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Les industriels de l’alimentation se félicitent du nouveau « programme alimentation et nutrition » du gouvernement, qui a retoqué les mesures les plus offensives. Selon un document obtenu par Mediapart, ils s’opposent au lancement d’une étude sur les risques pour la santé des aliments ultra-transformés.
Les industriels de l’alimentation ont déposé les statuts d’une coopérative, afin d’ouvrir leur propre catalogue numérique. Objectif : marginaliser les applications citoyennes qui notent les produits alimentaires selon leur composition nutritionnelle. Le tout avec l’appui du gouvernement.
L'expression Facteur 4 désigne un objectif ou engagement écologique qui consiste à diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre d'un pays ou d'un continent donné, à l'échelle de temps de 40 ans (2050). Pour une majeure partie, il s'agit de diminuer fortement les consommations d'énergie fossile, mais aussi la consommation de produits dont la production génère de très fortes quantité de gaz à effet de serre (ex : viande). Il s'agit bien sûr aussi d'améliorer l'efficience des modes de production, c'est-à-dire produire autant de richesse en utilisant moins de matières premières et d'énergie, mais dans une moindre mesure, car cette efficience a augmenté de 35 % en 35 ans et il va être difficile de la multiplier par 4 en 40 ans1...
Pour limiter le réchauffement à + 2 °C, il faut, dès 2050, avoir divisé par deux les émissions mondiales de gaz à effet de serre (par rapport à 1990), et par quatre pour les pays développés
Commissaire indépendante auprès de l’OMS sur les maladies non transmissibles, Katie Dain estime que l’objectif de réduire d’un tiers la mortalité d’ici 2030 ne sera pas atteint avec les moyens alloués actuellement.
On les croise chaque jour au travail, à l'université, dans les gares ou dans les stations de métro. Les distributeurs automatiques de friandises et de boissons sont partout, prêts à combler un petit creux dans notre estomac ou à nous désaltérer.
Le rapport de la commission d’enquête sur l’alimentation industrielle veut inciter le secteur agroalimentaire à mettre moins de sel, de gras, de sucre et d’additifs dans ses produits, et éduquer les enfants à bien manger.
L’augmentation de la concentration atmosphérique de gaz carbonique risque d’entraîner des carences en protéines et en minéraux pour des centaines de millions de personnes supplémentaires.
Les chiffres de production comme de consommation sont en hausse, mais le bio reste menacé par les produits de la grande distribution.
Qui dit forte chaleur dit salades, aliments légers, rafraîchissants… mais prudence. Les ingrédients qui composent nos salades maison ne sont pas nécessairement plus sains ni plus honnêtes sur l’étiquette. foodwatch a repéré 10 produits susceptibles de composer une sacrée salade d’arnaques et propose d’agir via une pétition pour l’un d’entre eux : le « Coraya Suprêmes Homard » qui ne comporte pas la moindre trace du homard vanté sur l’étiquette.
Le syndicat apicole de l’Aisne a porté plainte contre Bayer le 6 juin dernier, après que l’un de ses membres eut découvert dans des doses inférieures au seuil réglementaire ce pesticide classé « cancérogène probable » par l’OMS.
Afin de lutter contre l’obésité infantile, plusieurs amendements avaient été déposés par des députés afin d’interdire certaines publicités alimentaires visant les jeunes de moins de 16 ans. Le gouvernement et la majorité s’y sont cependant opposés, préférant confier au CSA le soin de réguler le secteur.
Défié par les grands distributeurs, Biocoop, le numéro deux français du bio contre-attaque. Au menu: expansion, nouveaux formats et e-commerce.
L'association Nationale Pomme Poire (ANPP), qui défend de nombreux arboriculteurs normands voulait interdire à Greenpeace d'utiliser le titre "pommes empoisonnées" aux pesticides dans son rapport sur la contamination des vergers français aux produits phyto-sanitaires.
Les plantes transgéniques et les nouveaux OGM sont souvent présentés par leurs promoteurs comme l'une des solutions techniques pour nourrir le monde à l'horizon 2050. Inf'OGM a déjà publié…
Il était à l'origine de l'idée. Nicolas Hulot, ministre de la transition écologique et solidaire, a vu ses Etats Généraux de l'alimentation, conclus jeudi 21 décembre dernier par des annonces du gouvernement, monopolisés par les préoccupatio...
La spectaculaire absence du ministre de la transition écologique, en clôture des états généraux de l’alimentation, pose plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Hulot n’a pas trouvé sa place au sein du gouvernement.
La journée du 21 décembre se voulait historique pour Edouard Philippe chargé de tirer les conclusions des Etats généraux de l’alimentation. La veille, toutefois, le ministère de l’Agriculture avait organisé un point de presse pour faire fuiter « en off » les mesures qu’annoncerait le Premier ministre.
Ce jeudi 21 décembre, Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique, a ouvertement boycotté la journée de clôture des États généraux de l'alimentation. Une nouvelle contrariété pour Hulot qui affiche de plus en plus clairement sa différence.
Le ministre de la transition écologique et solidaire n’a pas participé à la séance de clôture du grand rendez-vous du monde agricole.