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""La dernière Une climat : c’était il y a cinq ans." Les principaux newsmagazines français (L’Obs, Le Point, L’Express) ne portent qu'un intérêt très relatif au réchauffement climatique, remarque le site Bastamag. "La dernière couverture que L’Obs a consenti au sujet remonte à six ans, au moment de la conférence des Nations Unies sur le climat à Copenhague. L’Express fait pire encore, puisque le dernier dossier publié sur la question du climat date de... 2007. Pour l’occasion, l’hebdomadaire avait dérogé à sa maquette habituelle de façon à ne pas offrir plus d’un tiers de sa couverture à son engagement à sauver la planète." Pire, certains newsmags se "font volontiers le relais de discours niant la réalité du réchauffement climatique". C’est le cas du Point par exemple, qui pour sa dernière Une climat, en 2010… mettait en avant le "climato-sceptique" Claude Allègre. Et si l'on prend l'ensemble de la presse hebdomadaire, une seule couverture de janvier à mai était consacrée à l'environnement, pouvait-on apprendre dans une infographie du Monde (sans que le quotidien s'intéresse pour autant à cette donnée, comme le notait alors @si)."
"Le réchauffement climatique est considéré par plusieurs médias internationaux comme « le sujet le plus important du monde ». Sauf en France, où les grands hebdomadaires ne lui ont pas consacré une seule couverture depuis cinq ans. Et la dernière une d’un grand hebdo en la matière plaçait sous les projecteurs le climatosceptique Claude Allègre ! Retour sur une décennie de non traitement médiatique par les trois grands newsmagazines français, L’Obs, L’Express et Le Point. Un bilan pas vraiment reluisant."
"Énergéticiens fossiles et fissiles, compagnie aérienne, constructeurs automobiles : la liste des mécènes de la 21e Conférence de l’ONU sur le climat (COP21), rendue publique aujourd’hui, comprend des multinationales françaises qui ne sont pas compatibles avec le climat. Les Amis de la Terre, Attac France, le Corporate Europe Observatory, WECF et 350.org dénoncent l’incohérence du gouvernement et redoutent que les négociations se retrouvent aux mains des pollueurs."
"On attendait depuis plusieurs semaines de connaître le nom des multinationales appelées à devenir les sponsors officiels de la Conférence climat de Paris (COP21), qui doit se tenir à la fin de l’année. Le ministre des Affaires Étrangères Laurent Fabius vient de rendre publique la liste de ces sponsors, qui confirme les craintes des associations et des militants du climat. Y figurent notamment des firmes énergétiques fortement investies dans le charbon – EDF et Engie (ex GDF Suez) – et une banque championne européenne du financement des énergies fossiles (BNP Paribas)."
"À six mois de la Cop 21, le sommet mondial sur le climat, le monde des entreprises s’offre, à partir de ce mercredi 20 mai, trois jours de forums à l’Unesco pour promouvoir sa vision de l’action contre le dérèglement climatique : du business, encore du business et un peu de climat."
"« Comme le montrent les recherches scientifiques, il convient de restructurer l’économie mondiale si l’on veut réduire à zéro les émissions nettes [de gaz à effet de serre] avant la fin de ce siècle. » Ces propos tranchants ne détoneraient pas de la part d’une ONG préparant la Conférence de Paris sur le climat (COP21). Prononcés par Rachel Kyte, vice-présidente du Groupe de la Banque mondiale, ils risquent en revanche de susciter un certain émoi. Ce sont pourtant les termes choisis par l’envoyée spéciale pour le changement climatique de l’institution internationale pour présenter, lundi 11 mai, le rapport « Decarbonizing development » (« décarboniser le développement ») sur les incidences entre le réchauffement de la planète et les politiques de développement."
"Se mettre au vélo, passer chez Enercoop, adhérer à une AMAP, réparer, échanger, recycler, oui ! Et changer de banque, alors ?"
"En 1999, la Nasa lançait son satellite Terra en orbite autour de la planète. Quinze ans après, les images qu’elle a collectées sont fascinantes... et inquiétantes. "
"Le gouvernement, qu'un bras de fer oppose aux sociétés d'autoroutes sur les tarifs des péages, envisagerait de faire payer moins les véhicules propres, selon le Journal du dimanche."
"Nous avons assisté à un incroyable tour de passe-passe. Souvenez-vous : en 2008, avec la crise financière, l’attention se focalise sur les banques, les marchés financiers et leur folie spéculative. Et puis... plus rien, ou presque. La question de la régulation financière a quasiment disparu des radars médiatiques et politiques. Remplacée par la focalisation sur les dettes publiques ou par un débat sur le coût du travail ou des dépenses de santé, qui seraient devenus soudainement insupportables. Pourquoi, à peine sept ans après la crise financière, les grandes promesses d’encadrement de la finance sont-elles passées aux oubliettes ?"
"Supérieures de 2,5° aux normales saisonnières, les températures sont les plus élevées jamais enregistrées à Nice depuis l’ouverture en 1943 de la station météo de l’aéroport"
"Les banques françaises financent les changements climatiques ? Demandons-leur d’arrêter !"
"Les Amis de la Terre et le réseau international BankTrack publient des données inédites sur les financements des banques françaises et internationales au secteur du charbon. Le diagnostic est sévère pour les banques françaises : leurs soutiens à l’énergie fossile la plus émettrice de CO2 ont augmenté de 218 % entre 2005 et 2013, contredisant leurs engagements à lutter contre les changements climatiques et l’impératif de réduction des investissements dans les énergies fossiles conventionnelles. Quelques jours avant la sortie de la synthèse du cinquième rapport du GIEC sur les changements climatiques, les associations sonnent l’alerte."
"De plus en plus d’entreprises ou d’ONG présentent la compensation carbone comme une solution aux changements climatiques. Pour les Amis de la Terre, c’est au contraire une dangereuse distraction."
"Débattu pendant cinq jours à l’Assemblée Nationale, le projet de loi sur la transition énergétique a été adopté par les députés le mardi 14 octobre 2014 en première lecture. Du « chèque énergie » à la fin des sacs plastiques, il s’agit notamment de mesures qui vont avoir un impact immédiat sur le quotidien. Résumé des principaux points."
"L’Assemblée nationale a adopté en première lecture, mardi 14 octobre, le projet de loi « sur la transition énergétique pour une croissance verte », à 314 voix contre 219, au terme du « premier véritable débat démocratique sur l’avenir énergétique de la France », ainsi que l’a salué la députée écologiste Cécile Duflot (Paris)."
"Les députés doivent adopter mardi le projet de loi sur la transition énergétique. Le texte n’engage pas de révolution économique, industrielle, ni écologique. Pour autant, il n’est pas sans intérêt. Revue de ses points forts et de ses faiblesses."
"Cette preuve n’avait encore jamais été établie explicitement jusqu’ici. Des experts en climatologie viennent d’établir le lien entre le réchauffement climatique causé par l’homme et les 5 grandes vagues de chaleur apparues en 2013. Dans un contexte où les gouvernements du monde entier tentent de diminuer le réchauffement climatique, cette étude montre l’urgence de la situation."
"Les hommes de science se sont depuis l'Antiquité intéressés aux relations entre le climat et la ville, que ce soit tout d'abord dans la prise en compte des conditions climatiques d'un site pour l'implantation et la conception architecturale des cités ou, plus tard, dans l'influence de la ville sur ses habitants et son environnement, notamment en matière de pollution de l'air. Cependant, la mise en évidence d'un climat spécifiquement urbain n'intervient qu'au début du XIXe siècle, lorsque le pharmacien britannique Luke Howard publie entre 1818 et 1820 Le climat de Londres, ouvrage qui étudie, à partir d'une série de relevés météorologiques d'une période de neuf ans, la température, les précipitations et le brouillard, le fameux smog, de la capitale anglaise. Il note ainsi une différence des températures nocturnes de l'ordre de 3,70 °C entre le centre de Londres et sa campagne, ce que l'on nomme aujourd'hui "îlot de chaleur urbain" (ICU)."
"Cest un palmarès dont certains pays se passeraient bien volontiers car il ne leur fait une bonne publicité : il s’agit du classement des 20 pays dont l’empreinte écologique est la plus lourde. Cet cet indicateur qui exprime la demande de ressources naturelles de la part de l’humanité ne cesse de s’aloudrir. Faut-il faire pression sur les pays les plus mal classés ?
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Actuellement l’humanité coupe les arbres 3 fois plus vite qu’ils ne repoussent, pêche les poissons plus vite qu’ils ne se reproduisent, pompe les aquifères plus vite qu’ils ne se reconstituent, émettent plus de CO2 et gaz à effet de serre que les puits de carbone n’en capturent, etc."