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L’ONG Générations futures révèle la présence de résidus de cette substance classée «cancérogène probable» dans des céréales pour petit déjeuner, des pâtes ou même des lentilles.
François Veillerette, porte-parole de Générations futures, revient sur la présence de l’herbicide dans seize produits de consommation sur trente analysés par l’ONG.
En raison de l’accord de libre-échange, ce poisson transgénique canadien peut atterrir dans les assiettes européennes.
Les analyses ont porté sur trente produits de consommation courante et révélé la présence de l’herbicide dans seize d’entre eux, rapporte l’ONG Générations futures.
L'ONG Générations Futures a fait analyser 30 produits de consommation courante. Résultat, on retrouve du glyphosate dans plus de la moitié des échantillons.
Selon les tests réalisés par l'ONG Générations Futures, des résidus de glyphosate, une substance classée "cancérogène probable" et présente dans le très controversé herbicide Roundup, ont été retrouvés dans 18 échantillons à base de céréales dont 8 céréales pour petit-déjeuner.
"Selon les résultats d'une étude publiée ce mardi 11 octobre par l’ONG Générations Futures, de nombreux résidus de pesticides ont été retrouvés sur un échantillon de quinze produits de mueslis aux fruits notamment consommés au petit-déjeuner. Des résultats qui mettent une nouvelle fois en évidence l'inaction de l'Union européenne sur le sujet..."
"Un rapport publié par un groupe d’experts britanniques alerte sur les dégâts de la malnutrition sur notre santé. Un constat d’autant plus alarmant que la malbouffe gagne chaque jour du terrain, entraînant une explosion dans le monde du nombre de personnes obèses ou en surpoids. "
"Dans un communiqué du vendredi 22 juillet, Monsanto s’est réjoui d’avoir obtenu l’agrément européen pour la commercialisation de soja génétiquement modifié (OGM)."
"D’après une étude, aux États-Unis, plus de la moitié de l'apport énergétique moyen des consommateurs est constitué d’aliments «ultra-transformés». "
"« Mes pneus, je les ai gardés chez moi. Je ne comprends pas pourquoi des agriculteurs manifestent. Ils demandent des aides, des prix. Mais il faut revoir le système. Moi, j’ai fait le choix d’aller vers la bio. » Eleveur laitier breton, installé à Pleumeleuc (Ille-et-Villaine), Richard Leduc fait partie des nouveaux convertis à l’agriculture biologique. Son cas n’est pas isolé, loin s’en faut. La crise agricole, qui secoue nombre d’agriculteurs étranglés financièrement par des prix bas et des charges élevées, suscite un afflux de conversions."
"L’impact du changement climatique sur la production alimentaire pourrait causer en 2050 quelque 529 000 décès supplémentaires dans le monde, selon l’étude d’une équipe de l’université d’Oxford publiée jeudi 3 mars dans la revue médicale The Lancet. De nombreux travaux ont montré que les dérèglements climatiques – sécheresses, pluies de plus en plus irrégulières, inondations, cyclones plus fréquents… – menaçaient la sécurité alimentaire, en entraînant une baisse des rendements agricoles susceptible d’accroître le niveau et la volatilité des prix des denrées, et de rendre ainsi encore plus difficile l’accès des plus pauvres à la nourriture. Mais pour la première fois, une étude évalue les effets du changement climatique sur l’équilibre nutritionnel."
"Une étude évalue pour la première fois l'impact du changement climatique sur les modes d'alimentation et les funestes conséquences sanitaires qu'il pourrait entraîner."
"Dans les campagnes françaises, les agriculteurs conventionnels frappés par la crise ne dédaignent plus l’agriculture bio. Certains l’envisagent même comme une solution à leurs problèmes. Ils s’interrogent cependant sur sa capacité à nourrir le monde, qui comptera 9 milliards d’habitants en 2050. Une étude réalisée par deux agronomes américains – John Reganold et Jonathan Wachter – pourrait les rassurer. On savait déjà que les écarts de rendements entre agriculture conventionnelle et agriculture bio, qui sont de 20% en moyenne en faveur de l’agriculture chimique, pouvaient être réduits à 9% en polyculture bio comparé à une monoculture conventionnelle."
"Au Guatemala, au Salvador, au Honduras et au Nicaragua, plus de 3 millions de personnes, essentiellement des familles de petits agriculteurs, se trouvent actuellement affectées par la sécheresse qui frappe la région depuis plus d’un an. Elle a détruit entre 75 et 100% des récoltes de maïs et de haricots. C’est l’une des conséquences du réchauffement climatique auxquelles fait face l’Amérique centrale. S’y ajoutent des inondations, la multiplication des moustiques vecteurs de maladies graves, comme le virus Zika qui provoque des maladies congénitales, et des ouragans... Reportage au Guatemala auprès de familles frappées par la sécheresse."
"Quatre ans de procédures auront été nécessaires pour que des riverains corréziens soient reconnus « victimes des pesticides » par le tribunal correctionnel de Brive, en Corrèze. « Nous ne pouvions laisser poursuivre ces pratiques d’épandages aériens consistant à arroser notre environnement de produits dangereux sans réagir », soulignent Philippe Bravard et Laurent Deyzac, deux des trois plaignants. « C’est pour nous une grande victoire et un signe d’espoir pour l’avenir de nos enfants mais aussi la preuve que chacun d’entre nous peut faire changer les choses ». C’est en octobre 2011 qu’ils se constituent partie civile contre des épandages d’insecticides réalisés par voies aériennes sur des châtaigneraies à la fin de l’été. Si ces épandages sont interdits depuis 2009 par une directive européenne comme le rappelle notre enquête, ils se poursuivent en France grâce à des dérogations préfectorales."
"L’enquête de Cash Investigation diffusée le 2 février rappelle un scandale sanitaire toujours à l’œuvre : les pesticides cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques qui sont déversés par milliers de tonnes chaque année, dans tous les départements. Qu’en est-il des alternatives à ces molécules chimiques de synthèse ? La loi d’avenir agricole de juillet 2014 devait favoriser la commercialisation des préparations naturelles comme le vinaigre blanc, le sucre ou l’argile. Or, le décret permettant leur mise sur le marché traîne au milieu des piles de dossiers du ministère... À ce jour, pulvériser sur ses cultures une tisane de plantes reste passible de poursuites. Quant à l’agriculture bio, sans pesticides, elle n’est pas suffisamment soutenue."
"97 % d’aliments contenant des résidus de pesticides ; les enfants exposés à près de 130 polluants chimiques chaque jour ; une industrie partagée entre six multinationales – Syngenta, Bayer, Dow, Monsanto, BASF et Dupont – qui règnent sur un marché de 50 milliards d’euros… Voici quelques chiffres glanés dans l’enquête édifiante de « Cash Investigation », diffusée mardi 2 février sur France 2, sur les pesticides et leurs dangers pour la santé."
Que faire après les révélations de « Cash Investigation » sur l’agriculture qui tue ? | Même pas mal
"Si vous faites partie des téléspectateurs du documentaire de "Cash Investigation" diffusé mardi 2 février sur France 2, vous devez sans doute vous demander comment limiter la quantité d'intrants chimiques dans votre alimentation et votre environnement. Voilà quelques solutions..."
"Les pesticides, nous en mangeons, nous en buvons et nous en respirons. Ils font la fortune de quelques géants de l’agrochimie – six, exactement – et ont des conséquences graves sur la santé publique. Le postulat de départ de l’équipe de « Cash investigation », sur France 2, est remarquablement illustré par ce documentaire percutant. Leur démonstration a des chances de secouer le public, encore loin de mesurer l’ampleur du problème."