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Environ 12 % des substances actives des pesticides de synthèse autorisés dans l’Union européenne appartiennent à la famille des polluants éternels. C’est le constat du rapport de l’association Générations futures et du réseau Pesticide Action Network Europe (PAN Europe), publié jeudi 9 novembre.
Ces professionnels de santé s’engagent à « continuer de soigner gratuitement » les malades sans papiers si le dispositif devait disparaître, comme le souhaite une partie de la classe politique.
Le Sénat vient d’adopter la suppression de l’aide médicale d’État, qu’il veut remplacer par une aide médicale d’urgence. La lecture biaisée des chiffres par les élus de la chambre haute néglige les vertus économiques de ce dispositif.
Cette disposition « exceptionnelle » avait été mise en place pour répondre à la crise liée au Covid-19, et était limitée dans le temps.
Les débats débutent au Parlement sur un budget d’austérité de la Sécurité sociale. L’hôpital devrait creuser sa dette, déjà colossale. Le privé a, lui, les armes pour maintenir ses bénéfices : des patients choisis et une activité centrée sur les actes les plus rémunérateurs.
Condamnées à verser 143 000 euros et à garder le silence pour avoir publié une étude sur les pesticides dans les vins labellisés, une association et sa porte-parole ont réuni la somme et obtenu le droit de faire appel.
Cette réforme devait permettre, à l’horizon 2030, d’interdire ou de restreindre massivement l’usage d’une multitude de produits chimiques dangereux.
L'augmentation des infections sexuellement transmissibles (IST) soulève des préoccupations majeures en matière de santé publique. Les antibiotiques, bien que nécessaires, ont un revers: ils rendent les bactéries plus résistantes. Doit-on alors envisager d'autres options ?
Les dégâts sanitaires attribués aux substances de synthèse dangereuses, évalués à plus de 30 milliards d’euros par an en Europe par la Commission européenne elle-même, n’y ont rien fait. Bruxelles a annoncé l’abandon de la révision du règlement Reach sur les produits chimiques, constate dans sa chronique le journaliste Stéphane Foucart.
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Un chiffre, établi par la Commission européenne, permet d'apprécier la magnitude des ces dégâts. Les mesures de retrait les plus ambitieuses des molécules problématiques représenteraient quelque 31 milliard d'euros de bénéfices annuels en termes de maladies évitées (les pertes associées pour les industriels étant environ dix fois moindres).
Les experts du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides ont reconnu un lien entre l’utilisation de l’herbicide controversé pendant la grossesse de la mère et la maladie de l’enfant, aujourd’hui âgé de 16 ans. Une première en France.
Plus d’un millier d’aides-soignants, infirmiers, de sages-femmes ou médecins hospitaliers dénoncent, dans une tribune au « Monde », les « dilemmes éthiques intenables » auxquels ils sont confrontés faute de lits et de personnel, et appellent les députés à voter la proposition de loi garantissant un nombre maximal de patients par soignant.
L'association regroupant les établissements publics de santé et médico-sociaux français réagit au projet de budget pour la Sécurité sociale, présenté la semaine dernière par le gouvernement.
En trente ans, les cancers chez les jeunes ont grimpé de 80 %. Les principaux responsables : les polluants environnementaux et une mauvaise alimentation, analyse le Dr Jean-David Zeitoun.
L’Efsa, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, estime que l’herbicide le plus vendu au monde ne pose pas de risque majeur pour la santé humaine. Mais pour Laurence Huc, toxicologue et spécialiste des pesticides, cette évaluation « ne correspond à aucun canon scientifique ».
La Commission européenne a proposé de renouveler l’autorisation du glyphosate, un herbicide répandu, mais très controversé, pour une période de 10 ans, avec un certain nombre de restrictions.
D’après le projet de réglementation consulté par Mediapart, qui doit être présenté vendredi par la Commission, l’exécutif européen propose de réautoriser pour dix ans l’herbicide sur le continent européen.
Des OGM vont-ils se retrouver dans nos assiettes sans que nous en soyons informés ? C’est ce que laisse redouter un projet de réglementation porté par la Commission européenne. Premier volet de notre enquête.
Le bisphénol A (BPA) est omniprésent dans le corps des Européens. Leur exposition à ce perturbateur endocrinien se situe « bien au-dessus » des niveaux de sécurité sanitaire, alerte l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) dans un rapport publié le 14 septembre. « Cela présente un risque sanitaire potentiel pour des millions de personnes », déplore le gendarme européen de l’environnement.
Depuis le trajet court pour aller à la boulangerie jusqu’au départ en vacances en famille, en passant par les allers-retours au travail, les déplacements sont largement structurés par la voiture en France.
L’octocrylène est un filtre anti-UV chimique utilisé dans certains produits cosmétiques, et en particulier dans les crèmes solaires. Le 26 mai dernier, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a transmis au gouvernement une demande de restriction de cette substance chimique, à cause de ses effets sur l’environnement, révèle France Info le 7 juillet.