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Sidewalk Labs est l'organisation d'innovation urbaine d'Alphabet Inc (Google). Son objectif est d'améliorer les infrastructures urbaines grâce à des solutions technologiques et de résoudre des problèmes tels que le coût de la vie, l'efficacité des transports et la consommation d'énergie. Un document confidentiel de Sidewalk Labs datant de 2016 expose la vision de la filiale de Google, qui consiste notamment à avoir le pouvoir de percevoir ses propres taxes foncières, de suivre et de prédire les mouvements de personnes et de contrôler certains services publics.
Enfant, je bricolais énormément dans le garage, dans le jardin, dans l’établi de mon père. Un peu plus tard, j’ai bricolé dans les différents ateliers de mon école de design, puis adulte, je bricole toujours autant, avec le numérique mais aussi le bois, le tissu, le métal. Le bricolage est chez moi, non pas une façon de me tenir occupé, mais une façon de bâtir mon environnement proche, de façon simple. Mais aussi de le maîtriser, de le comprendre. J’aime réellement modeler mon quotidien… et aujourd’hui ma résilience.
La firme californienne prévoit de proposer à partir de l’année prochaine des comptes chèques aux particuliers en partenariat avec la banque Citigroup. Le service sera adossé à Google Pay.
Donc parce qu'on aurait fait quelques recherches sur le cancer du sein ou de la prostate, on se verra refuser un prêt...
Crise de la consommation, réflexes citoyens exacerbés, nouveaux modes d’achat en vrac... Les signes d’une baisse de l’engouement pour les marques et le monde marchand sont tangibles. Jusqu'à leur disparition ? Après une première tribune autour des marques et des politiques publiques, Mélanie Rauscher et Julien Féré, co-auteurs de l’ouvrage Les dessous du marketing et de la communication, cartographie des imaginaires (Ellipses, août 2018), s'interrogent sur cette question sous la forme d'un dialogue.
Lors de la canicule du mois de juillet, les températures auraient été "environ 1,5°C à 3°C moins élevées" sans le changement climatique, selon les calculs de scientifiques du réseau World Weather Attribution.
En partenariat avec la ville, la société Éco-compteur va tester son nouveau produit dans les rues de Lannion : des capteurs de smartphone pour tracer les trajets des piétons. Les données récoltées seront mobilisées par la municipalité pour penser la ville de demain.
Nombre de jeunes militants pensent que l’effondrement adviendra de leur vivant. De cette peur à la fois concrète et métaphysique, ils tirent de quoi se mobiliser. Le chercheur en science politique Luc Semal l’a observé en étudiant deux mouvements écologistes.
Dans son nouveau livre, Le Bonheur était pour demain, Rêveries d'un ingénieur solidaire, (Seuil, avril 2019), Philippe Bihouix met en pièces une série d’utopies technologiques et écocitoyennes persuadées de pouvoir « réparer » ou « sauver la planète ». Et explore des pistes pour une véritable transition écologique, dans un monde et une société apaisés.
Un million d'espèces menacées d'extinction, des trajectoires économiques et politiques qui ne permettront ni d'atteindre les objectifs fixés pour 2020, ni les prochaines échéances... Voici quelques-unes des conclusions très inquiétantes du rapport sur la biodiversité publié par l'IPBES lundi 6 mai.
Dans un rapport, les scientifiques de l’IPBES dressent un bilan dramatique de la dégradation de la nature en raison des activités humaines. Un million d’espèces sont menacées d’extinction. Certains bouleversements sont irréversibles.
« La nature décline globalement à un rythme sans précédent dans l'histoire humaine - et le taux d’extinction des espèces s’accélère, provoquant dès à présent des effets graves sur les populations humaines du monde entier », alerte le nouveau et historique rapport de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), dont le résumé a été approuvé lors de la 7ème session plénière de l'IPBES, qui s’est réunie la semaine dernière (du 29 Avril au 4 mai) à Paris.
Outre la menace d'une extinction massive, ce document présenté comme "le plus exhaustif réalisé à ce jour" insiste aussi sur les solutions pour inverser la tendance.
L'ouvrage de l'analyste et mathématicienne Cathy O'Neil, publié en 2016 en langue anglaise, vient d'être traduit en français. "Algorithmes, la bombe à retardement" explique en détail l'application concrète des algorithmes d'apprentissage automatique (logiciels "d'intelligence artificielle") dans la société américaine, avec toutes les conséquences qu'ils engendrent. Bienvenue dans l'enfer des machines évaluant les êtres humains.
Avec son été caniculaire, ses tempêtes et ses inondations, 2018 s’est évertuée à prouver le réchauffement climatique. Une victoire amère pour les climatologues, déprimés d’avoir raison. Mais décidés à redoubler de pédagogie pour que chacun passe à l’action.
Les très riches s’inquiètent de voir grossir les rangs des foules en colère. Notre chroniqueuse leur donne ce conseil en guise de solution : répartir les richesses.
La croissance « verte » nous fait miroiter des solutions purement technologiques. Il suffirait de généraliser les véhicules électriques, les éoliennes et les panneaux solaires, les bâtiments aux normes environnementales et les produits certifiés écologiques pour surmonter la crise planétaire.
Pour le professeur de philosophie Thomas Schauder, l’absence de limite à notre liberté vient aujourd’hui se heurter à la limite des ressources.
Pour les scientifiques travaillant sur les risques systémiques, la pression des activités humaines sur tous les écosystèmes est désormais telle qu’un effondrement global menace nos sociétés. Une alerte que les économistes partisans de la croissance ignorent et que les défenseurs du progrès rejettent, au nom de l’inventivité humaine.
Amazon has patented technology that could let Alexa analyze your voice to determine whether you are sick or depressed and sell you products based on your physical or emotional condition.
Viva Technology est un salon formidable. Passée l’euphorie de l’évènement, je prends du recul sur le nom du salon. Il m’inspire une réflexion sur la nécessité de revoir notre rapport à la technologie au regard des enjeux d’un futur proche. Il ne s’agit pas moins que de mettre fin aux forces aliénantes et destructrices que notre civilisation a mis en route.