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Nos analyses de 20 paquets révèlent des traces de pesticides dans un seul riz bio… et dans 55 % des riz conventionnels, surtout ceux à petits prix.
Après la fuite de ce document, dévoilé par le "Financial Times", le groupe assure "travailler sur un projet à l'échelle de l'entreprise" pour mettre à jour sa stratégie en termes de nutrition et santé.
C’est une décision que nous tenions à l’œil : le Gouvernement a bien renouvelé pour 2021 la suspension de la mise sur le marché en France de produits alimentaires contenant du dioxyde titane (E171). Mais la bataille est loin d’être terminée pour obtenir enfin l’interdiction de cet additif dans toute l’Union Européenne.
Alors que l’importation de denrées agricoles et alimentaires a augmenté de 28% entre 2005 et 2019, le Think Tank de la Fondation Nicolas Hulot, INTERBEV et l’Institut Veblen, défendent la nécessité d’adopter un règlement européen sur les importations, basé sur un principe de mesures-miroirs. Ce règlement vise à stopper un système qui entrave la transition écologique et sociale, et met en péril l’avenir des éleveurs et agriculteurs européens.
Dans son dernier numéro, Usbek & Rica développe « 20 idées pour retrouver le goût de l’avenir ». Parmi elles, la mise en place d’une nouvelle branche de la Sécu, qui permettrait de vaincre la précarité alimentaire tout en accélérant la transition écologique de l’agriculture. Défendu par plusieurs associations, ce projet à contre-courant de l’époque mériterait d’être testé au plus vite à l’échelle locale. En exclusivité, retrouvez ici l’intégralité de l’article que nous avons consacré à ce sujet (les autres propositions sont à découvrir dans notre dernier numéro).
Elle a été mise en demeure par la Fédération des industriels charcutiers de retirer une pétition sur les additifs nitrités lancée conjointement avec la Ligue contre le cancer et Foodwatch.
Pour les enquêteurs de la DGCCRF, cela ne fait aucun doute : la dissimulation de cette information d’intérêt public révèle une « stratégie » de Lactalis soigneusement organisée. Elle aurait consisté, selon eux, à « maîtriser la communication en limitant les intervenants autorisés, en limitant les réponses au strict sujet des questions posées, en ne diffusant pas spontanément les informations même lorsque cela concerne des produits non conformes ou le statut sanitaire de l’usine ».
Agribalyse, la base de données environnementale de référence sur des produits agricoles et alimentaires
Dans le cadre de la campagne Résilience & Sécurité Alimentaire 🥗 de #ExtinctionRebellion, nous invitons à découvrir l'infographie de @lga 🤗
Description du sujet 👩🏾🏫 , constat sur la situation actuelle 😬 et ce vers quoi nous devons tendre 🎯
C'est très complet
Une ONG américaine livre comme chaque année depuis plus de 15 ans sa liste des douze aliments les plus riches en pesticides à éviter. Ce sont un peu les "12 salopards" de l'environnement, de l'anglais "dirty dozen", soit les 12 aliments non biologiques contenant les plus fortes quantités de pesticides. Comme chaque année, cette liste vient d'être livrée par un organisme américain à but non lucratif, The Environmental Working Group (EWG). Depuis 2004, celui-ci s'est en effet donné comme mission d'informer le public sur les moyens de vivre plus sainement.
Suite à l’avis du Conseil d’État, le gouvernement a neuf mois pour interdire les semences de tournesol et de colza obtenues par mutagenèse, désormais considérées comme OGM. Problème : les semenciers n’indiquent pas toujours cette mutation génétique et la traçabilité est inexistante.
Food, energy and water: this is what the United Nations refers to as the ‘nexus’ of sustainable development. As the world’s population has expanded and gotten richer, the demand for all three has seen a rapid increase. Not only has demand for all three increased, but they are also strongly interlinked: food production requires water and energy; traditional energy production demands water resources; agriculture provides a potential energy source.
Microscopic pieces of plastic have been discovered in the most remote locations, from the depths of the ocean to Arctic ice. Another place that plastic is appearing is inside our bodies. We’re breathing microplastic, eating it and drinking plastic-infused water every day.
Un rapport commandé par l’ONG de protection de l’environnement WWF pointe une fois de plus la présence envahissante du plastique. Jusque dans nos assiettes.
Dans un nouveau rapport publié ce jeudi, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) met en garde contre la cadence infernale du réchauffement climatique. Les scientifiques avertissent des risques de graves crises alimentaires, liées à la hausse des températures.
Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire, la trentaine d’études disponibles sur le BPB devrait suffire à le classer comme substance dangereuse.
Une étude montre que, sous l'effet de la chaleur de l'eau, les sachets de thé en plastique libèrent de très grandes quantités de micro-plastiques et des nano-plastiques, que nous ingurgitons sans le savoir.
Les industriels de l’alimentation se félicitent du nouveau « programme alimentation et nutrition » du gouvernement, qui a retoqué les mesures les plus offensives. Selon un document obtenu par Mediapart, ils s’opposent au lancement d’une étude sur les risques pour la santé des aliments ultra-transformés.
Les industriels de l’alimentation ont déposé les statuts d’une coopérative, afin d’ouvrir leur propre catalogue numérique. Objectif : marginaliser les applications citoyennes qui notent les produits alimentaires selon leur composition nutritionnelle. Le tout avec l’appui du gouvernement.
L'expression Facteur 4 désigne un objectif ou engagement écologique qui consiste à diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre d'un pays ou d'un continent donné, à l'échelle de temps de 40 ans (2050). Pour une majeure partie, il s'agit de diminuer fortement les consommations d'énergie fossile, mais aussi la consommation de produits dont la production génère de très fortes quantité de gaz à effet de serre (ex : viande). Il s'agit bien sûr aussi d'améliorer l'efficience des modes de production, c'est-à-dire produire autant de richesse en utilisant moins de matières premières et d'énergie, mais dans une moindre mesure, car cette efficience a augmenté de 35 % en 35 ans et il va être difficile de la multiplier par 4 en 40 ans1...