait en fait pour un des groupes qui voulait racheter le journal…
Après le tournant amorcé dans ses déclarations sur les violences, moins conciliantes que par le passé, l’exécutif passe en revue les décisions possibles sans mécontenter davantage les syndicats de police... Une gageure