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Après la ferme-usine des 1000 vaches, celle des 4000 veaux ? C’est ce qui se dessine au cœur du Charolais, où un agriculteur prépare un centre géant de jeunes bovins destinés à l’exportation. La filière bovine soutient le projet mais militants, paysans, et riverains se mobilisent contre lui.
Digoin (Saône-et-Loire), reportage
On pourrait prendre la construction pour un parking, une grande halle, ou encore un site de stockage logistique… Mais non, c’est un bâtiment agricole fermé d’un côté et ouvert (...)
Les concentrations de produits présenteraient un faible risque pour l’homme, mais sont susceptibles de provoquer des troubles pour les insectes.
Les états généraux de l’alimentation qui se tiennent jusqu'à novembre doivent notamment aboutir à la construction d'un meilleur rapport de force entre gros industriels et petits producteurs. Sauf que la moitié des ateliers sont animés par... des industriels, accusés d'étrangler les agriculteurs, révèle Le Canard Enchaîné ce mercredi.
En France, plus de 40 000 nouveaux cas de cancers colorectaux sont diagnostiqués chaque année. Parmi les causes de cette maladie : la consommation (...)
L’ONG Générations futures révèle la présence de résidus de cette substance classée «cancérogène probable» dans des céréales pour petit déjeuner, des pâtes ou même des lentilles.
François Veillerette, porte-parole de Générations futures, revient sur la présence de l’herbicide dans seize produits de consommation sur trente analysés par l’ONG.
En raison de l’accord de libre-échange, ce poisson transgénique canadien peut atterrir dans les assiettes européennes.
Les analyses ont porté sur trente produits de consommation courante et révélé la présence de l’herbicide dans seize d’entre eux, rapporte l’ONG Générations futures.
L'ONG Générations Futures a fait analyser 30 produits de consommation courante. Résultat, on retrouve du glyphosate dans plus de la moitié des échantillons.
Selon les tests réalisés par l'ONG Générations Futures, des résidus de glyphosate, une substance classée "cancérogène probable" et présente dans le très controversé herbicide Roundup, ont été retrouvés dans 18 échantillons à base de céréales dont 8 céréales pour petit-déjeuner.
"Selon les résultats d'une étude publiée ce mardi 11 octobre par l’ONG Générations Futures, de nombreux résidus de pesticides ont été retrouvés sur un échantillon de quinze produits de mueslis aux fruits notamment consommés au petit-déjeuner. Des résultats qui mettent une nouvelle fois en évidence l'inaction de l'Union européenne sur le sujet..."
"Un rapport publié par un groupe d’experts britanniques alerte sur les dégâts de la malnutrition sur notre santé. Un constat d’autant plus alarmant que la malbouffe gagne chaque jour du terrain, entraînant une explosion dans le monde du nombre de personnes obèses ou en surpoids. "
"Dans un communiqué du vendredi 22 juillet, Monsanto s’est réjoui d’avoir obtenu l’agrément européen pour la commercialisation de soja génétiquement modifié (OGM)."
"D’après une étude, aux États-Unis, plus de la moitié de l'apport énergétique moyen des consommateurs est constitué d’aliments «ultra-transformés». "
"« Mes pneus, je les ai gardés chez moi. Je ne comprends pas pourquoi des agriculteurs manifestent. Ils demandent des aides, des prix. Mais il faut revoir le système. Moi, j’ai fait le choix d’aller vers la bio. » Eleveur laitier breton, installé à Pleumeleuc (Ille-et-Villaine), Richard Leduc fait partie des nouveaux convertis à l’agriculture biologique. Son cas n’est pas isolé, loin s’en faut. La crise agricole, qui secoue nombre d’agriculteurs étranglés financièrement par des prix bas et des charges élevées, suscite un afflux de conversions."
"L’impact du changement climatique sur la production alimentaire pourrait causer en 2050 quelque 529 000 décès supplémentaires dans le monde, selon l’étude d’une équipe de l’université d’Oxford publiée jeudi 3 mars dans la revue médicale The Lancet. De nombreux travaux ont montré que les dérèglements climatiques – sécheresses, pluies de plus en plus irrégulières, inondations, cyclones plus fréquents… – menaçaient la sécurité alimentaire, en entraînant une baisse des rendements agricoles susceptible d’accroître le niveau et la volatilité des prix des denrées, et de rendre ainsi encore plus difficile l’accès des plus pauvres à la nourriture. Mais pour la première fois, une étude évalue les effets du changement climatique sur l’équilibre nutritionnel."
"Une étude évalue pour la première fois l'impact du changement climatique sur les modes d'alimentation et les funestes conséquences sanitaires qu'il pourrait entraîner."
"Dans les campagnes françaises, les agriculteurs conventionnels frappés par la crise ne dédaignent plus l’agriculture bio. Certains l’envisagent même comme une solution à leurs problèmes. Ils s’interrogent cependant sur sa capacité à nourrir le monde, qui comptera 9 milliards d’habitants en 2050. Une étude réalisée par deux agronomes américains – John Reganold et Jonathan Wachter – pourrait les rassurer. On savait déjà que les écarts de rendements entre agriculture conventionnelle et agriculture bio, qui sont de 20% en moyenne en faveur de l’agriculture chimique, pouvaient être réduits à 9% en polyculture bio comparé à une monoculture conventionnelle."
"Au Guatemala, au Salvador, au Honduras et au Nicaragua, plus de 3 millions de personnes, essentiellement des familles de petits agriculteurs, se trouvent actuellement affectées par la sécheresse qui frappe la région depuis plus d’un an. Elle a détruit entre 75 et 100% des récoltes de maïs et de haricots. C’est l’une des conséquences du réchauffement climatique auxquelles fait face l’Amérique centrale. S’y ajoutent des inondations, la multiplication des moustiques vecteurs de maladies graves, comme le virus Zika qui provoque des maladies congénitales, et des ouragans... Reportage au Guatemala auprès de familles frappées par la sécheresse."
"Quatre ans de procédures auront été nécessaires pour que des riverains corréziens soient reconnus « victimes des pesticides » par le tribunal correctionnel de Brive, en Corrèze. « Nous ne pouvions laisser poursuivre ces pratiques d’épandages aériens consistant à arroser notre environnement de produits dangereux sans réagir », soulignent Philippe Bravard et Laurent Deyzac, deux des trois plaignants. « C’est pour nous une grande victoire et un signe d’espoir pour l’avenir de nos enfants mais aussi la preuve que chacun d’entre nous peut faire changer les choses ». C’est en octobre 2011 qu’ils se constituent partie civile contre des épandages d’insecticides réalisés par voies aériennes sur des châtaigneraies à la fin de l’été. Si ces épandages sont interdits depuis 2009 par une directive européenne comme le rappelle notre enquête, ils se poursuivent en France grâce à des dérogations préfectorales."