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"Le choix du site d’enfouissement des déchets radioactifs ultimes est contesté car il renferme d’importantes réserves géothermiques, selon des experts. Ces derniers reprochent à l’État d’avoir tronqué ses recherches. La querelle est désormais portée devant la justice."
" Un groupe de travail composé de personnes aux convictions diverses, chrétienness ou non, s'est penché sur les aspects éthiques du projet d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure, dans la Meuse.
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En annexe de son rapport, le groupe de travail autour de Marc Stenger, évêque de Troyes, mentionne de très nombreux liens vers les sources de sa réfléxion, tant dans ses aspects techniques, scientifiques, qu'éthiques. Ce qui en fait un document de référence sur le sujet. "
" Ne ratez pas le documentaire "Déchets radioactifs, cent mille ans sous nos pieds" qui sera diffusé le 16 décembre à 22h30 sur Public Sénat, la chaîne de l'information politique sur la TNT, le câble, et Internet. Le documentaire réalisé par Dominique Hennequin et produit par Nomades TV réussit à présenter de façon remarquable la problématique du centre d'enfouissement des déchets nucléaires, appelé Cigéo, à Bure, aux confins de la Haute-Marne et de la Meuse. "
"Une série de petits séismes près de Snyder, au Texas, entre 2006 et 2011 ont été liés à des injections dans le sous-sol de champs pétrolifères d'importants volumes de dioxyde de carbone (CO2), selon une recherche publiée lundi 4 novembre dans les comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, PNAS). C'est la première fois qu'un lien est établi entre de telles injections et des tremblements de terre d'une magnitude supérieure à trois sur l'échelle de Richter, soulignent les chercheurs."
"Séquestrer de gros volumes de dioxyde de carbone (CO2) dans des formations géologiques profondes est l’une des options envisagées pour limiter la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et, ainsi, éviter la surchauffe de la planète. Mais cette solution n’est pas sans risques. Témoin, l’étude publiée, lundi 4 novembre, dans les Comptes rendus de l’Académie des sciences américaine (PNAS). Elle établit un possible lien de cause à effet entre l’injection de gaz dans un champ pétrolifère texan et le déclenchement de secousses sismiques de relativement forte magnitude."
"Dans son étude "The window for thermal coal investment is closing" (1) consacrée au marché du charbon et publiée le 24 juillet 2013, Goldman Sachs explique que la rentabilité des investissements dans le charbon ne sera bientôt plus assurée. Trois raisons : les réglementations sur les émissions de CO2, une forte compétition avec le gaz et les énergies renouvelables, et les améliorations en matière d'efficacité énergétique (à la fois côté production et côté consommation). Mais surtout, la banque d'investissement laisse peu d'espoir à ceux qui croiraient encore à la baguette magique de la capture et du stockage du carbone (CSC) pour draper de vert la production d'électricité au charbon, l'une des industries les plus polluantes du monde. "
"Directrice générale de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), Marie-Claude Dupuis assure que le projet de centre industriel de stockage géologique (Cigéo) en Meuse et Haute-Marne "n'est pas finalisé"."
"Des milliers de tonnes de déchets radioactifs vont être enterrées dans une cavité, qui devra rester inviolée pendant 100 000 ans. Un défi insensé et risqué.
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En d’autres mots, une aberration qui a pourtant du sens, une mécanique qui sied parfaitement à notre espèce. « Agissons d’abord, on réfléchira plus tard », n’est jamais qu’une maxime qui nous ressemble bien."
"Comment sortir de l'impasse ? Comment mener, vaille que vaille, une consultation que les principales associations locales et environnementales ont décidé de boycotter ? Les organisateurs du débat public sur le projet de Centre industriel de stockage géologique des déchets radioactifs (Cigeo) peinent à trouver une réponse."
"Samsung s'intéresse de près à l'identification par les empreintes digitales. Des fichiers relatifs à cette méthode de déverrouillage ont été repérés dans le prochain firmware destiné au Galaxy S3. Cependant, une telle technologie devrait arriver avec les prochains terminaux de la firme afin que ces derniers embarquent le matériel nécessaire à l'authentification."
A rapprocher de l'article de reflets, sur le même thème mais concernant Apple :
http://reflets.info/apple-et-les-donnees-biometriques-acte-2-apres-la-voix-vos-empreintes-digitales/
"Nous vous avions fait par de nos plus grandes réserves sur SIRI et le stockage de vos données biométriques (votre voix) sur les serveurs d’Apple. Deux ans plus tard, nos craintes étaient confirmées. Alors que l’iPhone 5S est en approche, une rumeur semble t-il confirmée par Paypal (nous allons y revenir), voudrait qu’Apple serait sur le point d’introduire sur son nouveau smartphone un lecteur d’empreintes digitales. Ca, c’est ce que vous verrez, vous trouverez ça super, parce que c’est Apple, parce que c’est pratique. Mais vous êtes vous interrogés sur ce qui va se cacher derrière ?"
"Arte diffuse ce mardi soir le documentaire « Centrales nucléaires, démantèlement impossible ? » (dans lequel je suis interrogée), alors que le débat public sur le stockage des déchets sur le site de Bure dans la Meuse démarre. Un débat vain puisque tout est déjà décidé."
"L'argument central d'une nouvelle étude de deux chercheurs américains, Willett Kempton (université du Delaware) et Cory Budischak (Delaware Technical Community College), publiée en novembre 2012 dans le Journal of Power Sources, est que la combinaison d'énergies renouvelables et du stockage de l'hydrogène pourrait sans problème alimenter, à l'horizon 2030, un réseau électrique important à un coût comparable au coût actuel."
L'Allemagne est en train de prendre ce virage énergétique avec brio et construit son économie de demain. En France, on reste sur le Nucléaire. Voila une erreur historique !!
"L'Autorité de sûreté nucléaire a relevé des défauts dans la surveillance de ce silo rempli d'eau et de déchets nucléaires. Areva est mis en demeure de démontrer l'efficacité des moyens de détection d'une éventuelle fuite."
"Transition énergétique oblige, les procédés de capture et de stockage du carbone (CSC) reviennent dans le débat publique. Le principe est en théorie assez simple. Les technologies de CSC consistent à séparer puis à capter le CO2 lors d'un processus industriel, avant, pendant, ou après la combustion de l'énergie fossile, puis à compresser ce CO2 et à l'enfouir sous terre. Les lieux de stockage sont des puits de pétrole ou de gaz vides, ou d'autres réservoirs géologiques naturels supposés étanches (les aquifères salins profonds, les veines de charbon non-exploitables), vers lesquels le CO2 est acheminé via des gazoducs. Reste que la mathématique de la CSC est terrifiante."
"En sept minutes de descente vertigineuse, l'étroite cabine plonge à 490 m sous terre, dans le sous-sol du village de Bure, aux confins de la Meuse et de la Haute-Marne. C'est là, au milieu d'une couche d'argilite de 120 m d'épaisseur, que l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) a creusé un laboratoire d'étude sur l'enfouissement des déchets les plus dangereux de l'industrie nucléaire française."
"L'annonce a fait le tour des médias et de fait, elle est des plus fascinantes : la Belgique envisage de construire une île artificielle en forme d'anneau qui lui permettrait de "stocker" l'énergie produite par ses champs d'éoliennes de Mer du Nord.
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Reste la question du bilan carbone de tels projets, la pollution occasionnée par la construction et la mise en fonctionnement des îles pouvant surpasser, du moins à court terme, l'intérêt environnemental de produire une énergie renouvelable. "L'île et le puits seront construits intégralement en sable, précise Marijn Rabaut. L’atoll aura également une fonction environnementale : il pourra être utilisé pour accueillir des zones de reproduction d’oiseaux de mer (sternes, goélands bruns…)." Pas sûr, toutefois, que cela suffisse à compenser l'empreinte écologique de l'île."
"D'ici 2030, les énergies renouvelables associées avec des technologies de stockage de l'électricité, pourraient alimenter un grand réseau électrique 99,9 % du temps avec des coûts comparables à ceux d'aujourd'hui. C'est la conclusion d'une étude de chercheurs de l'Université américaine du Delaware. Rien de neuf, pensez-vous, nos voisins Allemands se sont déjà engagés dans cette voie avec à la clé le développement de nouvelles technologies prometteuses, une industrie des renouvelables en plein essor et un pays totalement autonome en énergie d'ici 2050. Pourtant cette étude recèle quelques particularités."
Et pendant ce temps là, nous faisons du nucléaire... et laissons passer les sources d'emplois de demain...
"Aujourd'hui, les systèmes de CSC en expérimentation dans l'Union ne sont en effet pas encore parvenus à maîtriser les risques liés au stockage du CO2, gaz corrosif et toxique. Le 20 novembre, une étude de l'Institut national de l'environnement industriel et des risques mettait notamment en évidence la possible "remobilisation de métaux lourds en sous-sol" (arsenic, plomb, zinc, cuivre, uranium...), qui "pourrait présenter un risque pour la santé et l'environnement". Des verrous qui rendent malaisée la mise en service des projets en 2015, comme le demande la Commission."
Ce sera dommage de ne pas jouer encore un peu les apprentis sorciers... Même si les raisons sont avant tout financières...
"Une usine pilote de conversion de l'électricité en gaz a été réalisée par la jeune société allemande SolarFuel avec le concours d'instituts de recherches appliquées. Objectif : stocker l'électricité éolienne et solaire.
D'une puissance de 250 kW l'usine pilote de conversion de l'électricité éolienne ou solaire photovoltaïque en gaz a été inaugurée à Stuttgart le 30 octobre 2012. Elle a été réalisée par la start-up SolarFuel avec le soutien du Centre de recherche sur l’énergie solaire et l’hydrogène (ZWS) de Stuttgart et du Fraunhofer Institute, le plus grand institut de recherche apliquée en Europe. "