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Un projet de rapport de l'ONU, issu de trois années de travaux scientifiques, doit être examiné par 130 pays membres de la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) réunis à Paris du 29 avril au 4 mai 2019.
La concentration dans l'atmosphère du CO2, principal responsable du réchauffement climatique, est au plus haut depuis 3 millions d'années, rendant inéluctable la hausse...
Selon le rapport annuel de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), les concentrations de gaz à effet de serre ont atteint un niveau « jamais vu depuis 3 millions d’années ». L’activité humaine en est en très grande partie responsable.
La question environnementale est un enjeu qui traverse toutes les couches de nos sociétés : Etat, entreprises et société civile. Logique puisque l'état de la planète est lié au système qui régi notre monde et dans lequel nous baignons toutes et to...
Under the bottom-up architecture of the Paris Agreement, countries pledge Nationally Determined Contributions (NDCs). Current NDCs individually align, at best, with divergent concepts of equity and are collectively inconsistent with the Paris Agreement. We show that the global 2030-emissions of NDCs match the sum of each country adopting the least-stringent of five effort-sharing allocations of a well-below 2 °C-scenario. Extending such a self-interested bottom-up aggregation of equity might lead to a median 2100-warming of 2.3 °C. Tightening the warming goal of each country’s effort-sharing approach to aspirational levels of 1.1 °C and 1.3 °C could achieve the 1.5 °C and well-below 2 °C-thresholds, respectively. This new hybrid allocation reconciles the bottom-up nature of the Paris Agreement with its top-down warming thresholds and provides a temperature metric to assess NDCs. When taken as benchmark by other countries, the NDCs of India, the EU, the USA and China lead to 2.6 °C, 3.2 °C, 4 °C and over 5.1 °C warmings, respectively.
Si tous les pays avaient des engagements climatiques (INDCs) aussi peu ambitieux que la Russie, la Chine ou les US, le réchauffement atteindrait 4 à 5°C. La carte indique le réchauffement correspondant aux INDCs de chaque pays (fig. 4.b).
Le dernier rapport « Planète vivante » du WWF montre « un déclin global de 60 % de l’effectif des populations de vertébrés sauvages entre 1970 et 2014 ». D’autres études inquiétantes complètent ce sombre tableau. Et la réponse politique se fait attendre.
Le WWF publie mardi son dernier rapport "Planète vivante". Et le constat est terrible : depuis les années 1970, la Terre a perdu 60% de ses populations d'animaux sauvages.
Mammifères, oiseaux, poissons, reptiles, amphibiens… Les populations de vertébrés ont été réduites de 60 % depuis 1970, révèle le WWF.
Le Fonds mondial pour la nature a publié son Rapport Planète Vivante pour l'année 2018. Selon le WWF, la disparition des vertébrés se poursuit et met en danger la nature et les humains.
Les animaux sauvages auraient perdu 60 % de leur population depuis 1970, selon le dernier rapport Planète vivante de l’ONG WWF. Les chiffres ne font que confirmer l’aggravation de l’extinction de masse en cours mais révèle des situations régionales très variables et des points d’urgence. Accessoirement, le rapport rappelle que l’effondrement de la biodiversité met en jeu la survie de l’humanité, et invite au sursaut collectif d’ici la Conférence mondiale sur la biodiversité en 2020.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie a alerté la communauté internationale sur les émissions de CO2 du secteur de l'énergie, qui devraient attendre leur record pour l'année 2018. Une question d'actualité pour la COP24.
Le nouveau président brésilien élu ce 28 octobre a multiplié les annonces visant directement l’Amazonie, les défenseurs de l’environnement et les communautés autochtones. Jair Bolsonaro veut la fin des démarcations de terres indigènes et ouvrir de larges zones de forêts à l’exploitation minière et à l’agrobusiness, des secteurs économiques qui ont appuyé sa candidature. Si l’élection de Bolsonaro, et la violence qu’il attise par ses discours, constituent une menace directe pour la vie des communautés locales, l’avenir de l’Amazonie nous concerne tous : l’accélération de sa destruction aura de lourdes conséquences sur l’équilibre climatique de la planète.
The United States Fish and Wildlife Service a récemment officiellement classé les abeilles comme espèce en voie de disparition, renforçant ainsi la menace qui plane sur tout le cycle de la vie, humanité comprise.
Energy sector carbon emissions will rise in 2018 after hitting record levels the year before, dimming prospects for meeting Paris climate treaty goals, the head of the International Energy Agency (IEA) said Wednesday.
Un « spécialiste reconnu des avalanches » conteste le rôle de l’homme dans le bouleversement climatique. Avec des arguments fallacieux.
Climate change is inextricably linked to economic inequality: it is a crisis that is driven by the greenhouse gas emissions of the ‘haves’ that hits the ‘have-nots’ the hardest. While COP21 in Paris will see a deal negotiated between governments on the basis of the total emissions produced in their territories, the real winners and losers will be their citizens. The true test of the deal will be whether it delivers something for the poorest people who are both the least responsible for and the most vulnerable to climate change, wherever they live.
Selon Oxfam qui publie un rapport mercredi, les pays riches se doivent de "montrer la voie" afin de limiter le réchauffement climatique.
Les changements climatiques ont le même effet sur la population que sur les politiciens. L'enjeu les préoccupe, mais quand vient le temps de passer de la parole aux actes, il y a un pas qu'ils ne sont pas prêts à franchir. Les scientifiques nous disent pourtant que la planète a un grave cancer et nous faisons l'autruche. Pourquoi?
Derrière leurs beaux discours publics sur le climat, les multinationales continuent à s’opposer à tout objectif ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Illustration avec un document interne du lobby patronal européen BusinessEurope.
Ces soixante dernières années, les êtres humains ont altéré les écosystèmes plus rapidement et plus profondément que dans aucune autre période comparable de l’histoire humaine. Les courbes figurant les tendances historiques de l’activité humaine et les changements physiques qui ont affecté le système terrestre présentent une progression lente depuis 1750 et une croissance exponentielle après 1950. En 2005, les climatologues Will Steffen, Paul Cruzen et l’historien John McNeill ont proposé le terme de « grande accélération » pour désigner ce phénomène, révélateur de bouleversements sociaux et environnementaux.