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A la veille de l'Assemblée générale de Total, Notre Affaire à Tous, 350.org et les Amis de la Terre France publient, avec le soutien de Sherpa, des (...)
Objectifs indigents de réduction de ses émissions de CO2, investissements massifs dans les hydrocarbures, double discours sur la réalité de ses engagements climatiques : Total sort étrillé du rapport d’ONG publié à l’occasion de l’assemblée de ses actionnaires ce mercredi 29 mai.
Des milliers d'employés avaient demandé à Amazon de mettre en oeuvre un plan de grande envergure contre le changement climatique. Les actionnaires ont rejeté la proposition.
Une nouvelle étude met en garde quant au risque de déclenchement de boucles de rétroaction qui pourraient aggraver le changement climatique suite à la fonte des glaces et du pergélisol.
La militante inuite analyse les bouleversements engendrés par le changement climatique dans l’Arctique, où le mode de vie indigène est menacé de disparition. Elle est l’une des invités du week-end de débats organisé par le festival We Love Green & « Le Monde », les 1er et 2 juin, au bois de Vincennes.
La militante inuite analyse les bouleversements engendrés par le changement climatique dans l’Arctique, où le mode de vie indigène est menacé de disparition. Elle est l’une des invités du week-end de débats organisé par le festival We Love Green & « Le Monde », les 1er et 2 juin, au bois de Vincennes.
Dans le cas d’un réchauffement de 5 °C, l’hypothèse la plus vraisemblable des chercheurs estime à 51 cm la montée des océans liée à la fonte du Groenland et de l’Antarctique.
Dans Perdre la Terre (Seuil, 2019), le journaliste américain Nathaniel Rich raconte l’incroyable consensus bâti en dix ans par quelques pionniers, qui a failli aboutir à un accord international contraignant en 1989 sur la question climatique. L’échec final, malgré un alignement des astres jamais retrouvé depuis, constitue un accablant témoignage historique et une précieuse leçon pour l’avenir.
En 1970, l’ornithologue Jean Dorst s’alarmait déjà dans nos colonnes de la « dégradation biologique de la planète, dont nous serons l’ultime victime ».
Dans une accablante enquête, Nathaniel Rich raconte comment les Etats-Unis, conscients de longue date du changement climatique, ont fait capoter un accord mondial pour limiter les émissions en 1989
Le rapport sur la biodiversité sorti lundi avance des chiffres alarmants et pointe les responsables (nous), dans l’apathie politique.
Les États membres de l’IPBES, le « Giec de la biodiversité », ont adopté un rapport inédit qui alerte sur l’effondrement du vivant. L’agriculture industrielle et la consommation de viande sont les causes majeures de ce déclin. Un changement de modèle agricole et une reconnaissance des peuples autochtones pourraient permettre d’éviter l’extinction.
Une espèce animale et végétale sur huit risque de disparaître dans les prochaines décennies, selon le dernier rapport de l’IPBES. Une crise sans précédent de la biodiversité, dont le rôle est pourtant crucial pour la « survie de l’humanité ». Mais si la tendance actuelle est à l’aggravation de la situation, des leviers pour inverser les choses sont à portée de main.
Un million d'espèces menacées d'extinction, des trajectoires économiques et politiques qui ne permettront ni d'atteindre les objectifs fixés pour 2020, ni les prochaines échéances... Voici quelques-unes des conclusions très inquiétantes du rapport sur la biodiversité publié par l'IPBES lundi 6 mai.
Dans un rapport, les scientifiques de l’IPBES dressent un bilan dramatique de la dégradation de la nature en raison des activités humaines. Un million d’espèces sont menacées d’extinction. Certains bouleversements sont irréversibles.
Le "résumé pour les décideurs" adopté par 132 délégations gouvernementales au siège de l’Unesco à Paris sur la base de 15.000 articles scientifiques et rapports internationaux revus par 145 scientifiques est le fruit de délicates négociations entre représentants d'États aux niveaux de développement économique et d’intérêt politique très divergents. Pourtant, a émergé un consensus alarmiste sur l’état de la planète qui rappelle les constats dramatiques du rapport du GIEC sur les moyens de limiter la hausse des températures mondiales à 1,5°C.
« La nature décline globalement à un rythme sans précédent dans l'histoire humaine - et le taux d’extinction des espèces s’accélère, provoquant dès à présent des effets graves sur les populations humaines du monde entier », alerte le nouveau et historique rapport de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), dont le résumé a été approuvé lors de la 7ème session plénière de l'IPBES, qui s’est réunie la semaine dernière (du 29 Avril au 4 mai) à Paris.
Outre la menace d'une extinction massive, ce document présenté comme "le plus exhaustif réalisé à ce jour" insiste aussi sur les solutions pour inverser la tendance.
Ce lundi 29 avril s’ouvre à Paris l’assemblée plénière de l’IPBES. Ce « Giec de la biodiversité » publiera un rapport inédit sur l’état de la biodiversité mondiale : il confirme la disparition rapide d’un grand nombre d’espèces et souligne en creux la responsabilité du modèle de développement actuel. Les États sont appelés à agir.
Depuis quarante ans, 60 % des populations de vertébrés ont disparu. Poissons, mammifères, reptiles, amphibiens « n’ont jamais décliné à un rythme si rapide, qui est aujourd’hui cent à (...)
Les délégués de 132 pays et les experts de l’IPBES entament lundi une semaine de discussions à Paris pour alerter sur la disparition accélérée du vivant. La sixième extinction de masse des espèces est bel et bien en cours.